Ma voisine

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Je venais d’emménager dans mon nouvel appartement, pour être plus proche de mon nouveau boulot. Une galère sans nom et qui m’a coûté un bras, mais au moins, je ne me sentais plus à l’étroit chez moi et je passais moins de temps à faire la route pour aller travailler.

Sur le palier où se trouvait mon appartement, il n’y avait qu’un seul autre qui lui faisait face. Une jeune demoiselle, sans doute une étudiante, y vivait. Je me souviens encore quand elle est venue sonner à ma porte pour me souhaiter la bienvenue. Un petit bout de femme qui entrait à peine dans la vingtaine avec une belle silhouette et une belle chevelure brune lui descendant jusqu’aux épaules. Tout à fait mon genre, pour le trentenaire que j’étais.

Elle s’appelait Éloïse et, de ce qu’elle a bien voulu me dire, était étudiante en Anglais. Elle était contente d’avoir un nouveau voisin. Son ancienne voisine était une vieille femme aigrie qui la dévisageait à chaque fois qu’elles se croisaient, quand elle ne marmonnait pas quelques insultes à son encontre quand elle portait des vêtements un peu serré ou trop léger. Je me gardai de faire tout commentaire mais mon imagination n’a pu s’empêcher de travailler quand elle a parlé de ses tenues…

Dans tous les cas, elle m’a invité à venir la voir si j’avais besoin de quoi que ce soit. J’étais trentenaire, pas retraité. Je me suis senti à la fois touché et vexé. Mais après avoir admiré sa silhouette gracieuse quand elle est rentrée chez elle, je lui ai vite pardonné.

Tous les matins, nous partions ensemble de notre immeuble. Elle pour aller en cours et moi, au travail. Elle était tout le temps souriante et chaleureuse quand elle me disait « Bonjour » et moi, je lui rendais parfois maladroitement ce sourire comme le ferait un ado. C’est là que je me suis rendu compte que j’étais célibataire depuis un bon moment…

Je rentrais souvent tard chez moi. Parfois, je la croisais qui rentrait de soirée avec son copain. Du genre jaloux, il me semblait. Chaque fois qu’il était avec elle et qu’elle me saluait, il la serrait un peu plus contre elle et me défiait presque du regard. Il ne manquait plus que le panneau « Chasse gardée » et on aurait eu un beau cliché. Dans ma tête, ça me faisait rire. Son copain venait surtout le week-end. Parfois, il le passait chez elle.

Je ne vais pas mentir : je l’enviais un peu. Éloïse était une personne charmante et tout. Mais des fois, et surtout pendant mes nuits solitaires, je ne pouvais m’empêcher de l’imaginer avec mon pénis dans sa petite bouche sensuelle ou me chevauchant toute la nuit pendant que je malaxais de me mes mains ses belles formes. Je me faisais vraiment des films pornos dans ma tête avec elle et ça me rendait fou !

Plus le temps passait et plus je rêvais de la mettre dans mon lit pour lui faire son affaire…

C’était terrible.

Ça s’est passé un vendredi soir, il me semble. Je rentrais tout juste du boulot et pour une fois, j’avais fini pas trop tard. Je me suis dit que je pourrais profiter d’un bon dîner devant un film. Il fallait bien que je rentabilise cet abonnement Netflix…

Quand je suis arrivé sur mon palier, j’ai vu Éloïse devant sa porte, pestant en cherchant quelque chose dans son sac à main. Vraisemblablement, ses clés. J’ai surtout remarqué sa belle robe sombre, qui épousait bien ses formes, et courte au point elle n’aurait eu qu’à se pencher sans plier les genoux pour tout dévoiler. Autant dire que cette vue ne me laissa pas indifférent. Et j’aurais bien aimé profiter un peu plus de la vue de son petit cul rond, si elle ne m’avait pas remarqué.

-Julien ! Tu m’as fait peur ! dit-elle en rigolant un peu. Tu rentres du boulot ?

Très vite, elle avait troqué le vouvoiement avec moi contre un tutoiement familier. Ce qui ne me dérangeait pas. Au contraire.

-Heu… oui, ai-je répondu en redescendant sur terre. J’ai fini plus tôt, aujourd’hui. Je vais me faire à dîner devant un film.

-Ah, c’est super !

-Oui… Et toi ? Tu sors, on dirait.

-Ah… C’était le plan à la base, ouais.

La déception et la tristesse n’étaient pas dure à deviner.

-Mon copain devait m’emmener à une fête, ce soir, continua-t-elle. Mais il a annulé juste au moment où j’allais prendre un taxi pour le rejoindre.

-Pourquoi ?

