Chapitre 8

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Ils s’excusent alors tous les deux, expliquant qu’ils s’en veulent d’avoir provoqué une dispute entre nous. PJ demande si nous voulons qu’il nous appelle un taxi pour rentrer. Je lui explique alors que nous avons décidé de rester. Mais que pour le moment nous allons rester un petit peu entre nous. Cynthia s’adresse alors à Chloé :

-C’est surtout auprès de toi que je veux m’excuser, de ma part il n’y avait aucune malice. J’ai joué avec Thomas comme j‘aime le faire avec tous les hommes. Mais je me rends compte que j’ai été trop loin. Je t’apprécie et ne voudrai pas gâcher l’entame d’une belle amitié par mon comportement.

Pierre Jean ajoute alors :

-Je veux à nouveau m’excuser moi aussi. Je me rends compte que j’ai moi aussi été trop loin. Pour me défendre, je ne peux dire que cela, j’ai été ensorcelé par ta beauté et n’ai pas su me maîtriser. Mais sachez tous les deux que pour me punir de mon comportement, j’ai décidé que ce soir je laisse Cynthia faire ce qu’elle a envie comme à son habitude, mais que pour ma part exceptionnellement, j’adopterai le rôle de Candaule, ce qui n’est pas dans mes habitudes.

Ne sachant pas vraiment de quoi il veut nous parler, nous le regardons interloqué. Il précise alors.

-Pour le dire clairement, je me contenterai de regarder. J’ai un baiser à me faire pardonner. Mais s’il vous plait j’ai commandé des cocktails pour m’excuser, venez les déguster avec nous, ensuite nous vous laisserons roucouler tranquillement.

Je regarde ma chérie dans les yeux, d’un signe de tête, elle m’exprime son accord. Nous retournons donc nous asseoir et buvons les cocktails commandés. Ceux-ci sont très sucrés et se boivent comme du petit lait. Mais je me rends rapidement compte que leur teneur en alcool doit être importante. C’est pourquoi je décide de passer mon tour quand Julien propose de payer la tournée suivante, je suis suivi par Cynthia, par contre les quatre autres se resservent de bon cœur. Je vois à son comportement que ma chérie commence à être bien éméchée. En ce qui concerne les trois hommes, ils semblent mieux tenir l’alcool. Il faut dire que leur taille comparée à celle de ma puce, fait qu’il y a plus de viandes (et surtout du muscle) pour éponger.

Une fois toutes les consos finies, Cynthia se lève et dit qu’elle a envie de profiter du jacuzzi. Immédiatement les trois gars disent que ça les branche. Mais à ma grande surprise, Chloé manifeste aussi son enthousiasme, déclarant que cela va lui faire du bien de se rafraichir. N’ayant plus vraiment le choix, je me joins au groupe. Je dois dire que je me sens tiraillé entre l’envie de pouvoir admirer ce que Cynthia m’a déjà permis de toucher et l’agacement à l’idée que tout le monde puisse en faire de même avec Chloé.

Sur le chemin Pierre-Jean s’arrête au bar et demande qu’une nouvelle tournée de cocktail soit amené d’ici 10 minutes au jacuzzi. Nous passons une première porte et arrivons dans un vestibule chauffé par un poêle à granulés. Devant nous une porte indique des vestiaires. Une porte à droite se dirige vers l’aile des « chambres ». La porte de gauche va elle vers la partie piscine jacuzzi. Nos amis habitués des lieux se dirigent tout de suite vers les vestiaires, nous les suivons. En passant la porte, je m’aperçois que contrairement à la piscine municipale, il n’y a pas de boxs séparés. C’est au contraire une grande pièce recouverte de carrelage du sol au plafond. Il y fait bon malgré tout, la pièce doit être chauffée au moyen du poêle situé dans la pièce précédente. En tout cas il s’agit de vestiaire mixte. Un certain nombre de casiers sont à disposition pour y déposer nos habits, ainsi que des peignoirs similaires à ceux que l’on peut trouver dans les instituts de beauté, c’est-à-dire très grands.

Sans hésitation nos comparses commencent à se déshabiller, Chloé marque un temps d’hésitation, puis elle se retourne vers moi et sensuellement me demande :

-Mon chéri tu voudrais bien m’aider à me déshabiller. Je ne voudrai pas abimer ma nouvelle robe.

Je me colle donc à son dos et délicatement écarte le haut de sa robe le long de ses épaules, et la déroule le long de ses bras, dévoilant au reste du monde sa sublime poitrine. Puis toujours doucement, je la fais glisser le long de son corps en m’accroupissant. J’en profite au passage pour lui prodiguer des baisers le long de sa colonne vertébrale et une fois arrivé à la bonne hauteur je lui mordille deux trois fois les fesses, provoquant un petit cri de surprise de sa part. Une fois la robe en bas, elle passe ses pieds par-dessus et se retourne vers moi mettant son charmant minou au niveau de mes yeux. Puis elle me fait relever la tête vers elle en m’attrapant le menton et me dit :

-Merci pour votre aide, vous pouvez maintenant vous relever mon chevalier servant.

