Chapitre Onze : Contrôles

La moralisatrice Marine Stern, prit le poste de contrôle du chef de sociétés.

Le chef société masqué l’aimait, c’était un couple solide puis quelques années.

« Regarde comme cette guerre va tout détruire. »

« C’est beau l’Humain ... » Dit le chef société.

« Il me manque une chose. »

« Oui mon amour ? »

« Le code nucléaire ... »

« Non ! »

« Tu n’as pas confiance ... »

« Tu voulais gagner ma confiance ! »

Marine l’assomma et l’enchaîna cadenassé !

« Je trouverais ton putain de code ! »

Il était évanouît et bien assommé !

Marine était instable psychologiquement.

Elle envoya les gens de la faction société, détruire les émeutes partout.

Elle ria, elle était diabolique et vraiment méchante.

Elle sortit et discuta à son armée.

« Je ... »

Au début elle hésita.

« Parlez madame. »

« Votre chef masqué société est mort d’une crise cardiaque. »

Beaucoup applaudirent.

« Prenez le contrôle des factions, tuez les tous ! Pas de leçons philosophiques, le chaos ! »

« Vive le pouvoir, vive Marine Stern ! »

« Merci merci ! »

Puis quelqu’un découvrit le chef Société, mais Marine le tua avec un poignard en plein cœur.

« Tu es ... »

« Tu devrais te taire. »

« Tu m’as manipulé depuis le début ! »

« Oui . »

« Tu as le pouvoir, ton peuple t’obéit ; tu vas foutre le chaos partout. »

« Tout gouvernement a ses faiblesses. »

« Ruine sans consciences n’est que ruine de l’âme ! »

« Marine, tout s’écroulera, il y aura bien une fin ... »

« Madame Marine Stern, le général Longvid veut discuter avec vous. »

« Casez ce rendez-vous demain après-midi. »

« Pourquoi cette haine ? »

« Depuis que votre équipe a créée cette société inégalitaire en tout point, je voulais remettre de l’ordre par le désordre, aujourd’hui je suis arrivé à mon objectif.

Le système est chaos ... »

« On avait créée ce système pour que chaque être sois casés et pas de marginalisation, on vivait en paix ... »

« Vous nous avez menti ! »

« Non j’ai été transparent ! »

« Pourquoi vous mentez ? Vous savez ce qui allait arriver, une RÉVOLUTION ! »