Garm, Chienne.

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Quatre bonnes heures s'écoulèrent, Garm s'éveilla, la fille était toujours à la barre.

Elle le vit s'étirer, et bailler. Elle attacha rapidement le gouvernail, et remplit une louchette d'eau qu'elle puisa dans une petite baille au pied du mât, elle la lui tendit avec déférence, se prosternant à ses pieds. Il but et la remercia. Ces remerciements la comblèrent de bonheur. On ne lui avait jamais encore dit merci, c’était pour elle plus qu’un cadeau. Elle retourna reprendre la barre. Maintenant reposé, il avait envie d'elle, une envie animale, une envie irrépressible et soudaine. Il se dirigea vers l'esclave, et se campa devant elle. Il lui prit la tête à deux mains, lui présentant son sexe déjà raide. Elle comprit, ouvrit la bouche, goba le tout avec gourmandise. Comme les autres pensa-t-elle, mais son sperme a bon goût, et sa queue est douce. Il sentait la langue qui passait sous son pénis, elle mordillait délicatement le membre, elle jouait avec le prépuce. Ses petites mains légères lui pétrissaient les fesses, puis les bourses plus délicatement encore. Elle avait ressorti le sexe de sa bouche pour mieux l'avaler, elle faisait de lents mouvements de va et vient, la pointe de sa langue s'attardait, titillant le gland, puis elle inspira faisant le vide. Elle renouvelait sans cesse les mouvements de la langue, des lèvres. Le souvenir d'Honorata lui glaça le sang.

La honte mêlée de chagrin l'envahit. Il décida que cela suffisait. Il ressortit brusquement son vit encore rigide, comme si elle l'avait mordu, comme si sa bouche était devenue un piège mortel. Elle avança la tête semblant dire encore.

  • Assez !
  • Mais maître, laisse-moi finir, s'il te plaît, maître s'il te plaît…

Son désir était si grand, depuis si longtemps… C'était si facile, un peu de baume, alors… La petite était si fraîche… Dans le fleuve il s'était déjà laissé faire, alors…

  • Soit !

Heureuse, elle reprit le membre, l'engloutissant de nouveau, aspirant plus vite, plus fort. Il se laissa aller, et rapidement, lui colla la tête contre son pubis, elle sentait le phallus cogner son palais, l'empêchant de respirer, lui donnant presque envie de vomir, il glissa sur la glotte, et soudain il explosa dans sa gorge. Un torrent de foutre lui remplit la bouche. Elle tenta vainement de tout boire, mais le sexe était toujours là, au chaud, pour un temps encore rigide. Elle avala de travers, s'étouffa, éternua. Du sperme blanc et gluant, lui sortit par le nez. Elle rougit, confuse.

  • Maître, excuse-moi, être indigne de ta semence, bats-moi j’ai fait mal. Dit-elle la bouche dégoulinante d’un liquide qui ressemblait à des glaires.
  • Mais non idiote, bien au contraire, tu m'excites, tu fais de moi un enfant de Priape, petite Aphrodite, Je serais ton Arès, tu es bien ma Chienne que je vais flatter à grands coups de queue, les dieux m'en sont témoins ! Dirige-toi vers la berge.

Il retourna à la proue saisie l'ancre de bois et de pierre, la lança. En se retournant, il jeta sa tunique, et revint à la poupe.

  • Retournes-toi que je t'encule. À ces mots son membre devint dur.

Il pensait que jamais il n’avait parlé ainsi à Honorata, jamais non plus il ne l’avait sodomisée. Ses pensées hérétiques pour elle, il les avait refoulées.

  • Je serais le fourreau de mon maître. Il lui cracha dans la raie des fesses.
  • Si maître veut bien, il ya huile d'olive à côté de lui.