-Je sais pas… Il a dit qu’il se sentait pas en forme, qu’il n’irait pas…

-Tu ne peux pas y aller sans lui ?

-Je pourrai. Mais sans lui, ça ne me tente pas trop.

-Je comprends, oui.

L’excuse du copain me paraissait louche et ressemblait à celles qu’on utilisait alors qu’on voyait quelqu’un d’autre. Ou je me faisais des idées. Bref, j’ai vite chassé ça de mon esprit.

-Bien… J’espère que tu arriveras à passer une bonne soirée quand même.

Alors que je rentrais ma clé dans la serrure pour ouvrir ma porte, j’eu une surprise de taille.

-Julien ! Attends ! Je sais que c’est un peu soudain mais… Est-ce que ça te dérange si je reste regarder ton film avec toi ?

Très surpris par sa demande, je n’ai pas su quoi répondre au début. Puis, j’ai réfléchi et me suis dit qu’elle voulait juste passer un moment détente en toute innocence.

-Pourquoi pas, ai-je dit. Ça me changera de mes soirées où je suis seul.

Son visage s’est illuminé à ma réponse. Je l’ai donc invité chez moi. L’intérieur de mon appart était sobre mais elle lui trouvait du charme. Elle apprécia beaucoup mon canapé quand je l’ai invité à s’installer. Malheureusement, pour le repas, je n’avais que des plats déjà préparé à réchauffer à lui proposer. Comme j’ai rarement l’occasion de cuisiner…

Mais elle m’a assuré que ça lui convenait et on s’est bien vite installé devant la télé pour regarder le film qu’elle avait choisi. Un film d’horreur classique, que je ne regardai qu’à moitié en vrai, profitant de complètement autre chose. Je ne savais pas si c’était une habitude qu’elle avait avec son copain ou quoi, mais Éloïse s’était collée à moi pour regarder le film. Pas que cela me déplaisait. C’était tout le contraire. J’aimais la sentir contre moi et profiter de l’odeur de son shampoing. À un moment, j’ai même osé poser ma main sur son épaule et la caresser un peu. Elle n’a pas réagi. Non ! Je l’ai vu sourire légèrement, mais toujours concentrée sur son film.

L’idée de tenter ma chance me traversa l’esprit. Après tout, une occasion comme celle-ci ne se répéterait sans doute pas. Mais avec précaution, quand même.

Doucement, mes doigts sont descendus jusqu’à sa hanche. Toujours un sourire de sa part et j’ai même cru percevoir un léger frisson. Elle semblait réceptive à mon petit jeu. J’ai commencé à la caresser à cet endroit, jusqu’à ce qu’elle pose sa main sur la mienne. J’ai d’abord pensé qu’elle allait la retirer en me faisant une scène ou je ne savais quoi mais au contraire, elle avait l’air de vouloir m’encourager à continuer.

Je me suis mis à lui caresser franchement et elle s’est un peu plus collée contre moi. Sentir sa poitrine contre moi me plaisait… Enhardi, je me suis risqué à glisser vers sa cuisse.

Je l’ai clairement senti frissonner.

Est-ce que je pouvais aller plus loin ? Est-ce qu’elle me laisserait aller plus loin ?

Ces questions en tête, ma main s’est vite lassée de sa cuisse et a voulu remonter plus haut, pour saisir sa croupe.

-Ha !

Elle a poussé un gémissement à la fois mignon… et sensuelle. Et assez fort, aussi. J’avais peur d’avoir été trop vite ou qu’elle trouve le geste déplacé. Anxieux, je lui ai jeté un regard, qui a croisé le sien. Toute souriante, elle s’est approchée de mon oreille et m’a susurré d’une voix sensuelle :

-Coquin…

Si j’avais encore été un ado, j’aurais sans doute rougi si fortement qu’on aurait pu confondre ma tête avec une tomate.

Mais je pense que ça a empiré quand, subitement, elle s’est mise à embrasser mon cou. J’ai eu comme un électrochoc à ce moment et quand j’ai voulu lui demander ce qu’elle faisait, elle m’a fait taire en scellant mes lèvres avec les siennes. J’étais tenté de répondre à son baiser mais d’un autre côté, je pensais au fait qu’elle avait quelqu’un et…

Et je n’ai pas pu résister à la tentation.

Je l’ai embrassé franchement tout en lui caressant la nuque et elle, elle s’amusait avec ma langue en utilisant la sienne. Bien sûr, nous nous fichions du film, maintenant. Elle était plus intéressée à s’installer à califourchon sur moi et moi, à la peloter pendant que nous nous embrassions. Je m’amusais à pétrir ses fesses comme s’il s’agissait d’une pâte à pain moelleuse. Et c’était encore plus agréable après lui avoir relevé cette robe trop courte, pour que je puisse palper à nu son fessier.

