Fin n° 1

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Dans ce récit il y a deux fins possibles. Celle ci est la fin de base.

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Je n’ai pas pu réintégrer mon poste à l’hôpital, alors je passe mon temps chez Stéphanie, elle veut préparer la chambre du petit qui arrive dans quelques jours. Elle supporte mon nouveau moi que je déteste chaque fois que je lui fais du mal. J’ai beau avoir envie de me contrôler, je finis toujours par la gifler ou la baiser violement. Je n’arrive jamais à me contenir et je finis forcément par claquer mon corps contre le sien, jusqu’à me faire jouir. Chaque fois que j’entreprends nos ébats, elle est pétrifiée de peur, ce qui ne fait que m’exciter toujours un peu plus. Je ne pense pas qu’elle prenne du plaisir, même si elle finit toujours par jouir.

- Max, tu penses à faire la fresque du petit.

- Ouais ouais. Dis-je soulé.

Son ventre est bien rond, mais reste sacrément sexy. Je ne sais pas si elle se rend compte de l’effet qu’elle a sur les hommes, mais quand on va dehors, les hommes se retournent sur elle malgré son état. Elle s’habille toujours dans la provocation, et ses mimiques sont très excitantes.

- Faut que je passe chez moi Steph, il me reste un peu de peinture je crois, ça suffira pour finir la chambre.

- J’ai encore des trucs à acheter, stp Max on y va après.

Les boutiques ça me soulent, surtout qu’on a déjà tout ce qu’il faut mais non elle veut encore acheter.

- Vas-y toute seule et moi je vais chercher la peinture chez moi.

Elle fait une bouille de sale gamine boudeuse mais accepte ma proposition. Bien que mon frère ait géré ma maison, ça fait deux ans que je n’y ai pas mis les pieds là bas et je vais devoir faire face à mes souvenirs. Mais mon téléphone sonne et me sort de mes pensées.

- Salut mon pote, comment ça va ? Alors elle couve toujours ? Me demande Brice

- Ouais toujours.

- Ca te tente de venir boire un verre ?

- Je ne peux pas, je dois passer chez moi prendre de la peinture pour la chambre du petit.

- Chez toi ?

- Ouais, je vais y retourner.

- Tu veux que je t’accompagne ?

- Non c’est bon ça va aller t’inquiète.

- T’es sur Max ?

- Oui, faut que j’affronte mes démons tôt ou tard de toute façon.

- Ok, tiens-moi au courant dès que le petit arrive.

- Promis.

Malgré le temps, ma maison reste toujours aussi accueillante, et il n’y a plus aucune trace de mon arrestation. Je descends au sous sol, je passe devant la porte close de la chambre de Cynthia et je me force à ne pas y entrer. Je reste focaliser sur mes barils de peinture, et me dirige vers le coin cave. Je cherche mes barils et au bout d’un moment enfin je les trouve.

Quand je repars, la porte de la chambre de Cynthia est ouverte. Mon cœur se tape une accélération, je dépose doucement mes barils, et discrètement je me dirige vers la chambre.

Quand j’arrive à l’entrée, j’aperçois ma garce assise sur son ancien lit.

- Putain qu’est ce que tu fous là !

- Bonjour Maxime.

Ma fureur parcours mes veines, et son regard provocateur, me pousse au hors contrôle.

- Comment t’es rentrée !

- T’as pas fermé ta porte d’entrée à clé.

Et merde !

- Comment t’as su que j’étais ici, tu me suis !

- Probable.

- Sors d’ici !

La belle brune ricane.

- D’habitude c’est moi qui te demande de me laisser partir.

- Tu trouves ça drôle ! J’ai fais de la taule à cause de toi ! T’as pourrie ma vie !

- Tu n’as pas envie de me rendre la monnaie de ma pièce, Maxime ?

- T’es une grande malade !

- Quoi, deux ans de prison, tu dois avoir envie de te venger, non ?

Elle me fixe sans que j’arrive à tourner les pas. Dans ma tête, les images de notre folie explosent dans ma tête.

- Tu ne risques rien Maxime, je ne vais pas de nouveau porter plainte, vu ce que m’a dit le juge.

C’est vrai qu’elle ne serait pas crédible. Je chasse au fur et à mesure mes idées sordides, elle mérite tellement que je m’acharne sur elle, que je lui fasse payer mes années perdues. Ma rage monte et Cynthia ne fait rien pour la calmer, bien au contraire. Mes pensées se bousculent, quand je sens dans ma poche mon téléphone vibrer.

- Ouais Steph

- Max…le bébé, il arrive !

- Quoi !

- J’ai perdu les eaux, faut que tu viennes !

Ma belle brune se dévêtis devant moi alors que je lui fais signe que non. Elle s’approche de moi et me fait reculer jusqu’à toucher le mur. Elle caresse la boursoufflure dans mon pantalon et j’entends Steph’ plaintive.

- Max !!! T’es là ? Me crie Stéphanie au téléphone.

- Ouais je suis là. Je suis là. Dis-je sans lâcher Cynthia des yeux.

- Max !!!!

Cynthia, se recule et va s’allonger sur le lit, elle écarte les jambes et commence à caresser ses lèvres, les écartant pour me laisser entrevoir son orifice. Ses doigts la caresse devant moi, m’hypnotisant totalement. Elle porte ses doigts à la bouche, et les glisses de nouveau en elle. Putain ! Mon sexe demande que ça, et j’ai Stéphanie qui hurle qu’elle a des contractions.

