Chapitre 12 (Personne ne peut te blesser maintenant) Partie 5

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-Je n'ai aucune honte, rajouta-t-il. Je n'ai pas peur des préjugés que les gens aurons envers nous. Je préfère seulement que ma famille ait le moins d'information sur toi. Je vis cela avec toi et je ne les entraînerai pas dans nos histoires. 

C'était probablement mieux de cette manière, si c'était ce que Nick souhaitait. 

Je jetai un coup d'œil en direction de la fenêtre, là où le second couple était assis, et je vis qu'il commençait à faire nuit à l'extérieur. Je crois que c'était le temps de partir, si nous voulions avoir la chance d'aller visiter la demeure. Je ne savais néanmoins pas les heures de visite là-bas. Nick ne m'avait rien dire et je ne m'étais pas informer là-dessus. 

Notre serveur revenu nous voir après quelques minutes pour nous proposer du dessert.

-Alors, vous désirez prendre un dessert ou un café? 

-Non merci, nous allons prendre l'addition, lui répondit Nick, quasiment comme s'il avait deviné dans mon regard qu'il était temps pour nous d'y aller. 

Désormais que notre repas au restaurant était terminé, que Nick avait tout payé, (bien assurément, je n'étais pas d'accord), et nous avions quittés les lieux en direction de la maison de Johnny Cash. 

C'était fou parfois ce que le destin pouvait nous réserver. Pourquoi je disais ça? Parce que Nick et moi n'avions aucune idée de ce qui allait se produire une fois-là, dans cette maison. Quelque chose que personne n'aurait pu prophétiser. 

Nous ne nous étions pas arrêtés à notre hôtel. Nous nous sommes rendus directement au lieu de visite sans faire d'arrêt nulle part. De toute façon, ce n'était pas nécessaire. 

C'était l'instant que j'avais attendu avec impatience depuis que mes parents avaient acceptés de me laisser partir là-bas. Il était enfin arrivé, ce moment. Le temps passait à une vitesse hallucinante. Oui, il me semble qu'il y a deux jours, je me retrouvais sur des bancs d'école, et aujourd'hui j'étais à Dyess, à 9 heures de route de mon monde familier. 

La nuit était sur le point de se montrer, mais il restait toujours une lueur dans le ciel, là où le soleil se couchait, commençant par le bleu pâle et allant jusqu'au bleu marin, comme dans le plus profond d'un océan. Je m'imaginais ce paysage sur une toile. ça serait ravissant. C'était étonnant à quel point je pouvais me faire des images dans ma tête quand je voyais un simple dégradé dans le ciel. Le fait que nous étions sur des longues routes entourés de champs, on aurait dit que nous étions seuls au monde, comme si Nick et moi étions les derniers être humain sur cette terre. Je sentais que nous nous approchions de l'endroit en question. 

Était-ce une fois là-bas que nous aurions les instructions à propos des visites de la maison? Je trouvais cependant qu'il était un peu tard pour faire des visites, et étrangement, je ne m'en étais pas rendu compte, jusqu'à ce que je contemple le ciel. Je trouvais ça bizarre. De plus, Nick ne m'avait rien mentionné à propos des visites. J'ignorais tout du de leur fonctionnement là-bas. 

-Il y a des visites à cette heure-là? Lui demandais-je, alors que c'était le silence complet depuis un moment. 

À la sortie du restaurant, nous avions parlés un peu et je l'avais remercié de m'avoir emmené dans un si somptueux restaurant. Pourtant, depuis que nous étions entrés sur cette route, presque abandonné, nous nous étions tus tous les deux. 

-Non, me répondit-il, comme si c'était tout à fait normal. 

-Alors pourquoi on se rend là-bas dans ce cas s'il n'y a plus aucune visite? 

-Rien ne nous empêche de pouvoir la voir de l'extérieur. 

ça ne m'ennuyait pas, tant  que je pouvais y voir une maison avec un historique surprenant, ça faisait mon affaire. 

Au loin, entre le bleu marin et la terre, parmi le bleu pâle du ciel, j'y aperçu une silhouette de maison à l'allure d'une demeure de campagne. ça devait être elle. 

