Chapitre 5 : Partie 10 à 12

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Alan continue à me masturber, à un moment. Il utilise sa seconde main pour me caresser les testicules, l’effet et presque immédiat, ça me fais jouir avec des jets de sperme puissants. Au passage, je lâche un bruit de soulagement très rauque. Au moment de jouir, je ferme les yeux et j'ai l'impression d'éclabousser Alan de ma semence.

- Jean : Oh la vache la dose !!

- Moi : Désolé Alan !

- Alan : C'est pas grave, j'ai l'habitude.

- Jean : Comment ça ?

Alan devint rouge comme une pivoine.

- Moi : Je crois qu'il a déjà fait ça.

- Alan rouge : Oui j'avoue.

- Jean : Ah bon mais avec qui ?

- Alan regardant Jean : On en parle après, je m'occupe de toi avant si tu veux.

- Jean : Ba je suis bien excité oui. Tu veux que je m'occupe de toi ?

- Alan : Fait comme tu veux, je ne te force à rien.

- Moi : Si tu veux Jean, je vais m'occuper de lui.

- Jean : Comme tu veux toi.

- Alan souriant : Vous disputez pas.

- Moi souriant : T'en fait pas, je m'occupe de toi.

Alan se tourne vers Jean, il le regarde droit dans les yeux. Je vois dans les yeux de Jean une certaine appréhension de ce qu’il va se passer, Alan ne le quitte pas des yeux et le rassure.

- Alan : T’en fais pas, je te ferai pas de mal au contraire.

Jean se laisse faire, mais il n’est pas encore complètement détendu. Comme avec moi Alan commence à caresser le torse de Jean, immédiatement je semble apaisé.

De mon côté, je caresse le dos d’Alan qui est à genoux. Motivé par mes papouilles, Alan descend rapidement vers le sexe de Jean et le prend en main. Je caresse alors les fesses d’Alan, puis je l’invite à se mettre sur le côté afin de me faciliter accès à son membre viril. Il s'exécute, il se tourne afin de me permettre un accès plus aisé.

Je lui caresse les bourses, je vois immédiatement l’effet de mes caresses, son engin dressé se gonfle davantage. Il semble réclamer une attention particulière. Sans plus attendre, je le saisis et commence à faire des va et viens. Jean commence à se cambrer sérieusement et sa respiration se fait plus saccadée. Il est proche de la jouissance je pense.

Alan semble également apprécier mes mouvements le long de sa verge, je les accélère et les ralentis de temps à autre. J’essaye de lui rendre les sensations qu’il m’a fait ressentir auparavant. Jean gémit de plus en plus, Alan réussi finalement à faire jaillir son bâton de joie. Jean émet quelques ultimes gémissements de soulagement. Alan n’a pas encore joui, j’accélère alors mes mouvements, jusqu'à finalement réussir à lui faire déverser son jus, naturellement accompagné d’un soupir d’extase.

Partie 11

Quelques instants après cette transe commune, nous sommes tous nus, allongés par terre. Tous couverts de quelques traces de semence. Je me lève, prends des mouchoirs afin d’essuyer les traces sur le sol et les coussins. Je m’essuie quelque peu le corps également.

- Moi : Je vais aller me doucher parce que je suis tout poisseux.

- Alan : Je pourrais y aller après aussi ?

- Moi: Bien sûr on te passera une serviette.

- Alan : Merci !

Alan se rapproche de ses vêtements.

- Alan : Putain merde !

- Jean : Qu’est-ce qui se passe ?

- Alan : On a giclé sur mon slip ça craint !

- Pierre: Ba Jean tu peux lui passer un des tiens ? On lavera celui-ci et on te le rend dès qu’il est propre.

- Alan : Je ne dis pas non parce que ça craint sinon.

- Jean : Pas de soucis, je vais t’en chercher un. Toute façon moi aussi faut que j’en change après la douche.

Jean sort de ma chambre et file dans la sienne juste à côté. Pendant ce temps, j’attrape un slip, c’est le premier truc qui me tombe sous la main. Je me dirige vers la douche, je n’ai qu’une hâte, me laver j’enfilerai le reste de mes vêtements pendant la douche des autres.

