Chapitre 26

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Aujourd’hui nous devons embarquer sur le bateau de Brice, enfin du père de Brice. Brice est un fils de riche, malgré ça il reste un mec simple et accessible qui ne se prend pas la tête. Son père a vu en lui un grand chirurgien, mais Brice s’est arrêté au niveau infirmier, pour le plus grand malheur de ses parents. Mais ce mec est adorable et c’est mon meilleur pote voire même plus, presque des jumeaux, malgré qu’il soit blond, le reste se ressemble beaucoup. Anciennement dans le rugby, Brice est taillé un peu comme moi qui fais de la musculation et un peu de sport. De la même taille et de la même carrure, nous pourrions être pris pour des frangins. En tout cas, notre amitié est fraternelle.

- Habille-toi. T’as 15 minutes. Dis-je à Cynthia.

- Pourquoi toujours 15 minutes ? C’est court. Ronchonne-t-elle.

- Si je te laisse plus de temps c’est pour te baiser, tu préfères quoi ?

- 15 minutes ça ira largement.

- Tu vois ce n’est pas court.

Elle me fusille du regard et s’en va à la salle de bain. J’ai choisi une tenue simple, Jean, haut blanc moulant, un décolleté lacet, pas de soutif, de quoi la mater et un string dentelle.

- Et voilà. Dit-elle

- T’es magnifique mon amour.

Elle démêle ses longs cheveux mouillés puis elle passe au maquillage.

- On va où ? Me demande-t-elle

- Sur un bateau.

- Sérieux ?

- Ouais, t’as le mal de mer ?

- Non.

Elle met une paire de basket, et nous pouvons aller rejoindre Brice et Steph’. Je lui donne son bandeau et elle soupire. On n’est jamais trop prudent. Quelques kilomètres plus tard je lui fais retirer et elle peut profiter du paysage pendant que j’ai la main sur sa cuisse. Je ne l’ai pas attachée mais les portières sont verrouillées.

- Tu penses que je suis capable de sauter en marche. Me demande-t-elle.

- Va savoir.

- Je ne suis pas dingue à ce point là.

- Je préfère jouer la carte de la sécurité avec toi.

Le silence reprend le relais puis je le brise pour lui rappeler les règles de ce week-end.

- J’attends de toi de la coopération ce week-end, tu prends ton rôle de petite amie parfaite et tu ne dis rien sur ce qu’il se passe, compris ?

- Sinon ?

Je la regarde et serre la mâchoire, elle commence déjà à me soûler, ça promet.

- Ok, je serais sage. Dit-elle

- Merci. Tu vas faire la connaissance de mon meilleur pote et collègue et de Steph’ une collègue.

- Ils sont ensemble ?

- Pas vraiment. On la baise mais y a pas de relation suivi.

- On ?

- Ouais enfin moi j’ai tout stoppé depuis que je t’ai mais pas Brice.

- Ah.

- Jalouse ? Dis-je avec un sourire en coin.

- Non je m’en fous. Tu m’arrangerais si tu pouvais d’ailleurs passer tes nuits avec elle plutôt qu’avec moi.

- Chiche.

Je vois à son regard qu’elle n’aime pas cette idée là.

- Déstresse, ils savent que nous deux c’est sérieux.

Elle ricane.

- Arrête. Dis-je

- Je dois aussi faire la petite amie amoureuse, c’est ça ?

- Pas trop dur, t’es déjà dingue de moi. Dis-je en lui faisant un clin d’œil.

- Tu bandes là ?

- Toujours avec toi mon amour.

- Puissant les fantasmes chez toi.

- Ahah fait ta maline. J’ai pris du lubrifiant pour ton cul mais je crois qu’il va rester dans la voiture.

- Ton ex doit en avoir je suppose.

- Steph’ ? Elle n’a plus besoin de lub’ depuis un moment elle. Dis-je en riant

Elle se renfrogne.

- Et ce n’est pas mon ex, on a juste baisé de temps en temps. C’est une bonne amie maintenant. Sois gentille avec elle, d’accord ?

- Je suis une gentille moi.

- Ouais, ça c’est ce que tu essayes de faire croire.

Nous arrivons au portail du parking du petit port mais pas de Steph’ ni de Brice.

- Y a personne. Dit Cynthia en regardant le port.

- Ah bah j’ai peut être menti, je t’emmène peut-être pour faire disparaître ton corps au fond de la mer.

