Chapitre 1

14 minutes de lecture

Je m'appelle Liana. J'ai vingt-deux ans, j'ai toute la vie devant moi, et un super diplôme en poche.... Et puis quoi encore ?!

La vie n'est pas ma meilleure pote, elle me fait chier depuis aussi longtemps qu'elle me colle à la peau, mais la mort est encore pire alors je fait avec. J'ai un diplôme de lettre, rien d'extra-ordinaire. Je suis écrivain de thrillers qui ont leurs petit succès sur le net et me rapportent assez pour vivre avec les pub des sites gratuits, pour le moment rien à signaler.

Depuis mes douze ans, je vis avec le Gramps. Il ne m'a jamais dit son prénom, juste un surnom idiot : Fist. Ses amis l'ont surnommé "poing", paraît-il qu'on se souvient de lui après une bagarre. J'ai découvert en triant le courrier qu'il s'appelle Peter, mais je préfère l'appeler gramps. C'est un peu le grand-père que je n'ai jamais eut. Il m'a élevé et aimé comme sa propre petite-fille, et il continue toujours d'ailleurs. Moi je l'aime comme mon vrai grand-père.

Ce vieille homme est un mordu de mécanique, il bichonne sa bécane à longueur de journée et s'il ne s'est jamais marié, je pense que c'est parce qu'il est presque mécanophile. Enfin je le pensais jusqu'à ce que je le surprenne à coucher avec ma prof de math quand j'avais seize ans.

Je ne lui en ai parlé que six mois plus tard pour voir sa réaction et il s'est abstenu pendant deux semaines tellement il était désolé de m'avoir "choqué". La blague, ils étaient juste à poil dans le lit, j'avais raté la scène la plus importante de justesse. Il est un peu naïf pour une armoire à glace grisonnante de maintenant soixante-quatre ans.

Il en fait dix de moins, il est en forme pépé. Le pire c'est que j'ai appris qu'il s'était tapé la moitié des femmes adultes de mon entourage une semaine après l'avoir vu au pieux avec ma prof d'arithmétique. Pas que ça me dérange, mais tout de même il aurait pu éviter de mettre ma meilleure pote enceinte ! Enfin je suis heureuse pour eux, ils forment un jolie couple.

Bref, ma vie n'est pas parfaite, mais elle me convient.

Pourquoi je pense que c'est une salle pute me dira-t-on ? Pour savoir ça, il faut remonter avant mes douze ans. Ce n'est pas une période de ma vie dont j'aime me souvenir.

Mon souvenir le plus lointain remonte à mes trois ans, quand j'étais en train de mourir de faim sur le sol de l'appart pourri dans lequel moi et ma junkie de mère vivions. Alcool, drogue, médocs, tout y passait avec elle et parfois certains cocktails étaient explosifs et la mettaient dans les vapes pour plusieurs jours. Je me demandais parfois si elle savait que j'existais. Surement que non car ça ne la dérangeait pas quand elle ramenait ses clients dans l'appartement pour se faire baiser sans honte.

Ça ne dérangeait pas ses clients non plus, et beaucoup on tenté de me faire rejoindre l'acte. Heureusement pour moi, j'ai toujours couru vite.

Enfin de temps en temps elle savait que j'étais là et ça pour mon plus grand malheur.

Ce jour-là, pour mon premier souvenir, c'est le jour ou je me suis rendu compte que je devais me démerder toute seule pour manger, j'ai rampé et je suis allée jusqu'au frigo pour manger un oignon germé. C'était immonde et maintenant manger de l'oignon me fait vomir à chaque fois.

