Chapitre 27

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On ressort de la chambre pour retrouver Brice et Steph’ en pleine action. J’invite Cynthia à regarder l’horizon. On voit la côte au loin, et elle a encore des sursauts. Je lui masse son bas ventre, et ses mains se crispent sur la barre. En fond sonore, les gémissements de mes potes. Je caresse ses doigts et la fait se retourner pour l’avoir face à moi. Je caresse sa joue avant de plonger sur ses lèvres. Je frotte ma jambe contre sa chatte pendant que je frotte mon érection à sa cuisse. Elle ne me frappe pas, elle sait qu’elle le regretterait. Elle combat pour pas mouiller mais c’est peine perdue. Elle bascule sa tête en arrière et je dévore son cou. Je me déverse dans mon pantalon et elle dans son short qui laisse apparaître une petite auréole.

- A table les tourtereaux !!!

Je n’avais même pas capté qu’ils avaient finis. On se met à table et je remercie le père de Brice qui nous a plus que gâté avec ses écrevisses.

- Putain c’est bon. Dis-je en dégustant la bestiole.

- Eh, vous n’avez pas entendu l’histoire de la meuf qui s’est godée avec une écrevisse ? Nous demande Brice.

- Euh non.

- L’écrevisse lui a pondu à l’intérieur, non ? Dit Cynthia.

- Putain je ne suis pas le seul pervers ici alors. Tu mates des trucs bizarres alors toi aussi ?

Cynthia répond pas alors qu’on se regarde avec Steph’ étonnés qu’une fille comme elle puisse connaître ce genre d’histoire bizarre comme Brice. Car on sait que Brice aime mater tout ce qui est étrange dans le sexe, c’est son délire.

- Ouais bah on mange là donc vos histoires, vous vous les gardez. Dit Steph’

- Rooo depuis quand tu fais ta fragile toi.

- Depuis que tu parles de truc dégueu à table.

- Donc je ne vous parle pas de la meuf qui s’est faite démonter par son poney.

- Putain Brice !!!

Cynthia pouffe de rire avec Brice, leur complicité commence à me gonfler, là !

- Tu kifferais toi te faire démonter par un bel étalon bien monté. Lâche Brice à Steph’

- C’est dégueulasse !!! Crie Steph’ dégoutée

- Eh t’aimes le sperme toi, tu serais servi, un canasson c’est ce qui te rempli le plus.

- Non c’est le verra. Dit Cynthia.

On se regarde tous et elle continue à manger.

- Un verra sperme plus qu’un cheval ? T’es sérieuse ? Demande Brice.

- Ouais 250ml le verrat contre 60ml à peu près pour le cheval.

- Putain t’es calée toi.

Elle replonge le nez dans son assiette et un silence de mort prend place. Mais bordel, qu’est ce qu’elle me fait là.

- Je suis maîtresse d’école, on apprend la reproduction animale en primaire, j’ai donc lu pas mal de chose là dessus.

- Ah ok. Dit Brice un peu sonné.

- Mais tu ne fais que regarder ou tu pratiques ? Demande-t-elle à Brice qui reste sans voix.

- Euh…bien sur que non, c’est illégal.

- Mais si ça ne l’était pas ? Tu pratiquerais, n’est ce pas ?

- Je…non enfin…je…

- Ca va on est entre nous, non ? T’as peur de décevoir Max ou Steph’ ?

- Non, mais je te connais pas et là on va trop dans le perso.

- C’est une discussion comme une autre Brice mais je comprends que ça ne soit pas simple de parler de quelque chose d’immorale et de tabou. Mais du moment où tu regardes des vidéos de ce genre, est ce que t’as pas déjà basculé ?

Cynthia ne lâche pas des yeux Brice qui finit par baisser les yeux. Elle a ce sourire qui me fait bander alors que mes collègues, eux, on perdu le sourire.

- T’es maîtresse d’école alors ? Demande-t-il pour changer de discussion.

- Oui et toi infirmier je crois ?

- Oui

Je n’ai jamais vu Brice si mal à l’aise, s’il pouvait se barrer, je crois qu’il le ferait. Cynthia le lâche pas des yeux, comme si elle voulait l’anéantir par ses charmes. Cependant je sens que Steph’ s’agace face à Cynthia et la tension commence à monter entre elle deux, jusqu’à ce que Cynthia se lève et s’excuse pour aller aux toilettes.