Garm regarda, il y avait bien une petite amphore, il la souleva en renversa quelques gouttes sur la croupe rebondi ainsi que sur son sexe, il lui malaxa les fesses, son pouce s'enfonça profondément, facilement dans l'anus, de l'autre main il caressa le clitoris, elle mouillait, cela lui plut, il la sodomisa, il la lima avec ardeur et volupté. Elle lui demanda l'autorisation de gémir. Bon prince, il l'autorisa, il eut presque envie de rire à cette prière. Elle fermait les yeux, se mordillait les lèvres, se tortillait, elle aussi sentait que des vagues de plaisir allaient la submerger. Visiblement elle ressentait une jouissance certaine à cette chevauchée endiablée. Être la chose de ce guerrier implacable, lui donner du plaisir, inverser les rôles, être maîtresse de ce corps musclé. Cette verge était devenue son objet, sa chose à elle. Tout cela ajouté à son excitation. Il éjacula puis il se retira entraînant un long filet blanchâtre qui dégoulina sur le pont. Elle se retourna, et d’un air gourmand, elle lécha comme à son habitude le membre viril, puis de sa langue elle nettoya les reliefs du coït qui dessinaient de petites flaques à ses pieds. Elle lui embrassa les pieds, et prosternée, elle attendit ses ordres.

  • Merci petite, tu m’as donné bien du plaisir. Bon assez d'amusement. Je vais faire l'inventaire de la cargaison.
  • Moi, quoi faire maître ?
  • Aide-moi à tout compter.
  • Pas savoir maître, moi compter jusqu'à 10, être bête esclave sexuelle, je ouvrir les cuisses.
  • Tant pis, je me passerais de tes services.

Il trouva de nombreuses armes, deux tonneaux de vin, deux douzaines d'amphores d'huile d'olive, un tonneau de pommes au miel, dix jarres de garoum, du poisson séché dans quatre autres tonneaux, de la viande fumée, une caisse de petits fromages, trois balles de laine des hautes terres, une bâche, une caisse de vivres divers, des outils, des lingots de cuivre et d’étain, dix coffres remplis de marchandises de pacotille qui servaient de banc aux rameurs. Il découvrit aussi des rouleaux de cartes, chose rarissime à bord de ce type de navires.

  • Tu ne sais peut-être pas compter, mais tu n'es pas sourde, ton maître de quoi parlait il ? Tout en écoutant, il furetait, il trouva un coffre fermé à clef caché à la poupe sous le pont mobile, la serrure ne lui résista pas longtemps, dedans il y avait la solde de la troisième légion, ainsi que divers documents.
  • De quoi parlaient les légionnaires ?
  • Être salope, bonne putain, bon crachoir à foutre, de prendre moi tous en même temps.
  • Non, je veux dire de quoi d'autre parlaient ils ? Où voulaient-ils aller ? Est-ce qu'ils parlaient d'autres hommes ? Que voulaient-ils faire ?
  • Ha, eux ! Dirent rendez-vous Policastrum, parler Aeentinus Varro, Subarnipal. Pas respecter marché. Moi pas tout entendre, moi à être...
  • Oui, toi être bonne petite putain, je sais...
  • Oui, bonne putain, maître vouloir baiser encore ?

Il ne répondit pas, il soupira, haussa simplement les épaules. Étrange, l'affaire prenait une tournure inattendue pensa Garm.

  • On lève l'ancre, je prends la barre. Peut-on retirer tes chaînes ?
  • Non tous les fers, mon collier rivetés à Aquilata. Elle réfléchit, cherchant ses mots, essayant de former des phrases avec son vocabulaire primitif.
  • Mon maître, retirer moi bordel Aquilata, cinq lunes, enlever chaînes des pieds, pour être sur bateau, plus facile pour travailler, vouloir vendre moi à Domina.
  • Viens, je veux voir cela de près.