- Arrête, tu m’excites trop là. Dit-elle en gémissant.

- Sale garce, je vais te baiser sur ce port, tu vas vite regretter ce petit jeu.

- Tu bandes juste avec quelques gémissements ?

- Les tiens me font bander rien qu’en les imaginant.

- Je ne pensais pas avoir autant de pouvoir sur toi.

- T’as pas idée comment tu en as.

Elle a ce petit sourire qui me fait bander encore plus fort.

- T’as gagné, je vais te baiser.

Je déverrouille les portes et à la seconde, elle sort et se met à courir vers les bâtiments, super il commence bien le week-end. Je sors, ouvre le coffre et prend mon scalpel et mon taser puis marche vers là où elle a du se cacher. Impossible pour elle de partir, le portail s’est refermé après nous, elle est donc coincée mais ça, elle ne le sait pas.

- Cynnnnnthiaaaaaa

Ma voix fait de l’écho, et je l’imagine déjà effrayée. Elle va tellement prendre cher.

- T’as remarqué que t’es coincée et que c’est une question de temps pour que je te retrouve. Allez, sors et viens à moi, et promis je ne serais pas trop méchant.

J’appuie chaque pas pour qu’elle m’entende venir alors que je regarde partout puis un bruit.

- Cynnnnnthiaaaaa…c’est mort ma belle, je vais te baiser durement, allez sors de ta cachette.

Deuxième bruit, elle panique.

- Cynnnnnthiaaaaa !!! Je vais t’attraper, je vais te faire mal mon amour, allez viens, tu sais que t’attends que ça.

Je fais tomber un bidon et j’entends que ça court. Trouvé. Je me pose sur le coté et attend qu’elle me dépasse. Elle est essoufflée, tremblante, une petite proie qui va se faire dévorer. Je prends mon scalpel et quand elle passe devant moi, j’enroule mon bras autour de son cou et pose ma lame sur son visage.

- Max stp me fais pas de mal.

- Ah mais ça fallait y réfléchir avant ma belle.

Je sens son corps trembler alors que la lame descend sur son ventre. Elle bouge plus et je la plaque contre la taule et la retourne pour qu’elle me fasse face. Sa poitrine monte et descend. Je range mon scalpel et sa respiration ralentit. Je pose mon front sur le sien et elle me balance un bon coup de genoux. La douleur monte en moi mais je reste face à elle et lui donne un coup de taser dans les cotes. Elle s’effondre dans mes bras et je l’attrape pour pas qu’elle tombe.

- T’aurais jamais du faire ça Cynthia.

- Laisse-moi !!! Au secours !!!!!

Je ricane.

- Le port est fermé ma jolie, tu peux gueuler personne ne va t’entendre.

- Sauf tes amis !

- Si tu savais à quel point elle gueule bien mon amour, elle n’a pas une petite voix de chaton comme toi. Ils sont sûrement entrain de baiser, et vu comment elle gueule Steph’, aucun risque qu’ils t’entendent.

- Va te faire foutre !!!

Son regard me fusille et je décide de jouer avec ses nerfs. Après tout, Brice et Steph’ sont occupés, je vais devoir tuer le temps.

- Steph’ elle est si divine quand elle hurle mon prénom, quand elle appelle à m’avoir plus loin, plus fort, quand elle veut me sentir jouir en elle. Elle, elle ne rechigne pas à avoir ma queue, non elle l’a prend dans tout ses orifices sans aucune hésitation, elle se délecte de mon sperme qu’elle récupère avec ses doigts quand je jouis dans son cul et sa chatte. Elle aurait tellement à t’apprendre.

- Pas envie d’être une fille comme ça !!!

- Non, toi t’aime quand ça fait mal, quand on te prive de liberté, quand je te tiens bien pour pas que tu bouges. Dis-je en enserrant ses poignets.

Elle a beau faire la peste, elle est excitée. Malgré tout, elle se débat et je glisse le taser entre ses cuisses.

- Non !!! Fais pas ça !!!

- Oh si je vais le faire, car y a que toi pour aimer ça.

- Arrête !!!

- Je vais appuyer et tu vas déguster, t’attends que ça mon amour, hein ?

Malgré le tissu du jean, l’électricité vient la mordre et elle se met à trembler. J’en remets un cou dans son bas ventre et elle se pisse dessus.

- T’aurais tellement pas du. Dis-je en frottant mon visage au sien.

- Pitié, arrête !!!

- Chuttttt. Dis-je en glissant le taser dans son pantalon.