- C’est qui cette meuf Max !!! Elle est hyper chelou. Me dit Brice

- Parce qu’elle sait le nombre de ml de sperme d’un cheval et d’un porc ?

- Non enfin si mais...putain je la sens pas mec, y a un truc qui cloche et je ne sais pas quoi. Continue-t-il

- Moi non plus Max, elle pue le mal cette fille. Dit Steph’.

- Vous ne la connaissez pas, vous pouvez lui laisser au moins sa chance ? Et puis c’est toi qui a lancé ce sujet de merde ! Dis-je

Brice regarde Steph’ et je sens bien qu’ils ne changeront pas d’avis. La soirée se passe un peu sur les dents même si Brice fait de son mieux pour qu’on passe un bon moment. La main de Cynthia joue avec la mienne et je me délecte de la voir si coopérative. Elle vient se poser sur mes genoux, m’embrasse, et je vois qu’en face ils nous observent comme si nous étions des rats de labo. Pendant qu’ils discutent, moi je construis dans ma tête le scénario de ce soir quand on sera plus que tout les deux. On se dit enfin bonne nuit et j’emmène ma belle dans notre chambre.

- Déshabille-toi et allonge-toi sur le lit.

Je sens qu’elle se tend mais m’obéit. J’ouvre mon sac et prépare mon matériel.

- Stp Max, pas ça.

- Chuttt.

Je m’allonge sur elle et l’embrasse, je lui écarte les cuisses et descend le long de son corps avec ma langue et mes baisers. Lorsque je touche son clitoris, elle se cambre. Je souffle un peu dessus, lui donne des coups de langue et elle gémit. J’écarte bien ses lèvres et lèche chaque recoin. Ses mains viennent caresser mes cheveux alors que son bassin ondule. Je stoppe mes caresses et elle grogne de frustration. J’attrape les menottes et remonte sur elle.

- Max stp non !

- Oh si. T’as voulu t’échapper tout à l’heure, en plus de ça, t’as voulu draguer Brice pour me rendre jaloux, faut payer maintenant.

- Pitié, ne me fait pas de mal.

Je ricane en l’attachant à la tête de lit.

- Ouvre ta bouche.

- Stp...Je…

- Ouvre !!!

Elle m’obéit et je lui enfonce une balle en mousse et scotch sa bouche.

- Bien, maintenant on va pouvoir avoir un peu de silence. Oh Cynthia, t’aurais tellement pas dû vouloir t’échapper…

Je descends le long de son corps et ses cuisses se referment. J’attrape les sangles et l’attache au lit pour qu’elle reste les cuisses ouvertes. Je la serre bien jusqu’à voir ses articulations forcer. J’embrasse l’aîne étirée et elle se met à pleurer.

- Oui je sais, ça tire beaucoup.

Je lui palpe le bas ventre et vois que ce n’est pas très agréable.

- Nous ne sommes pas chez nous alors pas question que tu inondes d’urine le lit.

J’ouvre mon sac et sors un kit de sondage et elle se met à s’agiter.

- Respire, tu connais déjà ça, c’est juste un peu plus gros qu’à la maison, y avait plus que ça à l’hôpital, ça paraît très gros mais je t’assure que ça rentre.

J’ai du prendre la taille maximale avant de me faire choper, elle va se sentir ouverte et pleine, c’est parfait. Je la nettoie et glisse la sonde médicale qui avance en douceur en elle jusqu’à la voir se crisper. Je gonfle le ballonnet et laisse la sonde verrouillée pour pas qu’elle la vide. J’attache la poche à sa cuisse et reprend mes baisers. Je lèche le pourtour de la sonde, la faisant bouger, lui donnant envie d’uriner.

- Oh Cynthia, t’es tellement belle quand t’as peur.

J’attrape le taser et elle s’affole. Je caresse son corps avec sans l’activer et elle frémit. Je le descends sur son bas ventre. Elle panique.

