Chapitre 27

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Point de vue de Liana :

Nous arrivons dans un appartement à cinq minutes à moto du club. Quatre étages avec ascenseur, deux chambres, une grand pièce à vivre, une cuisine ouverte.... On m'a refusé cet appart il y a un mois à cause de ma situation financière "instable". J'ai la rage ! J'avais largement de quoi le payer tous les mois en plus !

"Quelque-chose me dit que tu connais cet appart. 

- Le proprio a refusé de me le louer le mois dernier. 

- Tu devrais peut-être refaire une demande. Chuchote-t-il à mon oreille. 

- Tu vis dedans maintenant ! Et il est hors de question que je retourne voir ce sale con pour le supplier. En plus j'habite chez mon père maintenant. 

- Dommage, j'aurais beaucoup aimé te voir me supplier. 

- Ne me dit pas que...

- Si, j'ai acheté cet appartement. Me coupe-t-il en soufflant dans mon oreille, ce qui me fait frissonner. 

- Drago...

- Oui ma souris ? Tu veux que je te fasse une visite ? Je suis sûr que tu vas aimer la chambre. "

Oh merde... Extincteur, extincteur, ou un cachet pour faire baisser la fièvre... Il remonte sa main sous mon T-shirt et je me fige. Un tremblement parcourt ma colonne vertébrale et il commence à mordiller le lobe de mon oreille. Merde.. Il me soulève sur son épaule, encore, et il se dirige vers la chambre alors que j'ai une vue imprenable sur son fessier. Il me jette violemment sur le lit et me rejoint pour m'embrasser d'abord doucement, mais ensuite d'une façon plus dévorante. Je crois que ça n'a jamais été aussi possessif jusque-là. 

Alors qu'il me dévore les lèvres, il glisse ses mains sous mon haut pour finir par me l'enlever. Il s'attaques ensuite à mon pantalon pour que je me retrouve en sous-vêtements. Il se sépare de moi et m'observe quelques secondes. 

Ça y est, j'ai peur. Peur que mes cicatrices ne le repoussent. Si celles que j'ai sur les bras ne sont pas belles à voir, celles sur mon ventre sont pire. Sanchez à charcuté ma peau de manière à me laisser une cicatrice monstrueuse mais pas assez pour que j'ai besoins de points de suture. Je n'en veux pas à Gramps de ne pas m'avoir emmené à l'hôpital, car ils n'auraient pas pu faire grand chose de plus que lui. Mais voilà, la réalité est là, ce n'est pas beau à voir. 

"Putain t'es tellement sexy !" 

Il grogne et se jette à nouveau sur mes lèvres avidement. Il enlève son T-shirt et se retrouve rapidement en caleçon. Il commence à parsemer mon cou de petits bisous puis descend jusque'à la naissance de ma poitrine. Il claque la bretelle de mon soutiens-gorge et sourit : 

"J'ai hâte de voir ce que ça va donner quand tu mettra ce que Birdy a dessiné. Pas que le blanc ne te vas pas bien, mais je ne vois pas assez tes seins à mon goût. 

- Désolée, mais je ne m'attendais pas à ce que tu me saute dessus aujourd'hui. 

- Ma queue attend de fourrer ta chatte depuis des mois, il ne fallait pas t'attendre à autre chose en me disant que j'avais le feu vert. Dit-il d'une voix rauque de désir. 

- Ne me dit pas que tu avait déjà envie de me baiser quand on s'est ...."

Même pas le temps de finir ma phrase qu'il a déjà retiré et envoyé paitre mon soutient-gorge à travers la chambre. Il pose sa bouche sur un de mes tétons et joue avec l'autre avec sa main. Il aspire et tourne autour avec sa langue pendant que sa main pince et malaxe. Il change de sein et recommence exactement pareil. Il descend ensuite sur mon ventre et lèche mes cicatrices. Une chaleur bizarre se loge dans mon bas-ventre. 

Il descend encore plus bas et sa tête disparaît entre mes cuisses. Il arrache ma culotte et je sens quelque-chose de mouillé et de chaud sur mon intimité. Il est en train de me lécher. 

"Putain bébé tu mouilles tellement !"

Il reprend les coups de langue et je me cambre. Je me mord le poignet pour éviter que les sons sortent de ma bouche. Il remonte vers moi et retire mon poignet. 

"Je veux t'entendre gémir ma souris."