- Lâche ton tel, et viens. Me lance Cynthia en lançant ses chaînes à mes pieds.

- C’est quoi ce bruit Max ! Crie Stéphanie.

- Rien, j’ai fais tomber un truc.

- Putain Max, me laisse pas, j’ai besoin de toi, le bébé arrive !

Cynthia fait bouger ses doigts en elle, et son corps se cabre lorsqu’elle les plonge profondément.

- Va à l’hôpital, je finis ce que je fais et j’arrive.

- Max, non…

Je coupe mon téléphone. Mon souffle est rythmé par les battements de mon cœur, j’entends Cynthia gémir alors que je suis face à la porte.

- Oh Maxime, tu pourrais tellement te soulager, libère toi Max. Viens…

- T’es qu’une garce putain.

- Tu préfères peut-être plus…non pitié Maxime pas ça, me fais pas de mal je t’en supplie arrête !!!

Au début sa voix est moqueuse mais petit à petit elle redevient comme je l’ai connu, apeurée. Je tente de me battre, mais quand elle hurle au secours, mon esprit s’éteint.

Je referme la porte, et tourne la clé.

Quand je me retourne, son regard à changé, elle perd son sourire et la peur prend la place de son arrogance.

- Tu ne sais pas à quel point je peux te faire mal ! Tu vas déguster sale garce !

- Max...déconne pas...non !!! MAX !!!!!!

Je n’entends que sa voix suppliante, le bruit de sa douleur, le bruit de mes coups sur elle. Je ne pense plus alors que je vois ma belle changer doucement. Son sang et ses pleurs m’excitent. Elle ricane sous mon nez alors qu’elle devrait s’enfuir. Elle me cherche.

- T’en veux plus salope !!!

- T’en es incapable, tu frappes comme un gosse Max.

Son ton moqueur m’énerve, je la fais hurler autant que je peux. Je lui déplace ses os, lui brise le bras puis lui broie les os de son bassin à grand coup de poing dans son vagin. Je m’arrête lorsqu’elle s’évanouie, redevenant tendre le temps qu’elle reprenne conscience.

- Je ne peux pas m’arrêter Cynthia.

- T’arrêtes pas.

Je l’embrasse alors que j’ai le goût de son sang dans la bouche. Sa langue enroule lentement la mienne, elle fatigue. Elle a perdu quelques dents mais je la trouve toujours aussi merveilleuse. Sa main attrape la mienne et elle referme mes doigts pour former un poing puis la pose sur son ventre.

- Vas-y Max.

Je ne sais pas combien de coups tombent mais ses cuisses sont recouvertes de sang et d’urine. Elle souffre mais résiste autant qu’elle le peut. Elle me guide et moi j’obéis à ses envies.

- L’amour rend aveugle Max.

- Oui et alors ?

Elle prend mes mains et les pose sur son visage, elle met mes pouces au niveau de ses yeux.

- Je t’aime Max.

- Cynthia je ne peux pas faire ça.

- Tu m’as dis vouloir me donner tout ce que je veux alors fais-le mais doucement. Je veux souffrir Max, fais moi mal.

Je résiste comme je peux mais mes doigts s’enfoncent avec lenteur alors que mon sexe va et vient toujours en elle. Elle m’excite même défigurée. Elle vient de m’offrir sa vie qui est sur la fin. Elle hurle, et se cambre en tremblant.

- En…core…Max.

Je lui doigte ses orbites comme si c’était son sexe et lui offre son dernier orgasme.

- Reste avec moi, j’ai encore tellement de chose à te faire Cynthia, j’en ai pas assez. Dis-je en pleurant.

Mais son corps inerte ne me parle plus, ne me répond plus. Je ne cesse de lui faire l’amour jusqu’à sentir son corps froid se durcir. Cette femme m’a rendu trop fou, je dois arrêter ça.

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Stéphanie,

Quand tu recevras cette lettre, il sera trop tard, je serais plus là.

Vous avez sûrement du retrouver le corps de Cynthia chez moi, je n’ai pas su m’arrêter, je suis désolé. C’est pour ça que je ne peux pas rentrer auprès de toi et du bébé. Quelle sorte de père je serais alors que j’ai pris goût à sa folie. Tu mérites tellement mieux. Elle, elle ne méritait que moi.

Tu vas sans doute me détester, être choquée par ce que l’on dira sur ce crime atroce. Oui j’ai pété les plombs, mais elle le méritait, je te jure qu’elle le voulait, elle n’a jamais cessé de réclamer plus jusqu'à ce que ça soit trop. C’est quand j’ai compris le plaisir que j’ai eu de la voir mourir dans mes mains que j’ai pris ma décision.

Tu manqueras de rien, ma famille sera là pour toi. Je ne sais pas si je t’ai aimé un jour, je sais juste que l’idée de te faire encore plus de mal m’est insupportable. Et j’en ai très envie.

Comprend bien que si j’avais du revenir auprès de toi, tu aurais fini comme elle. C’est pour te protéger et protéger les femmes que je mets fin à ma folie et que je pars rejoindre celle qui me l’a donné, c’est la seule manière de m’arrêter. Pardon ma beauté mais il fallait que ça s’arrête.

Prends soin de toi et de notre fils.

Ne laisse jamais un homme faire ce que je t’ai fais.

Je me libère enfin de ma folie. Adieu.

Maxime

FIN

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