Je pose ma main sur sa bouche car je sais qu’elle va hurler. Ses yeux s’écarquillent et sa tête fait non.

- Très très mauvaise idée de jouer avec ma confiance Cynthia. Je te laisse de la liberté, mais j’attends de toi que tu respectes les règles.

Ses larmes coulent sur ma main et j’appuie. Son corps se tend et je sens qu’elle s’urine encore dessus. Tant que j’appuie, l’électricité mord sa petite chatte.

- Ce week-end, ça sera notre compagnon ma jolie, je ne voulais pas te faire mal mais t’en as décidé autrement.

Elle sanglote quand je me retire puis elle se plie en deux. J’attrape ses cheveux et bascule sa tête en arrière.

- Maintenant, on va aller à la voiture, tu vas te changer pour être présentable et t’as pas intérêt à la ramener ce week-end, je te veux docile, exemplaire. T’as compris !!!

Elle fait oui de la tête.

- Crois-moi c’est que le début de ton long calvaire. Debout ! Dis-je en la levant par les cheveux.

Elle marche devant moi, et est encore toute tremblante. J’ouvre le coffre et lui donne un autre jean et des lingettes pour qu’elle se nettoie. Je glisse le taser dans le sac et nous allons sur le bateau.

- Rappelle-toi, exemplaire.

- Oui.

Je l’aide à monter et vois qu’elle est encore douloureuse.

- Brice !!! Dis-je en arrivant

- J’arrive !

- Dépêche-toi de jouir.

- Ta gueule putain !

Je ricane alors que Cynthia grimace. Je dépose dans le frigo quelques bières que j’ai ramené. Le bateau du père de Brice est énorme et doit coûter une blinde. Il y a une cuisine, une salle à manger, un salon ouvert sur l’extérieur avec un billard où je baiserai Cynthia dans le week-end. Deux chambres avec salle de bain et dehors y a des canapés de cuir blanc, un filet au dessus de la mer, là aussi j’y baiserai Cynthia. Le yacht de luxe dans toute sa splendeur. Cynthia regarde l’horizon, les mains posées sur la barrière, je viens derrière elle et enroule mes bras autour d’elle et lui pose un baiser dans le cou qui la fais frissonner. Je descends jusqu’à son bas ventre et le sens tout contracté.

- Tu vas avoir si mal quand je vais te prendre.

Elle dit rien mais regrette ses agissements c’est certain. Je la masse doucement et sa tête se renverse contre moi.

- C’est bon ça hein.

- Oui. Jappe-t-elle

Ma main disparaît dans son jean et trouve son clitoris qui est dure comme de la pierre. Comme un caillou, je le fais rouler entre mes doigts et Cynthia se tord de plaisir contre moi.

- Allez mon amour, jouis.

Qui dit orgasme, dit contraction, dit douleur. Je pose ma main sur sa bouche et la fais jouir durement.

- Je t’aime. Dis-je en posant un baiser sur ses cheveux qui sentent bons.

- Eh salut !!! Crie Brice torse nu en pantalon de lin.

- Salut mon pote.

- Je me présente Brice. Dit-il avec un baise main exagéré à Cynthia.

- Enchantée, Cynthia.

- Enfin je te rencontre, Je ne sais pas ce que t’as fais à mon pote mais il est fou de toi.

- Elle le sait déjà. Dis-je alors que Cynthia est mal à l’aise.

Je regarde autour de lui et pas de Steph’.

- Tu l’as mise où Steph’ ?

- Salle de bain, faut qu’elle soit présentable quand même. Tu veux aller la rejoindre ?

Cynthia me regarde et pas de bol j’ai cramé sa jalousie avant qu’elle fasse mine de s’en foutre.

- Je déconne. Relaxe, Steph’ sera rassasiée t’en as ma parole. Dit-il à Cynthia qui retrouve son sourire.

Madame n’est pas partageuse alors.

- Maxouuuu !!! Crie Steph’ qui me saute dessus et me colle un baiser.

Brice éclate de rire et fait un clin d’œil à Cynthia.

- Relaxe-toi, au pire s’ils baisent, je pourrais m’occuper de toi. Lance Brice alors que je repousse Steph’ qui ricane.

- On pourrait les laisser dès maintenant. Réplique Cynthia.

Mais là je ne plaisante plus et Brice le voit.

- Relaxe mec, tu ne vois pas qu’on veut te faire rager.