Cette route était sinueuse et je me croyais dans un film d'horreur. Le fait qu'il n'y ait personne sur ce chemin en ligne droite et que nous nous approchions d'une maison techniquement inhabité, ça donnait un peu ce type d'atmosphère. 

Nick arrêta le moteur une fois juste en-face de la maison, là où une clôture entourait le grand terrain de la maison. Le terrain de cette demeure était vaste, encore plus grand que ma cour qui était déjà très grande. 

J'ignorais si la maison avait été rénovée afin d'être plus potable pour les visites. Je ne la distinguais pas très bien dans la noirceur, seulement, je pouvais voir qu'elle avait une fastueuse silhouette de maison de campagne. 

Je ne sais pas pourquoi, mais je trouvais que c'était l'endroit parfait pour y élever une famille. Étant dans un endroit reculé, j'imaginais la tranquillité de ce coin de l'Arkansas. Les enfants y auraient un abondant terrain pour s'amuser autant qu'il le voudrait. Du moins, pour mes enfants, ce serait la maison rêvé que j'aurais voulu avoir pour les élever. Purement, je n'étais pas rendu à ce point dans ma vie. J'étais encore beaucoup trop jeune pour ça. 

J'avais les yeux rivé sur la maison, n'ayant même pas marqué que nous étions arrêtés. Nick avait dû me ramener sur terre, parce que je crois que je serais resté figé comme cela durant un bon bout de temps encore. 

-Tu peux sortir si tu veux, me dit-il, voyant que je ne réagissais pas. 

Je me retournai vers lui. 

-Tu es certain que... que ce n'est pas... 

-Non, tu n'as aucune crainte à avoir. Vas-y. 

Comme d'habitude, je faisais confiance à Nick. J'ouvris ma portière et je posai l'un de mes pieds sur le sol. Une énergie différente s'était installée, comme si je pouvais y ressentir le vécu de cet endroit. En posant mon autre pied sur le sol, je me sentais différente. Dire que Johnny Cash avait déjà vécu ici durant son enfance. Il avait peut-être déjà marché là où j'étais. C'était quelque chose de spécial à ressentir quand on se rend sur des lieux importants, avec du vécu, tout comme cette maison. J'avais de la chance d'être ici, et tout ça grâce à Nick. Il n'y aura jamais de bon mot pour le remercier de tout ce qu'il faisait pour moi, mais surtout parce que j'avais la chance de voir quelque chose qui marquera mon adolescence. 

Je me levai du siège et je sortie de la voiture pour y admirer la maison d'une meilleure vue. L'aire s'était refroidit à l'extérieur et je ne portais qu'un t-shirt à manche courte. J'avais des frissons qui me parcouraient le corps en entier, en outre, j'étais trop émerveillé pour y porter attention. 

Nick quitta la voiture lui aussi pour venir me rejoindre. 

Une fois près de la clôture qui entourait cette somptueuse maison, je n'osais pas la toucher. Nick arriva à côté de moi et il posa ses deux mains sur la clôture, sans aucune hésitation. Je fis comme lui, alors. La clôture était si froide. 

C'était une expérience magique que nous vivions. 

Je tournai la tête vers Nick tandis qu'il regardait la maison, tout droit devant nous. Sans lui, je ne serais sans doute jamais venu ici. Je n'aurais pas eu l'occasion de pouvoir voir cette maison de mes propres yeux. Je n'aurais pas pu découvrir ce monde dans lequel il m'avait emmené, très loin de chez moi. 

-Pourquoi m'as-tu emmené ici? Lui demandais-je. Pourquoi est-ce que moi j'ai eu ce privilège.

Est-ce qu'il avait déjà fait ce genre de sortie avec ses autres copines? 

-Parce que je t'aime, c'est tout. Parce que je suis fou de toi et que tu mérites de voir des choses que d'autre gens n'aurons probablement pas la chance de pouvoir voir dans leur vie. Parce que tu es une personne exceptionnelle. 

-Arrête, tu vas finir par me faire pleurer, lui dis-je, en me retournant en direction de la maison. 

Un petit silence s'installa, juste avant que Nick me propose quelque de dingue. Quelque chose de vraiment absurde. 