- T’as voulu t’échapper alors que je t’ai demandé d’être coopérative et même si tu l’as été ce soir, ça n’empêche que t’as voulu t’échapper. Comment te faire confiance si à chaque fois tu joues avec. Je vais devoir te faire comprendre que même dehors, je peux te faire souffrir, Cynthia.

Je lui donne une décharge et elle se crispe par la douleur.Sa vessie a du se contracter, impossible de se vider.

- C’est que le début ma belle.

Je descends sur son clitoris et donne un coup de jus sur le petit bout de chair, qui a du lui contracter tout le bas ventre. Ses jambes tremblent et je m’amuse à secouer sa sonde. Elle se met à pleurer, à se débattre. Je lui écarte ses lèvres et donne un autre coup d’électricité. Très vite, sa sueur se forme et perle sur son corps. Je lui enfonce mes doigts et la travaille. Elle aime ça malgré que la peur se lit toujours dans son regard.

- Voyons si ça rentre. Dis-je en montrant le taser.

Elle gigote, mais ne peut pas bouger plus, pour échapper à l’arme que je veux enfoncer en elle. Je prends le temps et au bout de 2 heures, je suis complètement en elle. Elle est essoufflée et je dois lui dire de respirer doucement pour ne pas hyper ventiler. Elle est effrayée et ça me fait bander comme un dingue.

- Ne crois pas que ton corps humide va le faire disjoncter, c’est plutôt robuste.

Elle est dans un tel état de panique que je sens mes premières perles sortir de mon sexe.

- Tu sais ce qu’il m’a le plus déplu, ce n’est pas que tu t’échappes, c’est que t’aies joué avec Brice pour me rendre jaloux. Si tu savais comme je déteste ça de te voir en draguer un autre, ça me rend dingue. Et tu le sais. Tu sais que je vais forcément me venger sur toi, pourtant tu continues à me regarder comme j’aime. Je vais te faire si mal mon amour…

J’accompagne mes paroles par mon geste et appuie sur le taser. Je le lâche plus et son corps se met à convulser. Je sens que ça se contracte autour de ma main et je n’imagine pas si c’était ma queue à l’intérieur. Elle pleure, s’étouffe avec ses sanglots et regrette sûrement ses agissements.

- Respire doucement avec ton nez. Voilà, parfait. Maintenant on va baiser et ça sera la dernière fois qu’on parlera de ton comportement avec les autres. T’es à moi, rien qu’à moi, ne recommence jamais ça.

Je ressors le taser et me couche sous elle, je lui enfonce ma bite au garde à vous qui a du mal à rentrer tellement elle est contractée mais finis par y arriver. Je pose l’engin sur son bas ventre et tout en bougeant en elle, je lui balance des coups de jus qui vont me mordre à l’intérieur de son corps. Elle est en crise de larmes pendant que je continue ma torture jusqu’à en jouir.

- T’as compris, plus jamais ça Cynthia. Dis-je à son oreille

Elle fait oui de la tête.

- Je vais devoir rester un peu, tu m’as verrouillé en toi ma belle.

Elle est tellement crispée que je peux plus bouger. Je caresse la peau de son ventre pour la décontracter mais je sens les crispations sous mes caresses. Elle a besoin de se vider. Je la libère et elle me remplie sa poche et je sens son soulagement. Je regarde ma montre, 5h20.

- Respire bien, décontracte-toi. C’est finit ma belle, c’est finit.

6h10 je suis toujours coincé en elle, elle se décrispe pas et ça commence à vraiment être douloureux pour nous deux.

- Je suis désolé mon amour, je vais devoir te faire encore un peu mal.

Je force mon retrait et elle hurle dans sa balle. Je me fais mal aussi mais au moins je suis libre de son corps. Je lui retire tout et la couche alors qu’elle est déjà somnolente, même si ses sanglots sont toujours là. Je me couche contre elle et m’endors aussitôt. Le lendemain je me lève malgré qu’elle dorme encore et retrouve Brice sur le pont qui se boit un café. Il m’en serre un et je m’installe sur les canapés mais je vois que quelque chose ne va pas. Il a les traits tirés, il est silencieux et son regard en dit long.

- Parle Brice. Qu’est ce qu’il y a ?

- Je ne sais pas mec, je ne sais pas.

