Time Hans Zimmer

2 minutes de lecture

Alors, "Time Hans Zimmer", ah, là.

Lancement du morceau

Allez je ferme les yeux j'écoute.

Le morceau démarre

Oh c'est au piano !

C'est sympa, j'imagine bien, un soldat qui part et qui laisse sa famille. Tiens ça me rappelle le thème de la cinématique de "Fallout 4".

Ah, un autre instrument, un violon peut-être.

Attends, on n'est pas au millieu du morceau ! J'ai l'impression que ça fait déjà dix minutes que je l'écoute, le titre prend tout son sens...

Je crois qu'une musique ne m'a jamais fait ressentir ça, en plus les petits bruits derrière comme des tambours c'est comme s'ils rendaient la musique tragique.

Woaw ! Ça monte d'un coup en intensité, j'en ai des frissons partout et mon coeur vibre avec les notes.

C'est quoi ça, je pleure ? C'est la première fois que ça me fait ça, j'ai l'impression de me faire emporter dans les airs par les notes c'est...extra-ordinaire.

Oh là, ça devient tout bas d'un coup.

le morceau se termine

Je ne sais pas quoi dire, c'était juste...sublime, c'est la première fois qu'une musique me fait un tel effet, mes mains tremblent encore !

Au début ça m'évoquait un soldat qui part comme je l'ai dit, mais maintenant, après avoir écouté le morceau en entier, ça me rappel la vie, au début c'est lent et bas juste le piano qui vient donné un léger sens, comme un bébé.

Puis les violons je crois viennent troubler ça, le rythme s'accelère, ils mettent comme le chaos dans tout ça, suivie de peu par les tambours au loin, je crois. Ça m'évoque le passage à l'adolesence.

Après le volume monte en intensité, le rythme avec, quelques instruments se rajoutent, enfin je crois. On se sent porté par ma mélodie, je vois ça comme l'âge adulte, où tout va si vite.

Soudainement le rythme se casse, le volume se baisse et les instruments s'en vont petit à petit, comme la fin de la vie où l'on devient plus lent, les instruments qui partent me rappel nos proches qui s'en vont avant nous.

C'est juste une magnifique musique qui m'a totalement renversé, je ressens encore quelque chose dans ma poitrine, c'est indescriptible. J'ai presque les larmes qui me reviennent.

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