Sous la douche, je ne cesse de penser à ce que nous venons de faire. J’avoue que j’ai particulièrement apprécié. Je songe un instant au fait que vis-à-vis d’Amandine ce n’est peut-être pas très correct.

Je ne sais pas trop quoi en penser, car après tout nous n’avons rien fait de particulièrement sérieux, il m’est déjà arrivé de me masturber, et là c’est juste un autre qu’il l’a fait pour moi.

Je relativise en me savonnant abondamment, me rince, me sèche et enfile mon slip rapidement, afin de laisser la place à l’un des deux amis. De retour dans ma chambre, j’arrive au cours d’une discussion plutôt banale entre Jean et Alan. Alan et Jean sont toujours nus dans ma chambre. Dès que Jean me voit entrer il pose une question.

- Jean : Dit Alan, tu disais tout à l’heure que tu avais l’habitude, tu peux nous en dire plus ?

Immédiatement Alan se transforme en tomate tellement il est rouge.

- Alan : Quelle idée j’ai eu de dire ça moi.

- Moi : Ba oui, mais faut assumer, maintenant tu nous dois des explications.

- Alan : Oui c’est vrai, pour tout vous dire, ce n’est pas la première fois que je fais des choses comme ça avec des garçons.

- Moi : Vu ta technique ça se voit !

- Alan rougissant : Oui bon ça va !

- Jean : Tu l’as fait avec qui ?

- Alan : Trois ou quatre potes.

- Jean surpris : En même temps ??

- Alan: Non ! C’est la première fois à plus que deux.

- Jean : Mais en fait t’es gay ?

- Alan rougissant : Franchement je sais pas, y’a des filles qui me plaisent bien.

- Jean curieux : Tu as déjà fait avec une fille ?

- Alan : Non et vous deux ?

- Jean : Non plus.

Je tarde à répondre et je deviens rouge.

- Alan : Et toi Pierre ?

- Moi : Ne le répétez pas, mais non.

- Jean surpris : Sérieux, je pensais que tu l’avais fait moi.

- Moi : Bin non, faut déjà trouver une fille qui veuille, pour ça.

Nous rions tous ensemble de bon cœur.

- Jean : Tu veux aller à la douche Alan ou je peux y aller ?

- Alan : Vas-y, j’attendrai mon tour.

Jean part avec tous ses vêtements dans la salle de bain. Je reste avec Alan dans ma chambre.

- Alan : Je trouve que le slip te va mieux que le boxer !

- Moi riant : Merci.

Je me dirige vers les quelques vêtements posés à terre et les remets.

- Alan : Bon ça t'as plu alors ?

- Moi rougissant : Bah oui !

- Alan : Tu t’en es bien sorti pour une première fois sur un autre !

- Moi : Ah tu t’es rendu compte que je ne l’ai jamais fait avant.

- Alan : Oui, mais ce n’est pas grave.

- Moi : Ok, merci pour l'expérience en tout cas !

- Alan : De rien ! Merci à toi d’avoir joué le jeu !

- Moi : De rien.

- Alan : Tu n’as pas de copine ?

- Moi : Si mais ça fait pas très longtemps.

- Alan : Ok c'est la première ?

- Moi : La première qui compte.

- Alan : Super, je te souhaite que ça dure.

- Moi : Merci, je ne sais pas trop ce qu'elle penserait de ce qu'on vient de faire.

- Alan : Bof on a rien fait de méchant, y'a plein de garçons de nos âges qui font ça.

- Moi : Tu penses ?

- Alan : C'est sûr, mais tu sais ce n’est pas comme si tu l'avais trompée c'est comme si tu t'étais branlé !

- Moi : Oui c'est vrai.

- Alan : T'en fais pas, les filles savent comment ça marche les garçons, donc elle comprendra.

- Moi : Oui, tu as sûrement raison ! Tu n’as pas froid tout nu là?

- Alan : Je commence, mais ça va.

- Moi : Ok.

Jean débarque à ce moment-là et lance « c'est libre » à Alan, celui-ci saisit le slip que Jean lui a passé et ses quelques vêtements pour se diriger vers la salle de bain.

Partie 12

Jean et moi sommes tous les deux dans ma chambre.

