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Nous étions invitées à un banquet à l’Élysée. Nous fîmes connaissance auprès des ministres.

Nous les interrogions sur l’avenir du monde, les guerres présentes et à venir.

« Nous vivons une époque de brutal changements ! »

« Nous courons à notre perte. » D’un ton confirmé Anna.

Mais certains gardèrent espoir, et pensaient préservés l’humanité mais l’avenir est imprévisible …

« Pourquoi devons-nous tué des espèces innocentes pour manger ces viandes ? Et la pèche ? »

« Car nous devons satisfaire les clients. » Releva un cuisinier de l’institution.

« Vous pensez que la chasse et la pèche font parties du bonheur du peuple ? »

« écoutez, nous sommes bien obligé de nourrir une populace ! » s’emporta un ministre.

« Avec les pesticides, vous détruisez la santé de cette population ! »

« Toute acte a ses conséquences. » Dit Anna douteuse.

« Nous le savons … vous vous en doutez ? »

Les ministres discutèrent avec un profond respect.

Fannia se sentit mal à l’aise.

« Nous tuons notre propre espèce à se nourrir de tout et n’importe quoi , à faire n’importe quoi sur cette dite démocratie ! » Ajouta Fannia.

« On ne voit que l’extérieur des politiques, on ne voit pas l’intérieur, ce sont des apparences ! On le sait comment les gouvernants manipulent la populace. »

On arriva au fromages, de toutes les régions.

« On maltraite et abat des animaux innocents ! » Insista Anna.

« De telles pratiques doivent être considérés comme illégales et punie par la loi. »

« Malheureusement, le monde pense à sa propre philosophie et des gens volent sur le dos des autres depuis quelque époques ... » Dit tristement Anna.

« Comment peut-on transmettre des messages sans pollué la planète ? Le bouche à oreille ? »

« La technologie nous détruit madame ! Mais notre confort permet de bien vivre en contrepartie ... »

« Et oui, on adhère a des valeurs morales immorales dans son corps ! Détruire pour mieux vivre, c’est cela ? »

« On doit rire en ces temps difficiles. » Ajouta un ministre.

« Le progrès est immoral ! » Dit Fannia

« Peut-on rire de la mort pour se consoler ? »

On passa au dessert, c’était de bonnes mignardises.

« J’espère que vous avez aimé le repas ? »

« Oui, merci de votre accueil, il y a tant de débats qu’on voulait débattre.Changeons le monde ensemble, rêvons d’une vie meilleure ... »

« On fait ceux qu’on peut mesdames ! »

« ça demande des efforts communs de toute la populace. »

« Bon courage. » Dit Fannia impressionnée par ces hommes politiques imposants.

« Vous aussi, chaque parcours et vécu d’un être est différent … Ensemble nous serons plus forts et puissants. » Esquissa un sourire rayonnant le chef du gouvernement.

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