L'ouvrier

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Jour de repos, en semaine. Personne à la maison. Madame travaille, les enfants sont à l’école.

Tu prends ton temps au lit, à lire quelques nouvelles érotiques et te caresser ardemment car il y a bien longtemps que tu n’as plus d’amante. Et ça fait encore plus longtemps que tu n’as même pas vu le corps d’une femme. Ton épouse ayant décidé de s’envoyer en l’air avec un autre, elle fait chambre à part.

Tu descends prendre le petit déjeuner, nu pour profiter encore plus de cette journée bien à toi.

Devant ton café, tu entends une clé dans la serrure de la porte d’entrée. Et là un flash. C’est le jour de la femme de ménage.

Tu montes précipitamment à l’étage mais tu sais qu’elle t’a vu, en tenue d’Adam.

« Bonjour monsieur. Ravie de vous voir » dit-elle.

Tu files sous la douche, gêné et excité par la situation. Mais tu veux te sortir cette idée de la tête. Elle a au moins 20 ans de plus que toi. Pourtant tu ne débandes pas. La douche savonneuse t’aide à te finir et évacuer cette tension et cet amas de testostérones.

Tu enfiles un short large et un teeshirt car bricolage au programme.

Tu vas rester en haut pour changer les ampoules et finaliser les travaux dans le bureau et ainsi éviter de la croiser. Car l’idée t’obsède bien, là, maintenant, alors que tu n’y avais jamais pensé.

Et mince ton escabeau est à la cave. Deux étages à descendre puis à remonter. Tu ne vas peut-être pas la croiser.

Ouf pas de femme de ménage en descendant.

Arrivé au rez-de-chaussée, tu es nez à nez avec elle et ne peux contenir une érection, largement visible à travers ton short.

Après un rapide « Bonjour Madame. Vous allez bien ? ». Tu n’attends pas sa réponse et files à l’étage, dissimulant ta gêne sexuelle derrière l’escabeau.

Tu n’écoutes pas sa réponse mais même sa voix douce et sensuelle te fait de l’effet.

Tu t’enfermes dans le bureau, mets de la musique pour couvrir le bruit de l’aspirateur et reprendre tes esprits. Ou plutôt le calmer.

Perché sur la deuxième marche de l’escabeau, tu sursautes par le bruit de la porte qui s’ouvre.

C’est elle. Elle a déboutonné chacun des boutons de sa robe te révélant une lingerie ultra sexy et elle a des seins, mais des seins, magnifiques à faire pâlir toutes les plus belles femmes du monde.

Tu restes interloqué par ce que tu vois. Sans bouger. Elle s’approche de toi glissant sa main sous ton short ... sa main attrape ton sexe qu’elle malaxe avec fermeté et vigueur. Oh que c’est bon. Sa deuxième main glisse sous l’autre jambe du short et opte pour les coucougnettes. Tu t’accroches tant bien que mal à l’escabeau tout en essayant d’agripper ses cheveux.

En retirant ses mains, elle emporte avec elle le short. Te voilà nu, face à cette femme qui pourrait être ta mère et que tu pressens qu’elle va te sucer. Se laisser faire reste la meilleure des options

Ta queue est à hauteur de sa bouche. Elle l’engouffre comme si elle n’en avait plus goûté depuis le siècle dernier. Mais elle n’a pas perdu la main à en croire ton érection vive et sensationnelle.

Ta main accompagne sa tête. Ton sexe est dans sa gorge et elle t’aspire comme jamais aucune femme n’a eu à le faire.

« Je vais jouir ! » la préviens-tu. Elle ne se retire pas et avale tout ce que tu as à lui livrer.

Dans un dernier soubresaut, ton sexe retrouve sa forme la plus commune et elle s’éloigne pour te laisser descendre.

Son regard est pénétrant. Tu as envie d’elle, tu veux la peloter, sucer ses seins si improbables.

Tu la plaques au mur pour la caresser et l’embrasser. Une main sur un sein, l’autre dans son cou. Son téton ne demande qu’à sortir de son soutien-gorge. Tu lui dégrafes rendant libres ces deux merveilles de la nature si excitantes. Tu la lèches, la caresses, lui mordilles chaque téton. Elle t’encourage en tenant ta tête d’une main et de l’autre main, elle active ton sexe qui a déjà repris une forme d’homme prêt à éjaculer.

Il faut que tu la baises, tu ne peux la laisser reprendre son travail sans achever le tien qu’elle a initié.

Tu t’arrêtes, la regardes : « Allons dans ma chambre ». Elle ne sourcille pas, ne sourit pas. L’espace d’un court instant, tu regrettes ta phrase. Elle glisse le long du mur pour sortir de la pièce. Tu commences à débander. Mais quand tu vois qu’elle tourne à gauche et non vers la descente d’escaliers, tu reprends immédiatement force.

Elle est juste exquise et peu importe son âge. Elle s’allonge sur le lit, sur le côté, s’appuyant sur son coude. Tu la rejoins en te posant face à elle avec une main sur sa cuisse afin de remonter doucement sur sa culotte. Elle te laisse faire mais tu sens qu’elle a envie de toi. Tes doigts glissent entre sa peau et sa culotte cherchant son clitoris. À peine atteint, elle gémit déjà. Tu as envie de la goûter et commences à le faire par dessus son dessous. À travers la fine dentelle blanche, tu sens déjà sa mouille sur le bout de ta langue. Tu glisses deux doigts en elle, tout en baissant ce morceau de tissu excitant mais gênant. Elle vient glisser son majeur en elle, le mêlant à tes doigts déjà humidifiés. Son doigt, ici, ne renforce que ton excitation.

Tu veux la pénétrer et sans réfléchir, tu cherches à lui enfoncer ton gland avec une douceur infinie car elle provoque cette envie de douceurs et de lenteurs.

Sentant ton sexe effleurer le sien, elle te stoppe te réclamant un préservatif. Mais tu n’en as pas. Tu lui expliques tout en maintenant ton érection en te masturbant vigoureusement.

Elle se jette alors sur toi pour te mettre sur le dos. Elle prend position au-dessus de ta tête pour que tu la lèches et la doigtes ce qui n’est que pour te ravir d’autant que ton autre main peut encore palper son sein droit.

Elle s’accroche à la tête de lit, gémissant comme jamais tu as entendu une femme crier ainsi. Ton plaisir s’accroît à mesure que tes doigts coulissent en elle. Elle se laisse redescendre vers ton intimité prenant soin de bien se frotter et ainsi étaler sa mouille sur ton torse.

Alors que tu avais des intentions de douceurs, elle s’empale violemment sur toi et sa cadence est rapide. Elle monte si haut que tu crois en sortir à chaque fois. Elle descend si bas que tu t’enfonces dans le matelas un peu plus à chaque fois.

Tu la laisses faire tellement son visage n’est pas celui que tu lui connais. Une autre femme est sur toi, à prendre et donner du plaisir. Une femme totalement libérée et libre. Une femme qui aime ça. Une femme qui n’a pas dû faire l’amour depuis longtemps et qui lâche totalement prise.

Rêve ou réalité ? Réalité ou fantasme ? À faire ou à refaire ?

Tes prochains jours de repos seront les jours de ménage ?


jFA

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