Elle éclate ensuite de rire, et m’embrasse tendrement pendant que je me relève. Elle que je pensais si pudique ne semble pas du tout gêné par le fait d’exposer sa nudité. Lorsqu’elle finit par s’écarter, je peux voir que nos quatre compagnons n’ont rien perdu du spectacle, y compris Cynthia qui est-elle aussi déjà nue. Elle se retourne alors vers P-J et lui dit :

-Tu vois ça c’est ce que j’appelle être un gentleman, tu devrais prendre exemple sur lui.

-Non je ne voudrai pas te priver du plaisir de voir l’excitation monter dans mes yeux pendant que tu te déshabilles. Tu sais bien que j’adore te voir me faire un strip-tease.

Pendant que Chloé range sa robe et passe son peignoir, je commence moi-même à me dévêtir. D’une manière sûrement moins sensuelle que ma jolie métisse. Au passage j’en profite pour jeter de subreptice coup d’œil à la belle franco-asiatique. Son corps s’il est un peu plus longiligne et légèrement moins plantureux que celui de ma fiancée, n’en est pas moins tout aussi sublime. Ses seins sont fermes et légèrement en poires avec les tétons qui remontent vers le haut. Ils sont d’ailleurs plutôt proéminents avec une aréole peu étendue autour d’eux. Elle a des fesses bien que menues sont loin d’être plates. Enfin je peux voir son sexe totalement épilé, révélant des lèvres finement découpées le long de sa vulve.

A un moment nos regards se croisent, je m’aperçois qu’elle semble aussi me détailler. Elle m’adresse un grand sourire, semblant aussi apprécier ce qu’elle voit. Un peu gêné je commence à détourner le regard et en profite alors pour faire ce que tout homme qui se trouve dans un vestiaire avec d’autres est quasiment obligé de faire, je me compare à eux.


Je peux voir que tous les trois sont plutôt musclés. Même si Damien et Julien âge oblige ont la ceinture abdominale qui s’est un peu détendue, on voit qu’ils prennent soin de leur corps et l’entretiennent pour rester en forme. En ce qui concerne Pierre-Jean, je suis impressionné par sa carrure que je ne pensais pas si importante quand je le pensais en costume. Il doit certainement pousser de la fonte, même s’il n’a pas le look d’un bodybuilder. Pour ma part, bien que musclé, je suis plus sec que lui.

Enfin de la manière la plus furtive possible, je ne peux m’empêcher de regarder leur pénis. Ils sont tous les trois au repos. Je n’ai jusqu’ici jamais vraiment attaché d’importance aux histoires de tailles. Sachant bien que de toute façon pour la grande majorité de la population féminine, avoir un sexe largement au-dessus des normes sera plutôt un handicap. Je sais que le mien est dans la moyenne de la population en terme de longueur, comme de grosseur. Je peux voir qu’il en est de même pour Julien et Pierre-Jean, même si celui-ci doit avoir un chibre un peu plus long que le mien. Par contre Damien a un véritable bras de bébé qui lui pend entre les cuisses. Le plus gros que je n’ai jamais vu en vrai. En me tournant vers Chloé, je m’aperçois qu’elle aussi le regarde. Elle se dirige alors vers moi et me chuchote à l’oreille :

-Je plains celles qui ont été pénétrées par ce monstre, elles ont dû le sentir passer.

-Tu m’étonnes, je sais bien que c’est élastique à cet endroit de votre corps, mais quand même.

Je l’embrasse alors tendrement tout en enfilant mon peignoir. Une fois tout le monde prêt nous retournons dans le vestibule pour nous diriger vers la partie piscine.

Nous rentrons alors dans une pièce recouverte de mosaïques, je reconnais des scènes paillardes retrouvées sur les murs des bordels de Pompeï. Certaines semblent avoir été faites par un artiste contemporain révélant des bacchanales de sexe de groupe. Au centre de la pièce se trouve un petit bassin d’approximativement 8m sur 4 où se trouvent déjà un groupe de plusieurs hommes et trois femmes d’une cinquantaine d’années. Sur le côté se trouve un jacuzzi relativement large vers lequel se dirige immédiatement nos amis. Il est pour l’instant libre.

Nous quittons tous très vite nos peignoirs et nous installons de part et d’autres de l’eau bouillonnante. Cynthia se retrouve entourée par Damien et Julien. Pierre Jean s’installe en face, Chloé se pose à côté de lui et je m’assois à la gauche d’elle. Mes yeux s’égarent sur la poitrine de Cynthia en face de moi qui est la seule partie de son corps que je peux voir avec les bulles qui agitent la surface de l’eau. Ces seins semblent appeler les caresses, ses tétons sont érigés défiant la gravité. D’ailleurs très vite Damien commence à les caresser le plus naturellement du monde sans que ni la jolie brune, ni son fiancé ne manifeste la moindre émotion.