Je sens ses doigt entrer dans mon sexe et je pousse un gémissement qui le fait sourire. Il m'embrasse passionnément comme s'il n'y avait pas de lendemain et appuie sur mon clitoris. Je sens mon ventre se serrer et j'ai une sensation bizarre. 

"Drago... Je me sens bizarre. 

- C'est le plaisir bébé, tu te sens bien."

Quand Sanchez abusait de moi, ça me dégoûtait ou ça faisait mal. Alors c'est ça le plaisir ? 

Il continue les vas et viens avec sa main et d'un coup, les parois de mon vagin se resserrent en laissant exploser la chaleur que j'accumulais en moi tout en me faisant pousser un cri. 

Essoufflée, je demande au responsable de toutes ces nouvelles sensations : 

"Qu'est-ce que... Qu'est-ce qui...? 

- Un orgasme bébé, tu as eu un orgasme. 

- C'est la première fois... C'était.. Wouah."

Il m'embrasse et sort du lit pour récupérer son pantalon. Il sort quelque-chose de sa poche et s'installe entre mes jambes. Il retire son caleçon et enfile le préservatif. Merde il est énorme ! Je suis même pas sûre que ça rentre ! Il place son pénis à l'entrée de mon sexe et me regarde. 

J'ai un peu peur. Je sais qu'il ne me fera jamais souffrir, mais la dernière fois ça a fait tellement mal ! Il se penche sur moi et m'embrasse : 

"T'inquiètes pas, je vais y aller doucement. 

- Ça me fait peur Drago, je ne veux pas avoir mal. Dis-je les yeux mouillés. 

- Bébé, je ne suis pas lui, je te promet que je ne te ferai pas mal et si c'est trop dur pour toi on arrête. 

- Promit ? 

- Promit."

Il m'embrasse et commence à s'enfoncer tout doucement en moi. Je m'accroche à ses épaules et plante mes ongles dans ses omoplates. Il s'arrête une fois au bout et ma respiration se fait haletante. Ça ne fait pas mal, je me sens juste pleine, bien, complète. 

"T'es tellement serrée ! Grogne-t-il. Ça va ? T'as pas mal ? 

- Ça va.... J'ai pas mal du tout. 

- Je vais commencer à bouger maintenant."

Il commence par faire de lent aller-retours, tout en douceur puis il accélère le rythme petit à petit. Je gémis à chaque fois qu'il revient au fond de moi, avec de plus en plus de puissance tandis qu'il grogne du fond de sa gorge. La même chaleur que tout à l'heure mais plus puissante commence à me remplir et j'atteint à nouveau l'orgasme d'une manière foudroyante. Il me rejoint dans les nuages quelques coups de reins plus tard et s'effondre sur moi avant de se relever et d'aller jeter le préservatif dans la poubelle. Il s'installe à côté de moi dans le lit et remonte la couette sur nous. Je m'endors pour une nuit sans cauchemars. 

_________________________

Point de vue de Drago : 

La meilleure baise de ma vie... Mieux, je lui ai fait l'amour. Tout ce que je voulais c'était qu'elle se sente bien et au final, moi aussi je me suis sentis bien. Elle était tellement étroite que je me suis demandée à un moment si elle était vierge. C'est le cas, le viol ne compte pas et bordel ça me rend heureux que je sois le premier à lui faire autant de bien. Son premier orgasme aussi putain !

Je me suis sentit tellement bien une fois en elle que j'ai eut du mal à en sortir. C'est sûr, je veux qu'elle devienne ma régulière, c'est celle qu'il me faut. 

Je replace les mèches sur son visage derrière son oreille et la regarde dormir avec un sourire au lèvres. Ma petite souris, ma belle brune, ma Liana. Je part chercher mon téléphone dans mon Jean et me replace à côté d'elle pour la prendre en photo. Ça ira dans mes dossiers cachés au fin fond de mon téléphone, cadenassé et protégé par un code. Smile est un putain de curieux et je veux être le seul à profiter de son visage endormi. 

J'ai à peine finit que mon téléphone sonne. Je décroche en vitesse et j'ai le malheur de tomber sur Grave : 

"Comment elle va ? 

- Elle dort comme un bébé. Ça va je ne suis pas un sauvage. 

- Permets-moi d'en douter. Je te rappelle que tu as détruit un club a toi tout seul alors on ne peut pas dire que tu fais dans la dentelle en général. 

- Écoutes mon frère, j'ai fait plus de deux mois d'abstinence pour ta fille et c'est elle qui m'a donné le feu vert aujourd'hui sinon je serais repartit pour le troisième mois. J'y suis allé doucement je te le jure.