-Pressée ? me demanda-t-elle en rigolant un peu.

-Tu vas pas tout arrêter maintenant, quand même !

-J’ai pas dit ça…

Tout en me souriant espièglement, elle s’est mise à faire ma ceinture et baisser ma braguette.

-Attends ! Laisse-moi aller chercher une…

-Non ! J’ai envie de goûter ce que tu me caches depuis tout ce temps !

Telle une furie, elle m’a presque arraché mon boxer pour libérer mon sexe en érection. Je l’ai vu se lécher les babines, avant de le gober comme une sucette et de le « manger » comme telle au début. Le contact de sa langue sur mon gland… Je n’avais pas les mots. Et ça ne s’est pas arrangé quand elle s’est mise faire des allez et venues avec sa bouche, en prenant soin que sa langue caresse ma queue dans sa bouche chaude. Pendant qu’elle me dévorait mon entrejambe, je ne pouvais que gémir et frissonner d’excitation, tout en appuyant sur sa tête. Comme si je ne voulais pas qu’elle s’arrête. Sans doute mes instincts primaires qui faisaient bouger mon corps malgré moi…

Face à tant de stimulations, additionné au fait que j’étais célibataire et que je ne m’étais pas masturbé depuis moment, je n’ai malheureusement pas pu me retenir bien longtemps et j’ai fini par éjaculer dans sa bouche. Dès lors que mon sperme a commencé à gicler, j’ai retenu de force sa tête pour m’assurer qu’elle garde tout en bouche. Ce qu’elle a fait. En se redressant, elle a même ouvert la bouche pour me montrer fièrement qu’elle avait avalé ma semence.

-Baise-moi, m’a-t-elle alors ordonné, plus excité qu’autoritaire.

Elle n’a alors pas hésité à enlever son string et avant que je ne puisse lui donner une réponse, elle s’est empalée sur mon membre dans un gémissement de plaisir qui hante encore mes nuits. On ne s’est même pas soucié de prendre un préservatif ou non. Je la voulais et elle me voulait. Très vite, nous nous sommes débarrassés du reste de nos vêtements et alors qu’elle se déhanchait sur moi, je lui ramonais son intérieur avec ma verge plus raide que jamais.

Si c’était un rêve, je ne voulais pas me réveiller. La belle Éloïse, ma voisine de palier, était chez moi et je la sautais !

Bien vite, nous avons changé de position : elle, à quatre pattes sur mon canapé, et moi qui la culbutais comme une salope. Je pouvais me le permettre : je n’étais pas son copain, après tout… De plus…

-Encore ! Encore !

Elle me suppliait presque de la prendre comme ça. Pour mon plus grand plaisir.

J’en profitais pour lui foutre une ou deux claques au cul et pour récompense, j’ai eu des petits cris de plaisirs accompagnés de regards aguicheurs qui m’invitaient à continue.

Je ne sais pas combien de temps on a continué comme ça, mais à la fin, après qu’elle ait jouit, je me suis retiré pour finir sur ses belles petites fesses rondes. Le voir couvert de mon sperme, c’était idiot mais je ne pouvais m’empêcher d’être fier de mon « œuvre ».

Haletante et tremblante, Éloïse m’a regardé avec un sourire espiègle à faire fondre et en a réclamé encore. Il ne m’en fallait pas plus pour m’exciter. Je l’ai traîné dans ma chambre pour qu’on soit plus à l’aise et nous avons repris notre petite affaire dans mon lit. Avec des préservatifs, cette fois. Je l’ai prise dans tous les sens et l’ai fait crier de plaisir. J’avais l’impression de retrouver ma jeunesse, une époque où je pensais plus avec ma bite que mon cerveau. Et elle, elle en voulait toujours plus…

Nous avons baisé ainsi, comme des animaux en chaleur, jusqu’au petit matin.


Nous étions en sueur et épuisé, mais il nous fallait nous lever pour notre journée de travail. Nous avons pris une douche ensemble, avec des caresses et des embrassades comme de jeunes amants, avant de sortir de chez moi. Elle devait passer chez elle se changer vite fait avant d’aller en cours et moi, je devais aller travailler. J’étais fourbu par notre nuit torride et j’avais le sentiment que la journée allait être longue…

Avant que je ne m’engage dans les escaliers, Éloïse m’a rattrapé et m’a attrapé par le col pour me rouler la plus belle des pelles, avant de déclarer :

-Il faudra qu’on remette ça…

Et seulement là, elle m’a laissé partir.

Elle voulait donc qu’on se revoit pour ça…

À titre personnel, je n’avais absolument rien contre…

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