Plaisir lorsque tes yeux me disent ton désir

Délice quand ton corps s’éveille au doux supplice

Suprême jouissance si tu agis de même

Mécontente ? Quel étrange instant d’attente

Attire-moi pour ne pas que je me retire

Retiens-moi, l’étranger, un instant sur ton sein

Singulière étreinte, lorsque c’est la dernière.

Ce texte m'a été inspiré par celle à qui j'ai emprunté le premier vers, je le lui dédie.

Il ne s'agit pas d'un acrostiche, mais cette fleur qui rime dans chaque vers et reprend l'assonance au suivant, pousse aussi dans ce jardin.

JI 28/07/19