- Mais encore ?

- Je ne sais pas ce que tu fous avec cette fille mais putain Max, tu déconnes plein tube.

- Je ne vois pas de quoi tu parles.

- Steph’ est venue te voir hier soir, t’étais occupé avec Cynthia à faire des trucs glauques.

Et merde.

- Super, elle me flique maintenant.

- Mais non, elle voulait te proposer de nous rejoindre.

- Cynthia m’aurait arraché les couilles et jamais je ne lui aurais fais ça.

- Max, faut que t’arrêtes ça, tu joues à un jeu dangereux.

- T’inquiète je sais ce que je fais.

- Mais mec, putain t’es infirmier !!! Tu connais les risques des jeux médicaux, non ? Faut que t’arrêtes !!! Elle risque des infections Max !!!

Je vois que Steph’ a fait un rapport complet.

- Ça va je te dis.

- Non ça va pas, ça va plus quand on utilise du matos de l’hôpital ou quand on s’amuse avec une arme.

- Elle va bien je te dis, on a jouis comme des ouf, tu devrais essayer tu sais.

- Même pas en rêve, pas besoin de ça pour jouir.

- C’est bien plus puissant qu’un simple orgasme.

- Ouais tellement puissant que tu peux lui foutre un arrêt cardiaque. Tu ne veux pas essayer le défibrillateur aussi tant qu’on y est ! Putain Max, réveille-toi, merde ! Jamais t’as fais ce genre de chose. Cette fille est pas nette, elle est malsaine, perverse, bref je la sens pas tout.

- Je sais ce que je fais, relaxe.

Il a l’air dans ses pensées puis il me regarde affolé.

- Oh putain Max ! Je ne comprenais pas pourquoi elle avait des chaussettes hier, mais à ce qu’il paraît elle est marquée aux chevilles et aux poignets d’après Steph’. Me dis pas que tu l’as vraiment enlevé ? Max stp me dis pas ça !

Putain comment est-il au courant !!!

- Je ne vois pas de quoi tu parles Brice.

- Quand on a été chez Popeye, t’as dis que tu l’avais enlevé et violé.

Putain de merde !!! Rappelez-moi de plus boire bordel !!!

- J’étais bourré.

- Putain ce n’est pas vrai !!! T’as enlevé cette fille Max !!!

Je n’arrive pas à mentir à mon pote alors j’acquiesce de la tête.

- Mais qu’est ce qui te prend Max !!!

- Je suis amoureux d’elle Brice. Et…elle aime ça.

- Tu déconnes là !!! Personne n’aime être enlevé et violé !!! Faut que t’arrêtes ça.

- Non je ne peux pas, je ne veux pas et elle non plus.

Il ferme les yeux puis regarde le ciel sans rien dire.

- Tu vas me balancer ? Dis-je

- Bien sur non, je te l’ai toujours dis que si un jour tu devais planquer un cadavre je serais là car on est pote et que pour toi je ferais n’importe quoi.

- Pareil mec.

- Mais tu déconnes Max.

- Elle m’aime Brice. Vraiment.

- Le syndrome de Stockholm, ça te parle ? Elle ne peut pas aimer son kidnappeur, c’est la peur qui parle à sa place. De l’instinct de survie ni plus ni moins. Faut que t’arrêtes ça.

Je connais ce Syndrome mais je sais aussi qu’elle a des réactions qui ne collent pas à ça.

- Je l’ai sorti au cinéma mec, on s’est fait contrôler par des flics et elle n’a rien dit. Elle m’a même sortie de la merde car elle portait des menottes et un des flics m’a questionné, je ne savais pas quoi répondre et elle a raconté que c’était un jeu érotique alors qu’elle aurait pu tout balancer, t’explique ça comment ?

- Sérieux ?

- Ouais. Elle a eu plusieurs occasions pour se barrer et jamais elle va jusqu’au bout. Elle aime ça je te dis.

- Elle est aussi folle que toi alors. Putain c’est dark comme histoire quand même. Tu comptes faire quoi avec elle ?

- L’épouser.

- Enchaînée ? Super vie !!!

- Non, regarde, là on est libre et elle n’est pas enchaînée.

