Règle #8

Une minute de lecture

Règle #8 : finissez votre histoire, même si elle n’est pas parfaite. Dans un monde idéal, elle serait parfaite, mais mieux vaut continuer à avancer. Vous ferez mieux la prochaine fois.

« La paralysie du perfectionnisme » est bien réelle. Elle peut être très handicapante, artistiquement parlant. Dans ce sens, la notion de « lâcher prise » est une aptitude émotionnelle que les artistes doivent apprendre à cultiver.

La règle parle d’elle-même. Bugaj s’attarde un peu dessus mais en s’adressant surtout aux auteurs qui souhaitent vivre de leur créativité (scénaristes, principalement). Là, il rappelle qu’on doit apprendre à lâcher prise, parce qu’une œuvre n’est jamais réellement terminée, juste « abandonnée ». Il faut pourtant bien considérer le travail fini à un moment ou à un autre, si on veut pouvoir passer à autre chose.

Récolter des avis permet de corriger des choses, mais un avis reste subjectif et il y aura toujours autant de détails à corriger que l’on aura de relecteurs. Donc, il faut savoir dire « stop » et tourner la page. Bugaj note que la recherche de la perfection est un signe de doute personnel (le manque de confiance en soi est assez courant chez les auteurs).

Le travail d’un storyteller, est de savoir quelle histoire il est en train de raconter. Ainsi que de savoir quelle est la meilleure façon de raconter celle-ci en donnant le maximum de ce qu’il peut apporter au moment où il la raconte.

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