Elle s'approcha, il détailla le collier de bronze dont l'intérieur était doublé de cuire, où quatre anneaux de métal étaient fixés, chacun avait une fonction, deux d'entre eux étaient reliés par une chaîne à ses poignets, au troisième la longe pendait, le dernier dans son dos était libre. Il caressa doucement le crâne lisse, derrière son oreille droite était tatoué une petite chienne assise, il prit le bout de la longe, songeur il joua avec. Jadis avant d'être affranchie, la mère de Res Ser, encore enfant, avait dû porter le même collier, avant d'être l'une des plus grand mime de la capitale, puis la concubine du père d'Honorius, et enfin d'être la pédagogue de sa dame. Son Empereur était aussi son disciple, il se demanda si tout était joué d'avance, le poids d'un simple anneau de bronze pouvait faire basculer la balance du destin, il se demandait pourquoi le hasard jouaient ainsi avec leurs existences ? Pourquoi avait-il quité la terre ?

Mais peut-on comprendre, ce qui par essence se situe au-delà de notre perception. Il avait eu de longues conversations sur ce sujet avec Teixó et de nombreux menbres de la Guile Souveraine, sa mission était de controler Res Ser et Honorius, d'en faire des pions de la Guilde. Jadis les Empereur marchaient droits, croyaient en des Dieux qu'on leur avait fabriqués. Mais ce jeune Empereur, était totalement athée, pourtant, il était sensé représenter les dieux sur cette terre, sa piétée de façade et sa méfiance envers la Guilde avait le don de l'horripiler. Pour Honorius, tout cela il l'appelait un galimatias de superstitions. À si le peuple savait disait-il sur un ton de menace.

Mais le peuple est un troupeau, qui ne demande qu'à être dominé, c'est du moins ce que disait la Guilde. Il pensait aussi à l'ancien, Maître des assassins qui lui avait fait l'honneur de le reconnaître comme son successeur, pour un peu il aurait ri. Il lui avait assigné la tâche de protéger Honorius, décidement... Mais pour Reg Garm, dont le vrai nom était, Graf Garmer von Grugger, cadet d’une des plus grandes familles du Cartel, un être pour qui la valeur d’une vie ne représentait rien. Un être capable de lever une flotte intergalactique et même de détruire une planète, en être réduit à jouer les nounoues, quelle déchéance ! Ce devait être dans son sang. Même maître des hors la loi, et couvert de gloire, Reg Garm préférait maintenant battre la campagne, se mêler à la population, les longues jérémiades des sénateurs l'ennuyaient, il préférait avoir une épée dans chaque main, faire face à l'ennemi, ou banqueter avec des compagnons d'armes, car en lui brulait la flame des dieux destructeurs. Il en avait le pouvoir et la quasi certitude d'être immortel.

comme un maquignon il détailla la petite. Elle était marquée sur l’épaule avec une marque canine, indiquant qu’elle avait été accouplée bestialement en public, probablement avec les dogue de son maître. Il joua avec les anneaux qu'elle portait à la poitrine, elle ne bougea pas patiente, attentive, servile.

  • À quel âge te les a-t-on posés ?
  • À Aquilata, quand maître à moi, m'a loué au grand lupanar du temple de Bêlit Ishtar, pour dresser moi, moi peut-être 12 ans. Lui avoir besoin beaucoup d'argent, moi être dressée, moi pouvoir être nourriture des dieux, anneaux au sexe, marquage aux reins dirent ça.
  • Tu as dû beaucoup souffrir, petites.
  • Être mon destin, moi rien être, juste obéir, donner plaisirs, être esclave, ma vie appartient au maître.
  • Au fait mon nom est Reg Garm. mais pour beaucoup je suis Res Garm, Tu ne dois dire à personne que je suis un maître arcani, en public tu devras te taire, tu comprends ? Elle acquiesça de la tête. Il reprit :
  • Jure sur Sancus, Dieu des serments.
  • Moi comprendre maître, je jure. Même si moi pas bien parler, même si parole à moi pas compter, moi longtemps enfermée, bouche juste pour sucer, avaler foutre. Moi juste obéir, garder silence.

Se taire, ces mots la renvoyaient à Aquilata, là où elle avait failli devenir folle à force de silence, et de torture, là où elle avait cru ne plus quitter sa minuscule cellule, ou pire, disparaître offerte en holocauste à Ishtar, déesse de la guerre et de la volupté. Il continuait ses caresses, descendant plus bas. Son indexe joua avec la fente de sa vulve, avant d'y entrer de façon distraite. Il en sentait la moiteur, il en devinait l'odeur, il joua avec les anneaux qu'elle avait aux grandes lèvres, il se lécha les doigts.