Les allocations finissaient dans le loyer et les cosmétiques de pute de ma génitrice, alors j'ai apprit à voler son argent très tôt. C'était facile, les clients venaient, se servaient, laissaient l'argent sur la table et repartaient pendant que ma mère était encore au septième ciel. Oui, elle prenait son pied à chaque fois et si elle l'avait pu, elle n'aurait pas demandé d'argent, mais on a tous besoins de bouffer, et elle de payer sa dose. Moi, j'attendais que le bruit cesse dans le placard et quand elle arrêtait de gémir, je sortait et profitait de son état second pour voler un billet de vingt dollars. Elle avait au moins cinq clients par journée, ça me faisait cent dollars par jour pour aller acheter à manger plus pour elle que pour moi et de quoi vivre.

Je prenais du savon, une brosse à dent, du papier et des crayons et de l'eau. Beaucoup d'eau. Pour boire, pour me doucher, nous n'avions pas l'eau courante. De la boue sortait du robinet. Un jour je me suis acheté un livre pédagogique et j'ai apprit à lire comme j'ai put. J'ai apprit à écrire par la même occasion et je me suis imaginé d'autres mondes dans lesquels je serait heureuse. J'ai écris des centaines d'histoire comme ça.

Quand j'ai eut huit ans, ma mère a trouvé mes histoires et les a lues. Elle a détesté, et elle les as toutes brûlé. Tous mes rêves étaient en train de partir en fumée et j'ai essayé de l'empêcher. Au final j'ai fini avec une brûlure au second degré sur le bras gauche. Non, je ne suis pas allée à l'hôpital pour mes cloques éclatées et sanglantes, oui, ça a laissé une cicatrice mais elle ne se voit presque plus.

Ce jour-là, j'ai apprit deux choses : ma mère savait lire et vu qu'elle ne faisait que s'envoyer en l'air toute la journée et parfois une bonne partie de la nuit j'en ai douté, et elle savait que j'existait. C'est juste que je n'avais pas assez de valeurs à ses yeux pour qu'elle s'occupe de moi.

Je n'avais pas d'amis. Je n'allais même pas à l'école et ne sortais du quartier que pour acheter de la nourriture et parfois des vêtements quand j'avais assez d'argent et plus assez d'espace dans mes habits pour bouger correctement. Je n'avais jamais eu l'occasion de me faire beaucoup d'amis.

Un jour alors que j'avais onze ans, ma mère s'était trop endettée pour payer son dealeur et elle s'est tournée vers moi avec une lueur malsaine dans le regard. Elle m'a prit violemment par le bras et m'a donné au type contre de la drogue et sa dette remboursée. Je n'ai pas mit longtemps à comprendre que je venais d'être vendue par ma propre mère, ni même que si j'essayais de m'enfuir le dealeur allait me faire du mal.

C'est comme ça que je me suis retrouvée comme l'esclave du chef du plus gros gang du pays. Ce pédophile est, je-ne-sais-comment, tombé sous mon charme de gamine plate comme une planche à pain avec un peu d'acné et une tête de déterré.

Première chose qu'il a essayé de me faire faire : une fellation. Première chose que je lui ai fait : lui mordre la bite.

Il n'a pas aimé, moi non plus d'ailleurs. Avoir la bite d'un trentenaire dans la bouche n'est pas la chose la plus agréable pour une gamine pré-pubère.

Résultat des courses : enfermée pendant une semaine dans une pièce sombre nourrie uniquement de pain et de flotte.

Il a réessayé plusieurs fois et j'ai toujours réussis à lui faire passer l'envie. Je l'ai mordu, assommé avec son propre flingue, assommé avec une poêle à frire qui traînait par là je ne sais pas trop pourquoi, mis un coup de pied dans les couilles, un coup de boule dans le nez... J'étais créative.

À chaque fois, je me faisais enfermer pendant plusieurs semaines et j'utilisais une fourchette pour enlever le crépis entre les briques du mur de ma cellule qui donnait vers, je l'espérais, l'extérieur.