-Tu voudrais qu'on se rapproche? 

-Quoi? 

-De la maison. 

-Attend, tu veux qu'on... se rende sur le terrain, c'est ça? 

Je compris que Nick était très sérieux quand je vis qu'il retira le loquet pour ouvrir la clôture. 

J'espérais qu'il rigolait. 

-Qu'est-ce que tu fais?! Lui dis-je, le stoppant dans son élan. 

Un très mauvais élan d'ailleurs. 

-ça va, on ne se fera pas prendre. Restons discret et tout ira bien. 

Pourquoi il en était aussi sûr? Nous étions sur le point de commettre une infraction. Je sais, j'avais déjà fait ça avant, alors pourquoi ça me dérangeant tant? Si j'avais eu la force de le faire une fois, j'aurai bien les trips de le faire une seconde fois. Ce n'était, bien entendu, pas pour les même raisons que nous le faisions. Ce n'était pas une question de vengeance, comme ça l'avait été la première fois. 

La clôture était à présent ouverte, nous donnant accès au terrain. Devant moi, il y avait un petit chemin qui traversait le terrain jusqu'à l'escalier devant la maison. Nick entra sur la propriété le premier. Il avait les pieds sur la pelouse! 

-Aller vient, je te promets qu'on ne se fera pas prendre.

Ah, parce qu'il l'avait déjà fait avant? Comment pouvait-il être aussi certain que personne ne serait au courant de cette infraction? 

Mais j'étais jeune et faire des trucs de insensé, ça avait fait partit de mes erreurs de jeunesse. Or, je vous rassure que ce soir-là, Nick et moi l'avions échappé bel. Il fallait croire que nous avions eu de la chance uniquement, peut-être encore un signe du destin. 

Nick me tendit la main pour que je puisse le suivre. J'hésitai durant de longues secondes avant de saisir sa main. Finalement, j'avais finis par le faire. J'avais les pieds sur la pelouse de la maison d'enfance de Johnny Cash. Si mes parents avaient su ce que j'avais fait, un acte qu'ils ignorent toujours à ce jour, je crois qu'ils m'auraient étripés. J'aurais été privé de sortie jusqu'à la fin de mes jours. 

Seulement, c'était de nouveau plus fou ce que nous nous apprêtions à faire. 

Nous avions traversés le terrain en entier, main dans la main, pour se retrouver sur le côté de la maison. Je ne pouvais pas croire ce que j'étais en train de faire. Non seulement nous étions entrés sans permission, mais de plus, c'était un lieu historique, la fameuse maison où Johnny Cash y avait déjà vécu. Encore aujourd'hui, cet acte, je ne me souviendrais jamais comment avais-je pu avoir le courage de faire cela avec Nick? J'étais la fille sage, moi. Personne n'aurait pu penser un jour que je sois capable de faire une telle chose. Nick m'influençait énormément je crois. Du moins, malgré ça, je ne regretterai jamais ce geste hors la loi. Vous comprendrez pourquoi. 

-Nick, qu'est-ce que tu fabriques?! Lui demandais-je à voix basse, alors qu'il avait lâché ma main une fois arrivée sur le côté de la maison.  

Le soleil avait à présent complètement disparu du ciel, laissant place à la noirceur. 

J'entendais du bruit à ma gauche, pourtant, j'ignorais totalement ce que Nick essayait de faire. 

-Nick, tu sais que ce n'est pas une très bonne idée ce que nous sommes en train de faire. 

-Je sais. Suis-moi. 

Je sentis à nouveau sa main prendre la mienne. ça me rassura. 

-Où est-ce qu'on va? 

Nick ne répliqua rien puis il m'entraîna avec lui. Il finit par allumer la lumière de son téléphone et je pus enfin constater où nous étions. La fenêtre sur le côté de la maison était ouverte. 

-Je crois qu'ils ont oubliés cette fenêtre, lui fis-je remarquer. 

-En réalité ce ne sont pas vraiment eux. Elle était mal clanché, donc j'ai pu facilement l'ouvrir.

-Tu veux qu'on entre?! 

-C'est à peu près ça. 

