Chapitre Cinq : Sait-on toute les vérités ?

Lyvain et la jeune femme arrivèrent dans un camps secret de la faction.

« Arianne ? »

« Surpris ? »

« Que fais-tu là ? »

« Je suis une espionne, je sers les devoirs. »

« Tu n’es pas dans la faction vérité ? »

« Non, c’est trompeur mais chut. »

« Nous sommes ou exactement ? »

« Dans un camps de rébellion, on va pas tenir longtemps, faut partir et voici le plan …

On va envahir les bâtiments du devoir et dénicher leur leader en sauront-on plus ? Qui sait ? Nous sommes actuellement vingt quatre plus toi et moi, ils me font confiance déjà …

Mais doute car eux aussi ont des espions de très haut plus haut que moi ! »

« Présente les moi ... »

« Mickaël un partisan de la conscience, très utile. Kiesha, une qui est liberté, qui se bat depuis des dizaines d’années très forte personnalité de son camps. »

« Ensuite … ? »

« On a pas le temps Lyvain ; tu es recherché, nous sommes recherchés, on est des déchets de la société et cette philosophie qui divise. Les sociétés parfaites n’existent pas, ça sert à rien ces factions putain !! »

« Arianne ? »

« Oui Maria ? »

« Il aura besoin de ma philosophie c’est l’expérience et je connais des tas de choses »

« Prépare-le au combat au plus vite ! »

« Je ne suis pas un soldat. »

« Tu veux ta rébellion oui ou … merde ! En plus tu es dans la pire des factions sache-le ! »

« La pire ... »

Ces moments résonnèrent dans la tête, il stagna sur Pire.

« Mais qui est la pire ? Ne serais-ce pas le devoir, ils se croient tout permis ! »

Arianne quitta le poste.

Maria bouscula Lyvain.

« Allez tiens ton épée ! »

« Quoi ? »

Elle m’amena dans une pièce d’escrime.

« Mais ... »

« Bats-toi ! L’ennemie ne t’attendra pas ! »

« D’accord d’accord ! » Esquissa un sourire Lyvain ou divin.

Puis la femme qui l’avait libéré l’observa.

« Va-y avec plus de force, nous sommes en guerre ! »

« Avec vingt contre eux ! ? »

« Tais-toi » lança Maria

« C’est pas le nombre qui compte, c’est la volonté de ne pas connaître les échecs, nous sommes la réussite, cette société à besoin d’un renouveau ! Non ? »

Puis Maria blessa Lyvain.

« Sois réactif ! »

« Je fais ... »

« Pas assez petit gars ! »

La femme qui l’avait libéré le releva.

« Je m’appelle Laudia, ton nom sera celui qui changera notre système ! »

« Euh moi c’est Lyvain. » douta t-il et ria , Maria le gifla d’une puissance incontestée.