Au bout de six mois, je me suis échappée. Alors que j'étais désespérée et au bord de l'évanouissement après ce que je pense être l'expérience la plus traumatisante qu'une gamine dans ma situation puisse vivre, j'ai enlevé les briques une a une et j'ai passé la tête arrachant quelques mèches de cheveux bruns au passage. J'atterrissais dans une ruelle, sûrement perdue en plein milieu des mauvais quartiers de Los Angeles. Je suis sortie de ma prison, je me suis levée et j'ai remonté la ruelle jusqu'à arriver à une autre et a encore une autre, espérant repérer un endroit que je connaissait puis j'ai enfin pu remonter jusqu'à une rue passante. C'était le soir, et je voyais des néons pour la première fois de ma vie. J'étais hypnotisée par cette lumière et en déambulant, je n'ai pas remarqué la personne qui se marchait vers moi. Je me suis cognée contre l'homme et il a renversé son café sur son T-shirt en jurant. Je suis tombée à la renverse devant ce mur sur patte et en béton armé. Il était grand, des yeux bruns qui ressemblaient un peu au miens, mais teinté par la colère et la surprise.

Quand j'ai vu cette montagne, j'ai eu peur. Je sentais au plus profond de mon être qu'il était dangereux. La simple vue de son arme me l'a confirmé et son visage colérique aussi. On aurait dit un démon. J'étais tétanisée devant lui et je n'avais plus assez de force pour m'enfuir en courant.

En me détaillant, l'homme à la cinquantaine s'est baisé et m'a tendu la main en me demandant avec un visage plus adouci :

"Ça va petite ?

- Désolée, je voulais pas. Furent les seuls mots que j'avais à dire.

- C'est pas grave. Ils sont où tes parents ?

- J'en ai pas.

- Tu ne vas pas me dire que tu te balade toute seule ici à cette heure ?

- Ma mère m'a vendu a son dealeur et je viens de m'échapper."

Devant mon honnêteté aussi stupide que déconcertante, il exprima un visage surpris. J'étais inconsciente de dire ça a un inconnu avec une arme. Surtout qu'il avait l'air de tout, sauf d'un agneau.

L'homme me regardait toujours et semblait réfléchir. Je commençais à reprendre possession de mes jambes et je me relevais pour m'enfuir. Seulement mes traitresses de guiboles se sont effondrée toutes seules et mon ventre s'est mit à gargouiller. J'avais tellement faim que j'aurais pu avaler un immeuble entier.

L'homme me souleva et m'emmena dans un restaurant de fast-food. Il me déposa sur une chaise commanda un hamburger, des frites et du soda et s'assit devant moi. Je le regardais un instant et il me montra le plateau en me disant de manger. Je ne me suis pas fait prier et j'ai dévoré mon hamburger si vite que je me suis presque étouffé avec, faisant rire la montagne face à moi. Un rire puissant qui me fit frémir. Il m'essuya la bouche et me dit :

" T'as jamais mangé de hamburger ?

- Jamais. C'est bon comme truc.

- Ta mère est une junkie, ça a du être dur à vivre.

- Maintenant c'est fini, elle m'a vendu, et elle le refera si je retourne chez elle.

- T'as quel âge gamine ?

- Je sais pas.

- Tu te souviens de la date de ton anniversaire ?

- Non. Je l'ai jamais fêté. Je n'ai jamais eu personne pour le fêter avec moi de toute façon.

- C'est quoi ton prénom ? Tu dois savoir ça au moins.

- Salope ou catin. Je sais pas vraiment lequel des deux est mon prénom, mais elle m'a appelé comme ça une fois alors ça doit être l'un ou l'autre. Dis-je en haussant les épaules.

- C'est pas des prénoms ça, c'est des insultes.

- Alors j'ai pas de prénom.

- Et a l'écoles, ils t'appellent comment ?

- Je vais pas a l'école. J'ai apprit à lire toute seule."

Je ne sais pas pourquoi, mais je lui ai tout raconté. Du début à la fin, sauf quelques petits détails qu'il n'avait pas besoins de savoir, et au final il m'a juste prit dans ses bras. Ça faisait bizarre, il n'essayait même pas de me toucher ou de m'embrasser de force. Juste un câlin, une étreinte chaleureuse dans laquelle je me suis sentie en sécurité et où je me suis endormie.

