Le Pire Récit Fantasy Possible

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Avec le soutien de  Laurent Datünder, Sylvain Laurent, Cléo 
Apprécié par 5 lecteurs

NdE: Pour une meilleure compréhension de l'oeuvre, il est impératif d'être familier avec les termes suivants, qui ponctueront la lecture, ici recensés dans un glossaire en vingt-six parties. Vous trouverez en annexe II. IV. et VI. les cartes respectives du continent Prolmithien, des Landes Obscures de Praxis et du Concordat Métherien, avec en annexe III. V. et VII. leurs versions topographiques, comprenant des notes sur la végétation et les cycles de saisons diurnes et nocturnes.
En annexe VII. et IX. vous retrouverez deux exposés sur la vie quotidienne d'un citoyen Lambda du Concordat ainsi qu'une introduction aux religions Ethmérides en trois parties - la génèse du monde / les rites quotidiens / les cérémonies qui ponctuent la vie des citoyens des royaumes orthodoxes.

Pour alléger la lecture, nous avons choisi de reléguer en dernière partie du livre les annexes concernant la religion Mithridienne, le pontificat Cloroxien, La géographie Histrionnienne et les coutumes vestimentaires du Concordat, ainsi que les notes de bestiaire - un chiffre entre parenthèse dans le texte vous renverra à l'entrée du bestiaire correspondant, vous permettant un aller-retour rapide qui n'entravera, nous l'espérons, pas trop la lecture.

Bonne chance, et bienvenue a toi, voyageur, sur les terres d'Ith'Rolnir !


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Table des matières

En réponse au défi

La pire histoire possible

Lancé par Sylvain Laurent

Le nanar littéraire est rare, voire inexistant. Ce n'est pas faute de mauvais livres ; on cherche chaque année le pire de la rentrée littéraire sans garantie de réussite, on parcourt les tréfonds de Babelio et Goodreads pour découvrir l'histoire la plus stupidifiante, on rêve de trouver en vain enfin un ouvrage assez nul pour devenir drôle.

Alors certes la démarche du faux nanar n'est pas honnête ; nous nous inscrirons donc davantage dans une démarche de parodie. Baste ! Aujourd'hui, écrivons l'histoire la plus ignoble possible ! Style pompeux, stéréotypes, incohérences : tous les coups sont permis. À quelques exceptions près :

1) On tourne un genre en dérision : on ne se contente pas juste de faire quelque chose de minable, mais quelque chose de minable ET drôle ; et pour ça, il va falloir que le livre parvienne à captiver le lecteur malgré sa nullité.

2) Et ce genre est un genre qu'on connaît bien : on se moque des stéréotypes qu'il contient, pas ceux qu'on a dessus. Par exemple, si vous voulez faire de la SF avec des petits hommes verts... eh bien ça marchera pas parce que ça fait 50 ans que même les écrivains de troisième zone ne font plus ça.

3) On évite comme on peut le syndrome Kung Fury : pas de winks-winks permanents pour faire se complaire le lecteur dans ses plaisirs coupables ; au contraire, on va tenter de distiller un message en toile de fond via l'ironie pour apporter une réflexion sur le genre et inciter le lecteur à se demander pourquoi au juste cette œuvre est ratée.

À partir de là, écrire mal devient d'un coup très dur. Mais comme on dit sur Nanarland : le pire n'est jamais décevant !

Commentaires & Discussions

I.Chapitre1 message | 3 ans
Pré - AnnexeChapitre9 messages | 3 ans

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