L’hôpital 

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J’entre dans ta chambre. Mes copines sont prévenues et ne nous dérangeront pas. Elles m’ont même prêtée une blouse …

La porte bien fermée, à demi comateux sous l’effet des médicaments, tu souris en me voyant si inhabituellement vêtue. Tu me réclames un baiser mais je te propose un strip tease, tentatrice que je suis. Les boutons sautent un à un, dévoilant ma poitrine dans le même état que ta tête chercheuse : tendue et dure.

Je m’approche de toi où je sens déjà que Morphée t’attrape mais tu luttes pour profiter de cette surprise inattendue. Le baiser est doux et je me love contre toi partageant notre chaleur corporelle. Tu as du mal à parler, les médicaments faisant puissamment leur effet mais tes yeux disent que tu es heureux.

Je te dis de dormir que je passe la nuit là pour te chouchouter. Ma main posée sur la tienne, nos cuisses l’une contre l’autre. Mes doigts parcourent par effleurement ton avant-bras. Ta main libérée vient se caler entre mes jambes, au chaud.

Ma main poursuit son chemin jusqu’à l’épaule pour rejoindre ton cou avant de s’attarder sur ton téton gauche très sensible malgré ta phase de sommeil débutée. Mon index se promène sur cette peau douce, sensuellement. Ton nombril a un traitement de faveur par de petits cercles autour de ce centre. Tu dors vraiment. Donc je reprendrai la suite à ton réveil.

Les heures passent.

Tu remues un peu, tu commences à te réveiller. Je suis restée collée à toi toute la nuit la tête sur ton épaule.

  • bonjour bel ange
  • Bonjour belle ange, j’ai mal mais beaucoup moins parce que tu es là et hier soir tu t’es arrêtée trop haut. Je pense que tu as le pouvoir de m’anesthésier la douleur en jouant avec mon cerveau du bas.

Je n’ai pas vraiment attendu que tu termines que ma main a déjà repris sa promenade matinale et masculine. Et je souris tellement le train est bien mouvant déjà. Visiblement tu es en forme. Je n’ai pas besoin d’activer ton manche qu’il est déjà dur et en action. Quel réveil. Je suis partagée entre te chevaucher et te faire une fellation. Mais je t’ai chevauché avant l’hospitalisation sans avoir eu le loisir de te goûter donc ma tête part à la rencontre de la bête excitée. Je passe ma langue juste sur le bout de ton gland, capter ce que tu sais déjà me donner à goûter. Ma main s’actionnne autour, avant que je ne l’engouffre. Hum j’aime te goûter ainsi, j’aime la satisfaction que je ressens dans ta main appuyant ma tête. Et comme je m’en doutais un peu, il ne te faut pas longtemps pour commencer la giclade. « Et merde » pensé-je. Et à ma grande surprise, j’ai déjà tout englouti … ma tête relevée du drap, les yeux dans les yeux, une satisfaction partagée pour un réveil en douceur. J’approche mes lèvres de toi pour notre premier baiser du matin … puis tu finis par me dire « J’ai trop mal ! Il me faut voir une de tes copines. »

J’enfile ma nuisette restée dans mon sac pour être « présentable » et ton peignoir avant d’aller dans le bureau des infirmiers qui arrivent vite avec le nécessaire pour te soulager.

Rêve ou réalité ? Réalité ou fantasme ? À faire ou à refaire ?

Autant que possible mieux vaut éviter l’hôpital et encore plus quand on y passe la nuit

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