Bar

2 minutes de lecture

Je ne sais pas trop qui le premier pose la question mais il est enfin question de “nous”, et même si en SMS les choses étaient allées droit à l’essentiel ici dans la rue en face à face, étrangement c’est moins facile .

Enfin on se parle de façon plus libérée et on s’est posé dans une sorte de bar on l’on boit quelques choses de frais, pas d’alcool bien entendu le serveur nous l'aurait refusé de par notre âge probablement.

Plus le temps passe plus elle me plaît, c’est amusant mais je me sens de plus en plus attiré par elle. J’ai envie de l’embrasser mais n’ose pas encore : cette fois c’est certain, c’est bien de la timidité, je ne sais pas trop pourquoi je suis comme ça.

On discute un long moment et on s’avoue qu’on se trouve toujours mignon et je ne peux que constater l’heure qui avance : c'est bientôt le moment de repartir. C’est le déclic pour moi, je me lance et je me rapproche d’elle.

Je suis décidé à l’embrasser. C’est étrange pour moi c’est la première fois que je prends l’initiative du premier baiser. Elle a vite bien compris mon intention et semble patienter. Je ne me freine pas et enfin nos lèvres se touchent.

Ce baiser est le premier entre nous. Sans mentir, il est assez agréable. C’est étrange comme sensation que d’embrasser une autre fille et de se rendre compte qu’on passe vraiment à autre chose.

Notre baiser ne dure pas trop longtemps : l’un comme l’autre, nous commençons à réaliser que l’heure de nous séparer approche. Nous sortons du bar et reprenons le chemin inverse.

J’allais oublier de lui rendre son ensemble de lingerie mais, j'y pense brusquement sur le chemin. Je le lui restitue donc et, pour m’en remercier, elle me gratifie d'un autre baiser . On se parle de la prochaine fois et on prévoit de refaire la même chose la semaine prochaine

Il est malheureusement temps pour nous deux de retrouver nos internats. À l'arrêt de bus. en attendant son arrivée qui m’arrachera à elle, on se rapproche, on s'enlace et l’on s’embrasse à nouveau.

On est enfin libéré de cette étrange gène ressentie plus tôt dans la soirée qui nous faisait être distants l’un de l’autre. Et ça fait du bien cette douceur féminine : rien de comparable avec Erwan. C’est certain maintenant, je suis clairement plus fan des femmes.

Annotations

Versions

Ce chapitre compte 1 versions.

Vous aimez lire Rayvaxx ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0