Chapitre 05

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Ce matin je me lève, et comme à mon habitude je vais voir la chambre de Cynthia qui est parfaite mais il manque ma principale source de plaisir. Je vais voir la salle de bain qui n’est pas finit et j’appelle mon fournisseur pour la faïence.

- Désolé mais nous avons un peu de retard dans les livraisons.

- Vous vous foutez de moi !!! J’en ai besoin moi de ce carrelage alors bougez-vous !

Je n’aime pas me mettre en colère mais je ne ramènerai pas Cynthia tant qu’elle n’aura pas une salle de bain parfaite !!!

- Dépêchez vous de me livrer où j’annule ma commande !!!!

- On fera partir votre commande en priorité et je vous offre un carton.

- Quand serais - je livré ?

- Fin de semaine prochaine au plus tard, mais nous mettons tout en place pour vous livrer au plus vite.

- Fin de semaine prochaine ? Hors de question, vous me livrez à la fin de la semaine où j’annule ma commande !

Je raccroche et vais me défouler sur mon sac de frappe, jusqu’à sentir la sueur couler dans mon dos. Voilà dans l’état où je serais après une nuit avec Cynthia. Je repense à cette image d’elle en sueur, cambré sur son mec, coulisser sur lui en roulant des hanches pour le faire jouir. Vivement que je la retrouve dans cette position avec moi.

Fin de semaine je reçois enfin ma commande et comme j’ai mon week-end, je vais pouvoir tout terminer. Sauf que l’hôpital le Samedi m’appelle pour un remplacement d’un collègue malade. Fais chier !!!

- Aujourd’hui on va bosser ensemble. Me lance Stéphanie toute contente.

- Tu m’en vois ravi.

Elle m’envoie son plus beau sourire et je sens que la journée va être longue. Je devais finir la salle de bain de Cynthia mais au lieu de ça, je dois changer des sondes, faire des prélèvements en tout genre et supporter de voir ma collègue sexy sans la baiser dans tout les coins. Le bon coté des choses c’est qu’en réanimation, c’est calme.

- Je vais m’occuper de la salle 6, tu viens ? Me lance ma collègue

- Ouais j’arrive.

On entre et après lecture du dossier du patient, nous nous attelons à notre travail.

- Tu fais le changement de perf’ et moi la sonde ? Me demande Steph’

- Ouais si tu veux.

Ça m’arrange de ne pas foutre mes mains dans la pisse ce matin je dois bien l’avouer. On en profite pour lui faire la toilette, et je vois ma collègue retirer doucement la sonde sans gants. On sait que le patient est sain au vu de ses résultats sanguins même si ce n’est pas très professionnel. Mais lorsque ça main entoure le sexe du patient, je comprends qu’elle n’a pas l’intention de faire que son boulot. Elle descend, remonte et je la revois le branler. Elle m’envoie un sourire et je soupire.

- Quoi ? Il dort, il a bien le droit à un peu d’attention.

- C’est du viol Steph’

- Un mec ça se viole pas. Et puis on sait à quel point ça vous pèse quand vous avez les couilles pleines. Je fais mon métier pour le bien être des gens et là je crois qu’il est plutôt bien. Dit-elle en me montrant le sperme sortir du patient.

Ses yeux de biche me fixent accompagnés d’une sourire de fierté.

- Sois pas jaloux Max, toi aussi t’auras le droit au soulagement.

- T’es une salope Steph’

- Ouais et alors ?

- Tu dépasses les limites de ton métier.

- Ça fait un moment que je les dépasse. Tu vas faire quoi ? Un rapport ?

- Non mais arrête ça.

- Roooo

- Steph’ je déconne pas. Arrête ça.

- D’accord.

Bien, les choses sont claires désormais. Je suis consciencieux dans mon travail et il est hors de question que je travaille mal. Alors que je change la perfusion, elle se met derrière moi et attrape mes burnes.

- Elles sont lourdes ce matin, tu t’es pas branlé ?