Alors là, c'était l'idée la plus désaxé que quelqu'un ne m'avait jamais encore proposé. On aurait dit que Nick avait tout prévu avant de venir ici. ça n'avait pas non plus été l'idée du siècle d'entrer par infraction chez mon ex petit copain. Et pourquoi je comparais ces deux événements qui ne sont pas arrivée pour les mêmes raisons? 

-Tu es complètement cinglé?! 

-Je sais. Vient, je vais t'aider. 

Je m'approchai de la fenêtre et Nick m'apporta un peu d'aide pour que je puisse entrer à l'intérieur. Mes pieds ont atterrit directement dans le lavabo, après être monté sur le rebord de la fenêtre. Je savais dans ce cas que nous nous trouvions dans la cuisine. Je penchai la tête et j'entrai officiellement dans le domaine. Je sautai du comptoir puis mes deux pieds se retrouvèrent sur un plancher vraiment craquant, en bois.  

Pendant que Nick entra à son tour par la fenêtre, le téléphone portable à la main, j'observai du regard la pièce dans laquelle je m'étais retrouvé. 

Je sais, nous étions capitalement déments d'avoir fait ça. 

Les murs, les plafonds, les portes d'armoire étaient en bois. Il y avait des objets disposés sur trois étagères de chaque côté de la fenêtre, comme si quelqu'un y habitait toujours. Peut-être y avait-il un propriétaire ici, ça serait fort probable. C'était peut-être aussi seulement pour la beauté pour les visites. En tout cas, le propriétaire devait s'être absenté. 

Une fois que Nick fût à son tour entrée dans la demeure, il éclaira un peu mieux la pièce grâce à la lumière de son téléphone portable. Pour lors qu'il jeta un coup d'œil derrière lui, en direction de la fenêtre, sûrement pour voir si nous n'étions pas suivit, il n'avait pas eu le temps de constater qu'il y avait une petite table dans la cuisine. Je le voyais venir, au surplus, je croyais qu'il s'en était rendu compte, donc je ne l'es pas averti d'avance. Il est arrivé ce que vous croyez. Il a effectivement foncé sur cette table. Je ne pus m'empêcher d'éclater de rire en voyant ce qui venait d'arriver. Heureusement il ne s'était pas blessé, sinon je n'aurais pas éclaté de rire comme je l'avais fait. 

 

-ça va? Lui demandais-je, en riant. 

-Oui, merci beaucoup. Tu te moque de moi? 

-Juste un peu. 

J'étais moi aussi une personne très maladroite dans la vie, et ce genre de petit incident me faisait rire, me faisant penser à moi. 

Je réalisais ce que nous étions en train de faire. Nous venions de commettre une infraction, et pas dans n'importe quel endroit.  Nous avions commis une infraction de la maison d'enfance de Johnny Cash. Nous étions fous. 

-Nick, tu sais que tu es cinglé?

-Tu l'es autant que moi dans ce cas. 

-Disons que je n'avais pas trop le choix. 

-Si, tu avais le choix. 

-Oh,  j'avais le choix de te suivre ou de t'attendre patiemment dans la voiture. Ce n'était pas des superbes choix que tu m'as imposé. 

-Et tu as pris la meilleure décision. 

Nous aurions pu attendre à demain pour visiter, tout simplement. Nous n'avions eu aucune obligation d'entrer par infraction. Pourtant, je ne crois jamais qu'un jour pouvoir regretter cette infraction, comme je l'ai déjà mentionné. Et pourquoi je regretterai, avec ce qui s'est passé par la suite? 

Tandis que le silence commença à durer entre nous deux depuis une longue minute, je brisai ce silence, légèrement malaisé. 

-Alors, tu me fais visiter un peu? Tu es déjà venu ici durant ton secondaire, alors c'est à moi de voir et à ton tour de me montrer. 

Nick déposa son portable sur la petite table de cuisine et il s'approcha de moi, près de l'entrée de la cuisine. Je le sentais différent, comme s'il avait changé d'une seconde à l'autre. Sans rien me dire, il passa doucement ses doigts sur l'une de mes épaules, venant me donner des frissons. C'était comme tout à l'heure dans notre chambre d'hôtel, je n'aurais su comment contrôler cette sensation d'excitation en moi. Néanmoins, je savais que cette fois-ci, je ne pourrais pas résister. Je savais que le moment était venu. Ma respiration s'accélérait doucement, et je ne m'en rendais même pas compte. 