- J'espère bien ! Bon je vais raccrocher avant que la tornade n'arrive et me demande des détails croustillants sur la vie sexuelle de ma fille. 

- Elle est pas occupée par ses gosses en ce moment ? 

- Et bien figures-toi qu'elle a réussis à tenir plus de quinze minutes sans foutre le bordel et sans Li pour la tenir à carreau. Un vrai record ! 

- Cheese doit se faire chier alors ! 

- Il déprime car il n'a toujours pas pu prendre ses petits-neveux dans ses bras. Rit-il. 

- Grave, je te le dit maintenant et tu pourras me lyncher plus tard si tu veux mais j'ai l'intention de faire de Liana ma régulière. 

- Je m'en doutais. Si tu veux ma bénédiction il va falloir me prouver que t'en vaux le coup. 

- Tu peux me demander n'importe quoi, même me rétrograder au rang de prospect s'il le faut mais je suis prêt à tout pour elle.

- T'es prêt à échanger ton cuir contre celui d'un prospect, mais est-ce que t'es prêt à l'échanger contre un polo et des moccasins ? 

- Un polo ?"

Est-ce que Grave à bu ? Il me demande quand-même pas d'abandonner le club et de me lancer dans la finance ! Si ? Oh et puis merde je ferrais n'importe quoi pour elle même si ça me briserait le coeur d'abandonner le club et la famille. 

"Mes parents et mes beaux-parents arrivent après-demain s'ils n'ont pas d'avance et, les connaissants, ce sera le cas. Si tu survis à leurs conversations et qu'ils t'approuvent t'auras ma bénédiction. 

- Tes parents sont de la haute ? 

- Non, mais ils sont profs de math et ceux de Joy sont profs de lettre. Le bon gros look des profs et le style biker ensemble ça le fait pas trop. 

- Je peux au moins garder mon cuir au dessus du polo ? 

- Si moi je ne le garde pas quand ils sont là c'est que toi non plus. La dernière fois que je l'ai porté devant eux, ils l'ont dévisagé pendant toute la soirée comme s'il aller leur sauter dessus. 

- Qu'est-ce que je ferais pas pour ta fille putain ! 

- Rendez-vous le soir de leurs arrivée à Dix-huit heure chez moi. 

- Fleurs et Whisky ? 

- Exactement. 

- Du coup trois bouquets de fleur et deux bouteilles d'alcool. À moins que ton paternel n'ai une sacré descente. 

- Apportes aussi du vin pour mon beaux-père. 

- Quel cru ? 

- Tu t'y connais en vin toi ? 

- Smile avant sa bible. Il trouvais l'inspiration n'importe où et un jour il a fait la leçon sur le flaire a un connard en le comparant à un sommelier. 

- Au moins s'était instructif. 

- Quelle partie ? Celle où il racontait le métier du sommelier ou celle où il noyais le type avec du vin bon marché ? 

- Prend du Chardonnay, ça suffira. Tranche-t-il. 

- Et un Chardonnay pour les grand-parents de ma petite souris !

- Tu t'y connais en littérature par hasard ? 

- Pas vraiment. 

- En histoire ? 

- Je suis allé au lycée. 

- T'es pas prêt de devenir mon gendre alors. 

- Rêves pas trop, tu finira grand-père de mes gosses plus vite que tu ne le crois !

- Là c'est toi qui rêve. Tu ne connais pas mes parents et pour te dire, Li tient son caractère de ceux de Joy. Au fait j'espère que tu es prêt pour ton lynchage ! J'attend avec impatience !

- Quand Li sera réveillée et en sécurité au club ça te va ? En attendant laisses-moi me préparer à prendre une raclée. 

- Tu vas déguster petit merdeux."

Papa poule. Me voilà à rencontrer les grand-parents de ma brune dans un peu moins de deux jours et le tout en polo. J'espère qu'ils ne sont pas trop coincé ! Enfin, leurs petite-fille a fait partit d'un gang alors s'ils digèrent ça, ils vont bien digérer que son petit-ami soit un biker.

_________________

Il avait dit deux jours. Il m'a foutu un coup de poing qui m'a détruit la moitié des organes du ventre et m'a demandé d'être prêt dans deux jours. 

On est même pas le lendemain après-midi que quatre personnes bien propres sur elle font déjà leurs entrées dans le club. Elles respirent le citoyens honnête et la bienveillance au point de faire tache dans le club avec, comme toujours, des brebis à poil et des bikers sans froc. 