- Moi : Ça va, pas trop émoustillé ?

- Jean : Non c'était top, je vais être beaucoup moins complexé maintenant.

- Moi : Je te l’ai déjà dit.

- Jean : Oui bah, maintenant je te crois ! En plus maintenant que j’ai vraiment vu à quoi elle ressemblera, j’ai un peu hâte quand même.

-Moi riant : T’es jaloux maintenant c’est malin !

- Jean : Non pas jaloux, impatient !

- Moi : Ça viendra bientôt à mon avis.

- Jean : Oui je pense aussi.

- Moi : Bref maintenant que tu sais ca d’Alan, ça va changer quelque chose pour toi ?

- Jean : Qu’il soit hétéro ou homo ou les deux m’importe peu, il reste mon ami. Là- dessus je m’en fiche royalement !

- Moi : Tu as raison, c’est un gars super sympa.

- Jean : Ouais grave, c’est un peu comme avec toi on parle assez librement.

- Moi : Super j’ai hâte que tu reviennes pour me raconter tout ça !

- Jean : Moi aussi.

Jean et moi rassemblons les coussins tachés, nous retirons les housses, puis passons un peu d’eau sur les traces au sol. Une fois fini, je descends immédiatement le linge sale d’Alan, je le joins à la machine et la lance dans la foulée.

Suite à quoi je remonte et je retrouve Jean et Alan qui vient tout juste de sortir de la douche. Le reste de la journée est plus “sage” nous jouons quelques partie de console de nouveau, puis nous allons dehors dès que nous nous rendons compte que la pluie a cessé. Une fois à l'extérieur, je parle doucement à Alan alors que Jean est devant nous.

- Moi : Franchement merci pour mon frère.

- Alan : De quoi ?

- Moi : De lui avoir permis de se décomplexer.

- Alan : J’avais la même crainte, avant de voir que je ne n’étais pas le seul dans ce cas-là.

- Moi : Ba je l’ai été aussi, mais il peine à me croire et comme tu l’a vu.

- Alan : Maintenant qu’il a vu la mienne, ça ira mieux.

- Moi : C’est sûr !

- Jean : Ça complote derrière ?

- Moi riant : Grave !

- Alan riant : Il plaisante, on papote !

- Jean : De quoi ?

- Alan improvisant : De sexe !

- Jean : Encore ? Mais vous pensez qu’à ça !

- Alan : Comme toi !

Je ris suite à cette magnifique rengaine, Jean et Alan ne tardent pas à se joindre à mon hilarité.

Durant facilement une heure nous jouons au ballon dans le jardin puis une fois fatigués nous rentrons. Après quoi les parents d’Alan arrivent pour récupérer les deux amis.

Nous les saluons, puis je discute rapidement avec eux et Alan tandis que Jean pars chercher ses affaires dans sa chambre. J’apprends alors qu’Alan et Jean sont les seuls à partir avec eux et que le grand frère d’Alan lui est parti en colonie pour la quasi-totalité des vacances.

Une fois Jean redescendu, il charge sa valise dans le coffre de la voiture et s’approche de moi pour me dire au revoir. Je l'enlace et lui souhaite une bonne semaine.

- Jean chuchotant : Bonne chance avec Amandine.

- Moi chuchotant, taquin : Bonne chance avec Alan.

- Jean : T’es con !

- Moi : Je plaisante !

- Jean : Je sais.

- Moi : Allez bonne semaine.

- Jean : Merci !

Je serre la main d’Alan et salue ses parents.

De retour à la maison, je sens un grand vide. La semaine va être longue sans personne à la maison. Je me mets devant la télévision et zappe sans trop savoir quoi regarder, et comme d’habitude, je tombe sur l’un de ces programme que j’appelle “poubelle” à savoir “Les princes de l’amour”. Je les regarde car ça me vide l’esprit et ils me font souvent rire quand je vois leur niveau intellectuel. Peu de temps après mes parents rentrent, Papa se contente d’un petit “salut”.

- Maman : Salut Pierrot ça va ?

- Moi : Oui maman et toi ?

- Maman : Bien merci. Ça va tu t’es pas senti abandonné aujourd’hui ?

- Moi : Non ça va, c’est à partir de demain où ça va vraiment me faire bizarre.