Le lendemain, je me suis réveillée dans l'appartement de l'homme. Appartement dans lequel il vit toujours d'ailleurs. C'était plutôt grand pour un simple vieillard au chômage mais j'en ai jamais rien eu à foutre, ce qui comptait c'était qu'il était le premier a avoir jamais été là pour moi.

À mon réveil il m'a servit un chocolat chaud et m'a dit :

"J'y ai réfléchit, et comme je me sens un peu seul dans cet appart depuis ma retraite et que tu n'as nulle part où aller, je vais prendre soin de toi à partir de maintenant.

- T'es retraité ? Ya que les vieux qui sont à la retraite !

- Je suis pas un vieux, tu peux m'appeler Fist.

- Comme le coup de poing ? Tes parents sont tombés sur la tête en te donnant un prénom ou c'était des junkies eux aussi ?

- Très drôle.

- Je vais t'appeler Gramps.

- Marché conclut si tu me laisse te donner un prénom.

- Comme tu veux, mais si ça me plaît pas tu peux dire adieu à tes couilles.

- C'est quoi ce langage ? Gronda-t-il.

- Le langage de ma pute de mère. Mentis-je.

- Il va falloir que je fasse ton éducation alors....

- Il vient ce prénom ou je le trouve moi-même ?

- Liana. T'en penses quoi petite ?

- J'adore, c'est jolie."

Il m'a sourit. La première personne à m'avoir sourit avec autant de gentillesse, c'est gramps. Ce jour-là est devenu mon anniversaire.

Je ne sais pas par quel moyen illégal il est passé, mais il a réussi à me créer une identité et s'est inscrit en tant que mon tuteur légal. Ensuite je suis allée à l'école pour la première fois et je suis tombé sur Mitsy, ma meilleure amie. Elle m'a sauté dessus et nous nous sommes découvert l'écriture en passion commune... Sauf qu'elle c'est plutôt de la romance érotique, et ce n'est vraiment pas mon style d'écriture.

Nous avons tout fait ensemble, du collège jusqu'à l'université, et nous avons continué à nous voir après. Nous faisons des réunions lecture pour découvrir nos dernière créations et à chaque fois, nous finissions par frissonner, elle de peur et moi parce que j'étais gênée.

Je savais qu'elle ne pinçait pour gramps et je n'ai pas vraiment été surprise de les retrouver au lit tous les deux à plusieurs reprise. Mais je ne leurs ai rien dit, j'étais contente pour eux et c'était deux adultes consentants. Ils faisaient ce qu'ils voulaient de leurs vie tant qu'ils n'étalaient pas leurs ébats au Petit-dej. Ils ne l'ont pas fait d'ailleurs, ne voulant pas m'avouer leurs relation peu conventionnelle, mais vu comment Mitsy gueulais à chaque fois que je rentrais en avance du boulot, je ne pouvais pas ne pas savoir.

Tout se passait bien jusqu'à ce que je retrouve Mitsy en pleur dans les toilettes avec quatre tests de grossesse positifs sur le lavabo. Elle paniquait et avait peur que gramps ne l'abandonne à cause de ça. Ce n'était pas son genre, mais j'ai quand même hurlé :

"ESPÈCE DE VIEUX DÉBRIS MÉCANOPHILE !! RAMÈNE TA TÊTE DE BITE DANS LA SECONDE SI TU NE VEUX PAS QUE JE T'EMMASCULE !!"

Les hommes et leurs virilité... Il est descendu en quatrième vitesse. Je l'ai frappé et nous nous sommes assis à la cuisine. J'ai commencé :

"Dis-moi que t'as utilisé un préservatif.

- Avec qui ?

- Bordel Gramps je ne suis pas conne au point de ne pas me rendre compte que tu te tapes ma meilleure-amie dans mon dos. Dis-moi si tu as utilisé un putain de préservatif !!