Tu parles d'une première impression de merde ! Pour le polo on repassera ! Ma petite souris fronce les sourcils d'une manière adorable avant de regarder la tornade à côté de nous avec ses fils et Fist et de dire : 

"Mitsy, dis moi que je suis en train de rêver. 

- Quoi... Oh putain ! Mais qu'est-ce qu'ils foutent là ? Autant dans la ville que dans un club de Biker ?!

- Y'as pas une conférence sur l'histoire des colonies dans le coins ? 

- Sûrement. 

- Viens on va les voir. 

- Ok, mais c'est toi qui parle. Je te rappelles que ce madame Smith m'a dézingué pendant sa dernière intervention ! 

- C'est parce que tu es arrivée avec trente minutes de retard en robe de soirée et la gueule de bois. La seule fois où je t'ai vu dans cet état d'ailleurs. 

- Vodka. J'avais bu trois bouteilles. 

- Bon aller, avant que l'un d'eux ne fasse une conférence sur la bien-séance à un biker.

- Oh pitié pas ça."

Ma petite souris me prend par la main et m'emmène voir ses grand-parents qu'elle n'est pas sensée connaître. Ils ont du se croiser à l'université, c'est obligé. 

"Professeur O'connor, Professeur Smith. Dit ma petite Mouse. 

- Liana ! Quel plaisir de te voir ! S'exclame madame Smith. 

- Que diable faites-vous dans un club de Biker ?! Ce n'est pas un endroit pour deux jeunes femmes ! Dit O'connor. 

- J'ai apprit il y a quelques mois que mon tuteur est un Biker, pour le reste c'est une longue histoire, mais je vous retourne la question ! 

- Des affaires de famille nous amènent ici de temps en temps. Intervient le père de Grave.

- Ah, je manque à tous mes devoirs. Liana, je te présente Adam et sa femme Judy, ils sont professeurs de mathématiques à l'université de Boston. Adam, voici Liana et son amie Mila, nous les avons croisé lors de nos conférences dans l'université de lettre de L.A."

Adam fronce les sourcils à l'entente du prénom de ma petite brune. Je pense que l'information commence à faire son chemin jusqu'à leurs cerveau. 

"Sinon, qui est ce jeune homme ? Demande madame Smith. 

- Ah, c'est Drago, mon petit-ami. Sourit-elle. 

- Enchanté. Dis-je en leur serrant la main à tous. 

- Ça m'a l'air d'être une charmante personne. Et toi Mila ? Comment vont les relations amoureuses ? 

- Eh bien... Répond la tornade. 

- C'est la fiancée de mon tuteur et ils ont déjà eut des jumeaux ensemble. 

- En parlant d'eux, je vais aller voir comment ils vont. Ajoute la terreur en s'enfuyant presque pour rejoindre son homme et ses gosses. 

- Toujours aussi excentrique à ce que je vois. Dit Monsieur O'connor. 

- Ça ne l'empêche pas d'avoir réussit avec ses romans. 

- J'ai pu constater ça, d'ailleurs toi aussi tu as décollé ces derniers temps. Dit Madame Smith. 

- Son livre va être adapté en film, un de nos frère est son plus grand fan ! Dis-je avec fierté. 

- Quelle joie ! Tu ne m'en voudras pas si je ne le regarde pas. Tu es très douée pour l'écriture mais tes histoires sont un peu trop noires pour moi. Mais je suis toujours ravie que tu ai utilisé mon nom pour ton nom de plume, ne t'y trompe pas ! 

- Je ne vous en veux pas. Mon éditeur m'a bien précisé qu'il y aurait une mention d'interdiction au publique sensible, je suis consciente que mes écrits ne sont pas pour tout le monde. 

- Oui, ça tu peux le dire. J'ajoute. 

- Au fait, tu dois connaître les membres du club maintenant, pourrais-tu nous appeler le fils d'Adam ? Dit Monsieur O'Connor alors que les parents de Grave sont toujours silencieux. 

- Si vous avez son nom de route je peux surement faire quelque chose. 

- Je ne le connais pas, nous l'appelons Nelson quand nous venons lui rendre visite. 

- Nelson comme Nelson Thomson ? Grave ? 

- Oui c'est ça, c'est notre Fils. Dit Judy. 

- Vous m'excusez une minute ?"

Ma petite souris s'éloigne pour aller téléphoner à Grave et j'invite les deux couple à s'assoir sur une des banquettes. 