- Si. Je bosse Steph’ là, enlève ta main je veux pas me foirer.

- J’ai très envie de baiser Max.

- Comme toujours.

Elle retire ses mains et me laisse finir mon soin. Elle m’a foutu une demi molle et mes pensées vont directement sur celle que je veux. Et merde, la salope elle m’a fait débrancher et maintenant j’ai envie de baiser.

- Faut qu’on refasse notre chariot. Dis-je en sortant

Elle sait ce que ça veut dire et nous allons en réserve. On n’a pas trop le temps mais comme elle n’a pas de culotte et moi je l’ai raide, ça va aller très vite. J’enfile la capote et rentre d’un coup sec en elle. J’ai pas le temps pour les préliminaires et Steph’ de toute façon en a pas envie. Elle veut que je la bourre et que j’en jouisse même si elle, elle n’a pas d’orgasme. C’est pour ça que les mecs de l’hôpital aiment baiser avec elle, elle nous impose pas sa jouissance, comme elle le dit, elle n’a pas besoin de nous pour ça. Par contre elle a besoin de nous pour se faire baiser comme une salope. Elle aime passer entre toutes les mains et je suis sa petite préférence. Il faut que j’en profite avant d’avoir Cynthia car il est hors de question que je la trompe.

Ma matinée se termine enfin et je vais pouvoir rentrer chez moi faire ma salle de bain. Je descends au parking de l’hôpital lorsque j’entends la voix d’un mec et les gémissements d’une femme.

- T’aimes ça sale chienne que j’te baise hein.

Steph’ est allongée sur le capot d’un médecin, la blouse complètement ouverte pendant que le doc lui bouffe ses seins. Le mec est proche de la retraite alors qu’elle à moins de 30 ans. Cette fille n’a aucune exigence et pourrait se taper un SDF aux dents sales.

Je retourne à ma voiture et file chez Cynthia. Il fait jour donc je dois me montrer prudent mais y a peu de passage dans cette rue. La fenêtre est ouverte et je me demande ce qu’elle peut bien faire un samedi aprem. Je tente de regarder mais je ne la vois pas, est-elle sortie ? La fenêtre ouverte ? Non elle est pas inconsciente comme fille. Je regarde autour de moi et me faufile à travers la fenêtre et respire l’odeur de sa maison.

- Non ce soir je dois encore corriger mes cours.

Sa voix est…angélique.

- Je peux pas, j’ai tout mon programme à faire pour l’année pro, allez-y sans moi.

Je m’avance à pas de chat et la vois dans sa cuisine, avec un mug à la main.

- Non rien à voir, je ne vis pas avec lui non plus hein. Tout va bien, juste que j’ai du travail.

Elle est craquante, j’adore la voir dans ce petit short et ce débardeur. Ses tétons pointent sous le tissu et j’ai mon sexe qui se dresse.

- Je dois aller à la douche, jte laisse. Bisous.

Je me colle dans un coin et regarde discrètement ses habits arriver dans le panier à linge. Elle file sous la douche et la buée envahie la pièce. Je ne peux pas entrer car elle me verrait mais le miroir me permet de la voir se savonner. Bientôt ça sera mes mains qui glisseront sur son corps. Elle ne fait pas que de se nettoyer si j’en crois ses doux gémissements. Je ne peux pas m’en empêcher, et ma main plonge dans mon caleçon. Mon sexe est douloureux car il la réclame mais il doit encore patienter. Elle se cambre dans sa douche, et je vois son corps trembler lorsque mon sperme coule dans mes vêtements. Je me mords la lèvre pour pas gémir mais un son sort de ma bouche et la fait sursauter. Et merde.

- Gab c’est toi ?...Gabriel c’est toi ?

Je vois qu’elle prend sa serviette et l’entoure autour de son corps. Je me dépêche et sors par là où je suis rentré. Sa voix inquiète m’a fait rebander et c’est dans ma voiture que je finis par me soulager. Faut que je finisse cette salle de bain au plus vite, j’ai plus le choix, Cynthia doit être à moi.

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