- Papa: Ah tu as choisi, tu ne viens pas avec nous alors ?

- Moi : Oui je reste tranquille.

- Papa: Ok pas de problème.

- Maman : Du coup chéri, on charge les valises ce soir, on ne repasse pas à la maison demain ?

- Papa : Oui on va faire comme ça.

- Maman : Du coup Pierre, tu pourras faire un brin de ménage et les lessives ?

- Moi : Bien sûr !

- Maman : Fais bien le ménage après ta fiesta.

- Moi surpris : Je fais pas la fiesta !

- Papa riant: Oui tu nous as compris, on se doute bien que tu as invité un ami au moins donc essaye de bien penser à nettoyer.

- Moi : Oui d’accord, d’ailleurs j’ai fait tourner une lessive tout à l’heure je vais aller l'étendre.

- Maman : Super !

Je sors du salon, je me dirige vers la buanderie pour m’occuper de la machine, je mets tout à sécher sur le portant. Je prends garde de ne pas mettre en évidence le slip d’Alan, je ne voudrais pas que mes parents nous posent des questions, même si je doute qu’ils s’en rendent compte. Une fois la lessive étendue, je retourne vers mes parents qui sont affairés à la cuisine.

- Maman : Je te fais un peu plus pour ce week-end ?

- Moi : Je ne dis pas non.

- Maman : Tu as invité combien de personnes ? Je demande pour que je prévoie suffisamment.

- Moi : Merci maman, j’ai invité juste une personne.

- Maman : De rien mais je ferai ça après manger. Si tu veux m’aider un peu tu apprendras à cuisiner comme ça.

- Moi : Oui maman.

Je ne peux décemment pas lui dire non, elle me prépare à manger pour le week-end, sans que je lui demande quoi que ce soit. Elle prépare aussi plus pour mon invitée. Sans qu’on me le demande, je mets la table lorsque je me rends compte que maman a presque terminé de préparer notre repas. Nous nous installons mon père et moi autour de la table j’ai la sensation que Papa est absorbé dans ses pensées, c’est relativement fréquent chez lui.

- Moi : Papa ? Ça va ?

- Papa : Oui oui merci et toi ?

- Moi : Oui oui, à quoi tu penses ?

- Papa : A vrai dire, j’ai pas passé une super journée mais rien de grave. J’essaye de me sortir ça de la tête et penser au week-end à venir.

- Moi : D’accord, tu sais que quoi qu’il arrive nous sommes tous là pour toi !

- Papa souriant : Brave garçon ! C’est très gentil de te soucier de moi. Quand tu seras un homme, tu comprendras que des fois dans la vie, il y a des choses qui ne vont pas forcément comme tu voudrais et qu’il faut juste un peu de temps pour passer à autre chose.

- Moi : Mais ton travail te plait pas ?

- Papa souriant : Si mon fils ! C’est juste des gens au travail, des fois ils ne sont pas faciles à vivre.

- Moi : Comme à l'école ?

- Papa riant : Pire !

Je ris devant la réponse de mon père en retour il me sourit.

- Moi : Ça donne pas trop envie de travailler.

- Papa : L’école c'était la belle vie, mais je ne me verrais pas y retourner pour autant.

- Moi : Euh je m’imagine dans la même classe que toi...

- Papa : Oui ça serait particulier comme situation.

- Moi : Oui, non merci reste au travail finalement.

Papa se met à rire devant ma conclusion.

- Papa riant : Sacré Pierrot.

Nous mangeons enfin, nous discutons de leur week-end. J'apprends alors que mon père a eu la confirmation que tous les « jeunes » ne seront pas là, je me serais effectivement bien ennuyé si j'y étais allé. Mes parents m'avaient dit que ça risquait d’être le cas dès le départ de tout manière.

Une fois le repas terminé, j'aide ma mère à faire quelques petits plats pour le week-end, mon menu est tout fait, quiches, purée, petits légumes et panais. J'aurai également des steaks et du poisson que je chaufferai au besoin. Après tout ce travail, je suis bien fatigué, je monte me coucher après avoir embrassé mes deux parents.

- Moi : Bon week-end !

- Maman : Toi aussi !

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