- Bah ça marche du tonnerre, tu ne la touches pas jte préviens.

- Du calme, tu me connais, je ne suis pas comme ça. Dit-il en levant les mains.

- On blaguait bébé. Me lance Cynthia

Bébé ? Putain je vais utiliser le taser plus souvent moi.

- Tes blagues sont pourries. Je te présente Steph’.

- Salut.

Les deux brunes se font la bise mais je sens qu’elles ne vont pas s’aimer. Brice nous donne une coupe de champagne et nous trinquons au début du week-end alors que le bateau s’éloigne du port. On s’installe sur les canapés extérieurs. Malgré qu’on soit à la fin de l’été, nous avons le droit aux prolongations avec un beau 32°C au soleil.

- Bon tu connais ta chambre, installez vous tranquille.

J’emmène Cynthia dans la chambre spacieuse qui a une salle de bain tout confort juste à coté.

- C’est...grand. Dit-elle

- Ouais, de quoi bien dormir. Dis-je en lui posant une bise.

- Tu es déjà venu ici ?

- Ouais.

- Seul ?

- Je rêve où t’es jalouse ?

- Curieuse c’est tout. Alors ?

- Alors, je vais te baiser dans ce lit mon amour. Dis-je en la prenant par la taille

- Max ?

- Ouais.

- Je suis désolée pour toute à l’heure. Stp ne me fais pas de mal.

Je la regarde.

- Pourquoi lorsque tu dis ça, je comprends le contraire ?

- Parce que t’es barge ?

- Possible ou parce que t’as envie d’avoir mal.

- Non.

- Déshabille toi Cynthia et allonge toi les cuisses écartées, tu vas devoir me montrer à quel point t’es désolée.

- Mais Brice et Steph’ vont se demander…

- Non, ils savent bien que toi et moi on baise. Maintenant fais ce que jte dis.

Elle abdique et se déshabille puis s’allonge sur le dos.

- J’ai dis d’écarter tes cuisses.

Ses jambes s’ouvrent et me laisse regarder ses lèvres douces et charnues. Je me penche sur elle et l’embrasse, elle participe à ce baiser alors que ma main glisse sur son corps jusqu’au petit caillou qui la fait grogner. L’électricité l’a rendu si sensible que ça en devient insupportable pour elle. Avec ses mains elle tente de me stopper mais je le tiens entre mes doigts et compte pas le lâcher. Elle gémit, écarte plus les cuisses, elle ondule alors que je suis entrain de baisser mon froc pour la baiser. Je pose ma main sur sa bouche, et délaisse son caillou pour lui mettre ma bite. D’un coup sec j’ouvre ses parois de force. Elle est encore si contractée que ça me fait mal mais lorsque mon gland sent le fil de son stérilet, je donne un coup de rein sec pour m’écraser au fond d’elle. Elle crie dans ma main, tremble par notre étreinte qui doit être aussi douloureuse que ce que je sens. Chaque mouvement est difficile, pourtant je ressors d’elle et replonge pour nous faire encore plus mal.

- Ouais ca fait mal ça hein. Attends ce soir quand on ira se coucher, je vais te faire tellement mal mon amour. Tu vas regretter chaque pas que t’as fais pour t’enfuir, chaque pas va t’infliger une douleur, oh mon amour, t’es tellement chaude, mouillée, t’aimes tellement ça que je te fasse mal.

Ses cuisses sont maculées de cyprine, autant que son visage inondé par ses larmes. Je me retire d’elle une fois que j’ai craché mon sperme au fond de son corps. Je retire ma main de sa bouche et elle éclate en sanglot.

- Tu regrettes hein ?

- Oui.

- Fallait réfléchir. Tu remets ton haut, et tu mets ce short blanc.

Le short que je lui donne est moulant, dans un tissu fin blanc, qui va lui mouler sa fente.

- Je te déconseille de mouiller, ça va se voir direct. Et va savoir, je pourrais changer d’avis pour la participation de Brice. Pas sûr que ton corps puisse être en état pour nous recevoir tous les deux. Et Steph’ pourrait aussi te goder, à 3 sur toi, tu ne survivrais pas à ce week-end. D’ailleurs, peut être que c’est ce qui est prévu, te baiser jusqu’à te faire mourir et te balancer au fond de la mer.

Elle me regarde effrayée. C’est parfait, elle vient de comprendre que lorsqu’on me cherche, on me trouve. Je sens que ce week-end va être terrible.

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