A ce moment-là j’entends un cri de plaisir qui provient du bassin voisin. Je me retourne vers lui et m’aperçois qu’une des femmes est assise sur le rebord la tête d’un homme entre ses cuisses, deux autres sont debout à côté d’elle, elle alterne les fellations sur leurs pénis. Les deux autres femmes sont collées l’une à l’autre dans l’eau en train de s’embrasser, chacune semblant être besognée par l’homme qui se trouve derrière elles. Le reste des participants faisant cercle autour de ce quatuor.

Chloé me chuchote alors à l’oreille :

-On a beau s’y attendre cela fait quand même bizarre d’y assister non ?

-Oui tu as raison. Bon, tant que c’est fait entre adultes consentants, ils ne font pas de mal. Mais je dois dire que j’aurai du mal à pouvoir te partager avec d’autres hommes même pour quelques minutes. C’est sans doute mon éducation judéo-chrétienne qui parle, mais c’est comme ça.

-Rassures-toi c’est pareil pour moi, je veux bien que tu regardes les autres femmes, mais pas plus.

Nous nous embrassons alors tendrement, je laisse mes mains s’égarer sur la peau soyeuse de ses seins. Les siennes caressent mon torse. L’une d’elle descend plus bas et vient enserrer mon phallus érigé par l’excitation. Elle remonte le long de ma hampe et vient appuyer du bout des doigts sur mon gland tumescent, provoquant de mini décharges de plaisir à chaque fois qu’elle rentre en contact avec lui. Je fais glisser ma main le long de son corps pour atteindre l’intérieur de ses cuisses. Je la fais passer sur ses lèvres intimes qui s’ouvrent presque immédiatement sous l’effet de ma caresse révélant son état d’excitation. Je commence alors du bout des doigts à pincer son clitoris, provoquant des petits tremblements de ma partenaire.

Elle change alors de main passant de la droite à la gauche, afin de mieux la resserrer sur sa prise et commence des mouvements de pistons le long celle-ci accélérant le mouvement au rythme des caresses que je lui prodigue. A ce moment-là, plus rien n’existe en dehors de notre bulle intime. Ce sont les mouvements que je sens dans mon dos qui me sortent de cette transe hypnotique.

Je me retourne et m’aperçois que toute la petite troupe voisine est en train de quitter le bassin voisin. Au passage la plupart des hommes en profitent pour mater nos compagnes, tout en nous souhaitant une bonne soirée. L’un d’entre eux ajoutant même d’un sourire gourmand :

-Peut-être à plus tard.

Cynthia lui répond alors dans un gémissement :

-Oui peut-être qui sait de quoi demain sera fait.

Je m’intéresse alors à nouveau à nos compagnons de jacuzzis qui ne sont pas restés inactifs. La jolie asiatique est maintenant caressée par ses deux voisins. Ils ont chacun empaumé un de ses seins, Julien a en plus fait disparaître son mamelon dans sa bouche. Damien de son côté lui dévore les lèvres. Cynthia de son côté n’est pas passive non plus. Les mouvements de ses épaules indiquent que ses mains doivent sûrement branler les deux hommes simultanément. Je me retourne vers Pierre-Jean, le spectacle lui plait manifestement puisqu’il se masturbe sur un rythme relativement lent. Son regard croise le mien. Il me dit alors en les désignant :

-C’est beau non.

La question n’appelant pas vraiment d’autres réponses je me contente d’opiner positivement. C’est le moment que choisit Cynthia pour sortir brusquement du jacuzzi. Elle enfile prestement son peignoir et s’adresse au groupe :

-Je ne sais pas vous, mais moi pour la suite j’ai bien envie d’aller profiter des chambres.
Et d’un sourire mutin elle ajoute :

-Qui m’aime me suive.

Aussitôt les trois hommes s’extirpent du bain à remous. Dévoilant à nos yeux ébahis leurs impressionnantes érections. En ce qui concerne Damien elle a une taille et grosseur hors norme, mais à ma surprise Pierre-Jean une fois son phallus érigé n’a presque rien à lui envier. Julien a lui des proportions plus dans la norme en ce qui concerne la longueur, mais c’est compensé par la largeur de son gland. Je ne me considère pas comme mal loti de ce point-de-vue là, mais je suis dépassé par eux. Je peux voir que Chloé pose elle-même un regard fasciné sur les trois pénis tumescents qui se révèlent à nos yeux ébahis. Mais elle se retourne prestement vers moi et me murmure :

-Ça te dérange si nous restons un peu tous les deux, j’ai envie de profiter encore un peu du jacuzzi avec toi.

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