- Pas depuis un mois."

L'enfoiré l'avait fait exprès. Il m'avait dit une fois que s'il voulait épouser une femme un jour, il la foutrait enceinte pour ne pas qu'elle s'échappe. Je continuais sans oublier de lâcher un juron :

"Putain Peter, t'as pas loupé ton coup. T'as intérêt à prendre tes putains de responsabilités sinon je te jure que tu n'auras plus de bite pour faire d'autres gosses.

- Comment ça d'autres gosses ?

- Je suis enceinte. Renifla mon amie."

Pour seule réponse, Gramps souleva Mitsy en l'air, l'emmena jusqu'à sa chambre et ferma la porte. Je les ai ensuite entendu commencer leurs sport nocturne en plein milieu d'après-midi et jouir sur un "épouses-moi!" de la part de Gramps et un "Oh putain oui !" de ma meilleure pote, le tout en hurlant et gémissant à tout va.

Et c'est ainsi que Mitsy est venue habiter avec nous en tant que ma futur grand-mère. C'était il y a quatre mois.

On me dira que maintenant tout va bien dans ma vie, et je le croyais jusqu'à ce matin.

Actuellement une jolie lettre manuscrite avec une magnifique écriture de patte de mouche se trouve dans mes mains et m'annonçant que ma meilleure pote la vie m'a encore fait un coup de sale pute :

"Ma chère petite salope !

Quelle ne fut pas ma joie de te croiser dans la rue hier ! Je t'ai fait suivre jusqu'à ton appartement, donc je sais où tu habites et je ne tarderais pas à avoir ton numéro de téléphone donc attends-toi à recevoir mes appels !

J'ai été en prison pendant une petite dizaine d'année après que tu sois partie, mais ne t'inquiètes pas, je me suis occupé du traîtres et tu n'as plus rien à craindre ! Donc maintenant que tout vas bien, je vais pouvoir te récupérer et te faire mienne pour l'éternité ! Tu as hâtes je le sais !

Nous nous reverrons très bientôt !

À bientôt ma salope d'amour !

Carlo Sanchez. "

Pourquoi ai-je presque le même visage que quand j'avais douze ans ? Attendez, non.. J'ai pas mal grandi....L'enfoiré m'a reconnu aux cicatrices que j'ai sur les bras, et il m'a surement vu quand je me rendais à mes cours de boxes hier.

Je suis dans la merde. Et je ne peux surtout pas impliquer Gramps et Mitsy là-dedans. Mais connaissant mon grand-père et sa futur femme, ils vont tout de suite remarquer que quelque-chose ne va pas et ne vont rien lâcher jusqu'à savoir quoi. Autant que je les mette au courant directement.

"GRAMPS !!! MISTY RAMENEZ-VOUS, J'AI UN TRUC IMPORTANT À VOUS DIRE !!"

Quelques secondes pus tard, Mitsy se jette sur moi et me demande :

"Ça y est ? T'as un petit copain ? Tu me le présentes quand ? Je vais être Tata ?

- Mila... C'est important."

Devant mon air sérieux et l'emploi de son vrai prénom, elle s'assoit sur les genoux de Gramps et les deux m'écoutent :

"Carlo Sanchez m'a retrouvé. Le type qui m'a séquestré pour essayer de me violer quand j'avais douze ans m'a retrouvé.

- Oh mon dieu ! S'exclame Mitsy.

- Tu n'imagine pas ma puce. Ce type est le chef d'un gang très puissant en Amérique et il est tout sauf un ange. S'il veut quelque-chose, il fait tout pour l'obtenir ou alors il se débrouille pour que personne d'autres ne l'ai. Précises Gramps.

- Ça veut dire que...?

- Li est en danger. La coupe-t-il.

- Et vous aussi si je reste ici. Je vais partir quelques temps et je vous recontacterais quand je pourrais.

- C'est hors de question ! Hurle gramps."

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