  • Par Bacchus ! Tu devrais t'habiller, sinon je vais passer la journée à te sauter. J'ai vu des péplos* à l'avant, prends-en un, et passe-moi ma tunique.

Elle revêtit l'habit de laine à contrecœur. Les deux pans rectangulaires de tissus bruns étaient attachés par une petite agrafe de bronze sur chacune de ses épaules, elle se servit de sa laisse pour s'en ceinturer. Garm quant à lui remit sa tenue de soldats, il négligea néanmoins la cotte de mailles. Il lui demanda de s’asseoir à côté de lui. Le bateau filait sur l'eau dans un courant ami. Des dauphins d’eau douce les accompagnèrent un moment, jouant avec la proue, avant de disparaître appelés par d’autres jeux. Le fleuve large, de dix stades était d'humeur sereine, on ne voyait bien que la rive droite, la berge était mangée de grands massifs de roseaux sauvages, de joncs qui hésitaient entre le vert et le jaune, les vastes étendues de nénuphars émeraudes semblaient leur faire un long marchepied, des arbres lacustres aux pneumatophores géants s'agitaient mollement sous la brise.

Peu de bruits venaient troubler le calme de cette fin de journée. C’était comme une petite musique dont les instruments étaient le son sourd des pas sur le pont, le grincement des lanières de cuir qui maintenaient le gouvernail placé à droite, les soupirs de l'adolescente qui écopait, du bruissement des flots glissants le long de la coque, le claquement de la voile, et du piaillement strident de quelques oiseaux. C'était un air simple, reposant, qui ponctuait le temps. Plus tard, Chienne couchée sur le ventre, laissa pendre sa main dans le courant. Elle chantonnait, elle se ravisa, prit un petit morceau de charbon de bois, et commença à dessiner le portrait de Garm au pied du mât. Lui savait que les berges resteraient sauvages, couvertes de végétation jusqu'à au moins deux jours d'Aquilata. Ils croisèrent quelques lintres qui toutes voiles dehors, remontaient le fleuve à force rames, ils cinglaient loin sur bâbord, cependant on entendait le son grave des tambours rythmant la vogue des avirons qui frappaient l’eau en cadence. Le soir arrivait, et de gros nuages noirs mangeaient le ciel qui rapidement s'assombrit. Des canards volant très bas s'en allaient vers le couchant, là où les nuées étaient encore dégagées. Le vaisseau se blottit assez profondément dans une petite anse, au milieu d'une forêt de joncs, devenant ainsi invisible. En ces temps troublés, il valait mieux être prudent. Il amena la voile et avec une bâche, il monta une tente, sorte de diacta qui couvrait la moitié du bateau. Autour d'eux, il n'y avait que le léger clapotis de l'eau, que le bruissement des végétaux empanachés. Ce calme contrastait avec le déchaînement de violence, et de fureur d'une déjà lointaine matinée. L'esclave alluma un petit brasero pour cuire le repas. Elle prépara une petite marmite de fèves au cumin pour accompagner la petite friture, qu'ils avaient péché durant l'après-midi.

Il insista pour qu'elle mange en même temps que lui, elle en était très gênée, ne sachant pas comment faire, qu'elle contenance prendre. Dès qu'il ébauchait un geste, elle pensait qu'il fallait qu'elle le resserve en nourriture. Il voulut lui expliquer qu'il était un soldat, qu'il avait l'habitude de faire seul bien des choses, mais devant l'ampleur de la tâche, il renonça, alors il la laissa le resservir. Reprenant de cette bouillie sans nom. Il trouva sa cuisine à peine mangeable, il n’en dit rien pour ne pas vexer la petite, mais pouvait il vexer une esclave ? Cette pensée le fit rire dans sa barbe naissante, il avait de la pitié pour sa jeune esclave, la prochaine fois, il s’occuperait du repas.