"Elle semble pâle, elle va bien ? Demande madame Smith. 

- Elle est juste un peu surprise. On ne s'attend pas à ce que les parents de Grave soient des professeurs de math. Et revoir ses professeurs d'université dans un club de biker est loin d'être courant.

- Pourtant c'est le trésorier du club aux dernières nouvelles. Dit Adam.

- Grave est du genre terrifiant et peu causant. C'est loin de l'image qu'on donne au fils de deux professeurs. 

- C'est parce que vous n'avez pas encore vu mon cher mari pendant ses mauvais jours. Dit Judy. 

- Et j'ai eu assez d'aperçu avec Grave pour ne pas vouloir le voir un jour. 

- C'est bon, il arrive dans deux minutes en grillants les feux rouges. Dit Liana en s'asseyant avec nous. 

- Il était pas obligé d'aller si vite. Il va avoir un accident à force. Dit madame Smith.

- Il m'a aussi demandé de vous dire qu'il n'a toujours pas changé d'adresse et que vous n'êtes pas obligé de passer par le club à chaque fois que vous venez. 

- On recroise de vielles connaissances à chaque fois alors pourquoi s'en priver ! Dit Judy. 

- Ça n'a pas l'air de trop vous déranger que votre fils soit un Biker. 

- Après deux ans à lui faire la gueule on a finit par s'y faire. Dit Adam. 

- Surtout quand il s'est ramené et t'as officiellement annoncé le mariage avec la petite Joy. Et  avoue que tu apprécie beaucoup Sinner depuis le temps ! Répond sa femme. 

- J'ai eu un peu de mal a m'y faire, c'est vrai, mais c'est du passé maintenant et puis c'est mon fils tout de même ! 

- Si seulement mon paternel pouvait tenir le même discours ! Au moins vous l'aimez et c'est le principale. J'ajoute. 

- Votre père est un idiot pour vous rejeter pour vos choix de vie. Dans mon cas j'avais simplement peur pour sa vie ! Rétorque Adam.

- Mon père m'a éjecté de la maison bien avant que je ne devienne un Biker. Il n'était pas du genre à s'inquiéter de ma vie du tout vu qu'il m'a jeté à la rue. On n'a pas toujours la chance de grandir dans une famille stable et aimante. Je répond. 

- Mais ça ne vous a pas empêché de devenir quelqu'un de bien. Ajoute Madame Smith. 

- Merci madame."

Grave entre en furie dans le club et s'arrête à côté de nous en s'appuyant sur la banquette prêt à recracher ses poumons. 

"Bordel maman ! Vous auriez pu m'appeler ou venir à la maison directement !

- Voyons chéri, tu ne vas pas nous empêcher de rencontrer nos vieux amis !

- J'ai toujours du mal à croire que vous ayez réussis à vous faire des amis au club alors qu'aucun de vous ne supporte de me voir avec mon cuir à la maison. 

- C'est dans les bonnes manières d'enlever son manteau quand on est à l'intérieur Fils ! 

- Papa, le cuir c'est pas qu'un manteau, ça fait partie de notre identité. 

- Mais ça reste un manteau. 

- On imprime des T-shirt avec le logo du club et on en parles plus ! C'est un bon compromis non ?  Dit Li. 

- Bonne idée. J'ajoute. 

- On verra ça un autre jour.. Tu nous la présente oui ou non ? S'impatiente madame Smith. 

- Quoi tu leurs a pas dit ? Demande Grave à sa fille. 

- Bah... C'était mes profs à l'université. 

-Oh bordel... Bon les parents, Liana, Liana tes grand-parents. Les présentations sont faites."

Madame Smith tombe dans les pommes et se fait rattraper de justesse par son mari alors que les parents de Grave se sont transformés en statue. 

"Je ne m'attendais pas à ce genre de réaction. Dit Grave. 

- Je suppose qu'on leurs parlera de mon appartenance a un gang une autre fois. 

 - Ou jamais. 

- Jamais c'est une bonne option. 

- Ma petite-fille a fait partit de quoi ? S'exclame madame Smith de retour parmi nous. 

- Pitié madame Smith, vous vous doutiez bien que je n'avais pas eu un passé facile avec les cicatrices que j'ai sur les bras ! 

- Conseil de famille ! S'exclame-t-elle.

- Et c'est partit pour un tour. Souffle Grave."

Une dizaine de minutes plus tard, nous sommes chez Grave. Pour les fleurs et la gnaule on repassera. 

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