- Donc c’est ça que tu veux, une femme victimisée mais qui joue les petites amies quand tu sors ?

- Je veux elle, peu importe comment elle est.

- Je ne sais pas si on te l’a déjà dit mais t’es vraiment dingue mec.

- Elle me le répète tous les jours.

- Et moi qui me croyais bizarre avec mes fantasmes. Dit-il.

- T’as bien vu qu’elle est étrange, non ? On était fait pour se rencontrer. Stp, n’en parle à personne.

Il me regarde et il finit par me sourire.

- Je ne cautionne pas Max mais en tout cas je garderai ça pour moi, tu peux me faire confiance.

Je retrouve le sourire et quelque part ça me touche qu’il accepte de ne pas me balancer aux flics.

- Stp, n’en parle à personne, même pas à Steph’.

- Ca va de soi. Je n’ai pas envie de te voir finir en taule car elle, elle te balancerai sans hésiter.

- Ca c’est certain.

- Elle rage que t’aies une copine tu sais ?

- Elle t’a toi.

- Je ne suis pas toi Max, j’ai vraiment l’impression qu’elle tient beaucoup à toi.

Je suis obligé de rire là.

- Steph’ ? Elle tient pas à moi mais à ma queue et elle est vexée que je m’occupe plus d’elle mais elle ne tient pas à moi.

- Je ne suis pas si sur Max.

On se boit un autre café alors que les filles dorment encore.

- Mais ça ne t’inquiète pas toi qu’elle accepte tout ça ? Tu crois qu’on peut tomber amoureuse d’un mec qui t’enlève et te torture ? Ca pue votre histoire Max. Pour moi y a autre chose derrière tout ça et ça va te péter à la gueule, frère.

- Ecoute, je te suis reconnaissant que tu t’inquiètes pour moi mais si tu n’en parles pas, je ne risque rien et je sais ce que je fais avec elle. Ok ?

- Ok.

- Merci.

- De rien, t’es mon frère mec. Dit-il en checkant.

Je me lève et retourne auprès d’elle. Elle dort à poing fermé, sûrement épuisée de sa nuit. Lorsqu’elle ouvre ses yeux, elle a un sourire magnifique. Je sais très bien qu’elle adore ce que je lui fais.

- Tu te sens comment ? Dis-je

- J’ai mal partout c’est horrible. Dit-elle en s’étirant.

- Un douche bien chaude, te ferais le plus grand bien.

- Je ne dis pas non.

- Ça tombe bien, j’avais l’intention d’y aller aussi et elle est assez grande pour nous deux.

Étonnamment, elle ne dit rien à mon intrusion dans ce projet de douche. Elle me laisse la savonner et profite de l’eau chaude et moi je profite d’elle. Je me lave pendant qu’elle se rince et je n’ai pas le droit à un coup dans les couilles. Décidément ce matin elle est très docile et souriante, une femme comblée. J’engage un baiser qu’elle partage. Rien ne l’oblige à jouer la petite amie parfaite quand on est tout les deux mais je sens que ce voyage a changé quelque chose entre nous. Où alors c’est le dépaysement, je sais pas mais j’adore cette Cynthia là. Elle prend même l’initiative de me savonner le corps. Je la regarde faire et m’attends à n’importe quel moment d’avoir un coup foireux. Sa main coulisse le long de mon sexe qui est déjà entrain de perler. Je finis par passer sous l’eau chaude pour me rincer et nous sortons de la douche. Je la sèche et finis avec un baiser. Je lui donne ma serviette et à son tour elle me sèche, s’accroupissant pour faire mes jambes. Mon sexe est droit sous son nez. On se regarde et je crève d’envie de lui baiser sa bouche. Elle est hésitante, elle aussi en crève d’envie mais elle est toujours dans un combat avec sa raison. Mais cette fois-ci je ne vais pas lui ordonner quoi que se soit, je veux que la décision vienne d’elle. Non seulement elle m’a sucé avec volonté mais pour la première fois, elle a avalé mon sperme, qu’elle crachait à chaque fois. J’adore cette Cynthia là autant que la Cynthia rebelle ou craintive. J’aime toutes ses personnalités même si Brice et Steph’ ne l’aiment pas.

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