Ils finirent avec des petits fromages de chèvre au miel, puis ils grignotèrent quelques olives. Ils avaient fini le pain, et cela lui manquait, du fromage sans pain, c’était comme du fromage sans vin. Il chercha une gourde de vin, en trouva une, il allait boire, quand sa petite esclave intervint vivement, lui arrachant le breuvage.

  • ça, poison ! pour légionnaires, vin qui tue avec champignons.
  • Merci petite. Dit-il simplement.

Il vida la gourde, et la jeta par-dessus bord. Durant cette fin de souper ils parlèrent peu. Plus tard, après qu'elle eut lavé et rangé les écuelles. Chienne alluma les lampes à huile, pendant que l'homme parcourait les documents qu'il avait trouvés, elle prépara la couche près de laquelle, elle s'agenouilla nue, mains dans le dos, tête basse, sa laisse déroulée devant elle. Il était en train de lire attentivement un rouleau, quand il se rendit compte de la posture de son esclave, elle n’avait pas bougé depuis au moins dix minutes.

  • Qu’attends-tu ?
  • Que moi, être attachée au mât, maître.
  • En voilà une drôle d’idée, couche-toi sous les couvertures et dort.

Elle hésita, ne bougea pas, il n’y avait qu’un couchage, elle s’allongea heureuse. Après une petite heure il la rejoignit.

La nuit était avancée quand la pluie, une pluie de printemps, riche de senteurs légères commença à tomber. Les gouttes rebondissaient sur la toile, puis ce fut un long crépitement continu.

Garm à demie endormi, fut réveillé par le petit corps de Chienne qui se glissait tout contre lui, elle lui demanda tout doucement la permission de le masser, en réalité elle se frotta plus contre lui, qu’elle ne le massa. La chaleur de son corps le troubla. Il sentait sa respiration, un halètement de femelles en chaleur, une odeur d’amour, une odeur de miel et de musc. Ses mains agiles parcouraient son corps comme en terrain conquis, éveillant chez lui des sensations relaxantes et troublantes. Elle le fit se retourner sur le dos, lui mit sa longe entre les mains. Puis. Face à face, mais tous deux ayant les yeux clos, elle lui prit le pénis, elle le caressa un peu, et quand il prit de la roideur, elle se l'introduisit dans sa fente humide et tiède. À califourchon sur son seigneur, elle éprouvait le membre qui palpitait comme un cœur au sein de son intimité. La présence du phallus qui la pénétrait, la rassura, elle se sentait bien, là, empalée, fichée, plantée comme une victime à la pointe d'un glaive de chair et de sang. Elle se mordait les lèvres. Ses mains agrippèrent les rames, qui au-dessus d'elle, formaient le faîte de leur tente.

Les muscles de son vagin se contractaient au rythme de sa respiration.

Comme il ne bougeait pas, elle remua du bassin, elle fut parcourue de frissons, de puissants tremblements, et dans cet état de bienheureuses langueurs, elle continua un long moment, se concentrant sur son plaisir qui montait vers des sommets vertigineux, et cette verge qui ne mollissait pas, qui restait immobile en elle, c'était sans fin.

Puis elle sentit qu’il lui effleurait le bout des seins, que son pouce lui touchait le clitoris, délices, extases, saintes félicités, divins paradis, elle se laissa retomber, s'avachit sur le torse de son bourreau, palpitante petite chose qui pleurait, il la prit dans ses bras, l'embrassa dans le cou, puis sur la bouche.

Elle s'évanouit de bonheur.

Il plut toute la nuit.

péplos* : ( Les costumes masculins et féminins comprennent les vêtements de dessous (endymata), dont le principal est le chiton (tunique) ; et les vêtements de dessus (épiblêmata), principalement le manteau (himation), on trouve : la chlaina, gros manteau de laine pour l’hiver, le chlanis ou chlanidion, en étoffe légère, pour l’été, la chlamyde, manteau des cavaliers et des éphèbes. Les femmes portaient le chiton en lin ou le péplos en laine, et l’himation)

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