Je ne pus dire quoi que ce soit qu'il sauta à mes lèvres. Cette fois je ne voulais pas me retenir. Je voulais le toucher. Pendant qu'il descendit ses mains sur mes hanches, je passai mes mains dans son dos. Cette chose que j'avais tant rêvée de faire et que je pouvais faire enfin en toute liberté. Il était mon copain, rien ne m'empêchait de pouvoir avoir des contacts avec son corps. 

Ses lèvres descendirent rapidement dans mon cou, ce qui me fit soupirer. 

Il s'arrêta. 

-Je veux être certain que tu n'oublieras rien ici. 

-Comment je pourrais oublier? 

Nick prit ma main puis nous quittâmes la pièce. Nous nous sommes rendus dans l'une des chambres de la maison. 

Une fois dans la pièce, je me retournai vers Nick. Seule la lumière de son téléphone illuminait la pièce. Nous ne voulions pas allumer les lumières dans la maison, voulant éviter de se faire voir. Je n'avais pas pris le temps d'observer la chambre. J'avais autre chose en tête. Je voyais que les murs et les plafonds étaient en bois aussi dans cette pièce, en outre, c'était la seule chose que j'avais vu. 

Nous reprîmes notre baiser et Nick me fit reculer jusqu'à ce que nous soyons près du lit. Quand je m'allongeai sur celui-ci, les couvertures étaient froides. Personne ne dormait dans ce lit depuis très longtemps, du moins, si personne n'habitait ici, ce que nous n'étions pas sûr.  

À l'instant où il s'apprêta à détacher mon jean, il s'arrêta de nouveau. 

-Comment te sens-tu? 

-Très bien. Mais un peu nerveuse.

-Tu le sais que je ne te forcerai pas? 

-Je sais. 

Oui, j'étais peut-être nerveuse, c'était certain, mais je savais que c'était le bon moment. Peut-être pas le bon endroit, mais le bon moment, ça je le ressentais. 

Il détacha mon jean puis il le retira, ensuite je me redressai et retira mon t-shirt, les jetant ensuite sur le sol, me retrouvant uniquement en sous-vêtement. Il se remit à m'embrasser alors que sa main descendait tranquillement jusqu'au bas de mon ventre. Je me sentais de plus en plus inquiète. Est-ce que ça allait bien se passer? Qu'est-ce que ça allait faire? Je ne pouvais pas l'arrêter maintenant, pas parce que nous étions dans notre élan, toutefois parce que je ne voulais pas. C'était normal d'avoir peur. Il y avait un début à tout. 

Je me redressai et il abandonna mon ventre pour glisser ses mains dans mon dos pour pouvoir détacher mon soutien-gorge. Il le jeta par la suite sur le sol, parmi le reste de mes vêtements. Il recommença à m'embrasser et il descendit jusque dans mon cou. Il s'arrêta un instant pour pouvoir retirer son T-shirt à son tour. Je voulu passer mes mains dans son dos, mais j'hésitai un instant. Pourquoi? Nick l'avait remarqué. 

-ça va? 

Je lui fis signe que oui de la tête. 

-Si tu ne te sens pas prête, nous pouvons...

-Non, je vais bien. 

Je savais que Nick ne serait pas brusque avec moi, que si jamais je ne voulais plus, que j'étais trop effrayer, il s'arrêterait là. 

-Je suis désolé, c'est que... je ne sais pas comment m'y prendre. 

-Rien. Laisse-toi faire, c'est tout. 

-D'accord. 

Je m'allongeai de nouveau sur le lit, après nous continuâmes. Il glissa de nouveau sa main dans le bas de mon ventre. Il m'embrassa dans le cou, subséquemment il s'occupa de ma poitrine. À ce moment-là, l'excitation avait augmenté très vélocement...  

Aurais-je cru que ça aurait été ici, dans la maison de Johnny Cash? Qui aurait pu le prédire? 

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