Monsieur ouvre la porte d’entrée suite au déclenchement de la sonnette.

Il n’est pas tard mais il fait nuit noire et avec ce couvre-feu qui peut oser venir chez lui ?

Il ouvre et tombe sur le voisine affolée. Son chat est visiblement entré chez Monsieur ou dans le jardin.

Monsieur n’a pas vu le chat mais invite Madame à entrer notamment pour aller voir dans le jardin. Inutile de la guider, ils ont la même maison donc elle le précède. Et monsieur découvre à cet instant ce qu’il n’avait jamais perçu : un fessier à faire bander un mort ! Son érection le surprend lui même tellement elle est immédiate et intense.

Et puis c’est la voisine ... elle a la moitié de son âge, elle est majeure depuis plusieurs années mais on dirait encore une jeune adolescente.

Arrivée près de la baie vitrée, elle ne parvient pas à l’ouvrir. Il s’approche d’elle pour le faire mais là son odeur l’envoûte encore plus que ses fesses. Il se sent presque mal de penser à ça. Elle lui fait un effet qu’il a rarement ressenti. Est-ce le confinement à voir personne ? Le manque de relations sexuelles qui avait démarré avant le confinement ?

La baie vitrée est ouverte, il sort le premier pour rafraîchir tous ses esprits. Il va au fond du jardin à la recherche du chat. La jeune voisine reste près de la maison à chercher dans les arbustes qui séparent les deux propriétés.

Elle croit entendre du bruit « oh ma chatte ». Ce mot évoque une nouvelle levée de gland alors qu’il est bien là pour chercher un chat ... apparemment en version féminine.

Il reste volontairement éloigné d’elle mais au bout d’un moment la rejoint car aucune chatte en vue.

Il la voit de dos penchée en avant, même dans la pénombre elle est attirante.

Elle l’entend s’approcher. Elle se redresse enlevant sa main de sous sa jupe donc selon toute vraisemblance de sa chatte ... et non la femelle du chat qu’elle cherche !

Monsieur fait mine de rien mais ne comprend pas trop et pour autant ça l’excite. Très naturelle et spontanée, la voisine explique qu’elle s’est éraflée l’entre cuisse en enjambant le bosquet ... et qu’elle n’a pas trouvé son chat et qu’elle s’est abîmée la chatte.

Monsieur sourit, bande, mais ne sait que dire car il ne pense qu’à la prendre maintenant : ses mots ont achevé de l’exciter.

« votre chat n’est pas dans mon jardin. Peut-être ceux des autres voisins ou peut-être est-il entré chez moi dans la journée et qu’il s’est faufilé à l’étage. Entrons et je vais aller voir si vous voulez. »

Elle acquiesce. Il la laisse entrer dans le séjour, la suit de près et ferme la baie vitrée. Il va à l’étage à la recherche du chat. Elle ne le suit pas. Dommage mais elle est respectueuse de sa vie privée. Aucun bruit. Il ouvre les placards et armoires si par hasard il s’est perdu dedans.

Déçu il redescend les mains vides ... Mais les bourses pleines.

Elle est appuyée sur le mur de l’entrée à se frotter le pubis à travers sa jupe soyeuse. Elle est nature et spontanée et c’est là qu’elle a mal dit-elle.

Bredouille sans chat, il s’en excuse mais lui assure surveiller cette nuit les bruits alentours. Il ose demander s’il peut faire autre chose tout en fixant la main qu’elle frotte entre ses cuisses.

Elle le remercie vivement mais va rentrer panser ses blessures et continuer ses recherches.

Elle s’approche de lui pour le biser et se ravise à cause de la pandémie. Dommage il aurait apprécié cette bise qui aurait très certainement déviée ... reviendra t elle demain à la recherche du chat ? Ou juste du loup qu’elle a bien commencé à dompter ce soir ?

Monsieur va sûrement s’endormir en se caressant nerveusement et habilement afin de libérer cet afflux d’envies ...

mais avant de monter se coucher, il hésite à aller voir cette voisine pour vérifier si elle est juste nature ou réellement coquine.

Rêve ou réalité ? Réalité ou fantasme ? À s’endormir ou aller frapper chez la voisine ?

Je l’ignore je n’ai pas de chat