Chapitre 12 (Personne ne peut te blesser maintenant) Partie 3

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Ores que j'étais sûr d'être en « sécurité » dans la voiture, je sortie mon portable de ma poche de jean, ensuite je l'ouvris. Je fis défiler mes contacts puis j'appuyai sur le numéro de ma mère. J'appelai. 

Elle devait être tout près de son téléphone puisqu'elle m'a répondu après à peine un coup et demi. Elle attendait mon appel ou quoi? 

-Taylor, tout va bien? Me demanda-t-elle, sans même me dire bonjour, après avoir répondu à l'appareil.  

-Salut maman, tu vas bien? 

-Oh... excuse-moi, me dit-elle, constatant qu'elle ne m'avait pas salué avant de me bombarder de question pour savoir si j'allais bien. Salut. 

-Écoute maman, surtout ne panique pas, d'accord? Mais Nick et moi nous avons eu une crevaison, mais tout est sous contrôle. 

-Quoi?! Paniqua-t-elle.

Je lui avais précisément dit de ne pas s'affoler, par contre, elle avait fait le contraire. Maintenant elle allait nous demander de faire demi-tour pour que je rentre à la maison. Il n'en était pas question. Je ne voulais pas saboter ce voyage pour une simple crevaison. Après tout, ce n'était pas uniquement à nous que ça pouvait arriver. Nous allions nous en sortir. Ce n'était rien de tragique. C'était simplement dommage comme début de voyage. 

-Où... où est Nick? Je voudrais lui parler. 

-Maman, il ne peut pas. Il s'occupe de changer la roue. 

-D'accord, mais où êtes-vous en ce moment? 

-Sur la route 40. Nous avons passé Asheville et on se rendait vers Knoxville. 

-Oh seigneur, j'avais un mauvais pressentiment. 

-Quoi? 

Un mauvais pressentiment? Pour ce voyage? Elle ne m'encourageait pas tellement. 

-Maman, ce n'est qu'une crevaison, et après? Ce qui compte c'est qu'on va bien. On répare ça et tout redevient dans l'ordre. Maman, ne regrette pas de m'avoir laissé partir. Contrairement à toi, moi j'avais un bon pressentiment. Ce n'est pas tellement encourageant ce que tu me dis. 

-Excuse-moi ma chérie, tu as raison. Je ne veux pas gâcher ce moment entre Nick et toi. Mais je suis seulement angoissé. C'est ta première sortie sans nous, et... enfin, je crois que tu comprends. 

-Ouais, je sais. 

Je jetai un coup d'œil à Nick et au jeune homme qui nous venait en aide pour voir où ils en étaient rendus. Tout semblait bien se dérouler pour le moment. Ils installaient la nouvelle roue. 

-Je te rappelle plus tard, ça te va? Dis-je à ma mère. 

-Oui. Soyez prudent, d'accord? 

-Oui, on sera prudent, promis. Je t'embrasse. Bye. 

-Bye. 

Je raccrochai avec ma mère. Au moins, ça c'était passé mieux que je l'avais espéré. J'avais franchement cru un instant que notre voyage ce serait arrêté là, qu'elle m'aurait demandé de revenir. Je crois en fait qu'elle avait compris qu'elle ne pouvait pas m'empêcher de tout faire. 

Il nous arrivait tous des petits malheurs dans notre vie, et ça c'en était un. Nous n'étions pas à l'abri de ces petits incidents. Et à un moment où à un autre, cette crevaison serait arrivée à Nick. Il fallait pourtant croire que le destin voulait nous retarder un peu dans notre trajet. Mais nous aurions pu vivre quelque chose de pire, comme un accident de voiture très grave. Je me comptais chanceuse dans notre malchance. 

Finalement, pour la roue, tout était réparé. Le jeune homme avait été très aimable, et irréprochablement, s'il n'avait pas été là avec ce tas d'outils en main, je ne sais pas ce que nous aurions fait. Il nous avait sauvé ce voyage. 

Je suis sortie de la voiture pour pouvoir moi-même le remercier pour ce coup de main qu'il nous avait apporté. 

-Merci infiniment pour votre aide, le remerciais-je, après qu'il soit allé ranger ses outils dans le coffre de sa caravane. 

-Il n'y a pas de quoi. Il faut croire que j'étais là au bon moment, mais aussi avec les bonnes choses en main. 

-Je vous dois ça je crois, rajouta Nick, tandis qu'il fouillait dans ses poches de jean. 

Il en sortit son portefeuille et il l'ouvrit. Il sortit un 10 dollar et le tendit à l'homme, pour le remercier de son secours. Un geste authentiquement remarquable de la part de Nick. Sans blague, je restai ému par son geste. 

Le jeune chauffeur n'était pas certain en voyant Nick lui tendre ce 10 dollars pour le remercier de sa main-forte. Comme s'il croyait que c'était une plaisanterie. Ce n'était pas tous les jours que quelqu'un pouvait recevoir un 10 dollars par une personne au beau milieu de nulle part, sur une route déserte. 

-Tenez, c'est pour vous remercier, lui dit-il,  voyant que celui-ci ne semblait pas le prendre au sérieux. 

Il le prit avec réticence. 

-ça alors... merci. Vous n'étiez pas obligé. 

-C'est la moindre des choses, lui dit Nick, tout en rangeant son portefeuille dans ses poches. 

Nous avions pris le temps de remercier une dernière fois l'homme, et il reprit sans plus tarder la route. Nous le regardâmes partir jusqu'à ce que la silhouette de sa caravane disparaisse au loin. 

Nick se retourna vers moi tandis que je le regardais. 

Tout était bien qui finit bien. Nous n'avions pas été victime d'une terrible chose comme je l'avais vu dans ces séries policières. Je me trouvais absurde de penser à ce genre de chose durant notre voyage en voiture. Ce n'était pas tout le monde qui était maudit. Or, au moins, j'étais resté vigilante. 

-Quoi? Finit par me demander Nick, alors que je le fixais sans rien dire. 

-Rien. Je suis seulement très amoureuse de toi. 

-ça je m'en serais douté. 

Nous nous embrassâmes, ensuite, nous avions repris la route, reprenant place à bord du véhicule. 

Nous étions de retour sur la route, direction Knoxville. Je n'avais pas raté cette ville. Un endroit tout aussi épatant qu'Asheville. 

À la sortie de Knoxville, direction Cookeville, je commençais à avoir les paupières lourdes. Je sentais que le sommeil était sur le point de m'emporter. La chaleur du soleil était quelque chose qui venait tôt me rendre épuisé. 

J'avais finis par me laisser envahir par la fatigue et je me suis assoupit. 

J'avais raté Cookeville en entier. Durant mon sommeil, je n'avais pas rêvé. C'était comme si j'étais dans un coma. Par chance, je n'avais pas pu rater Nashville. Cette ville, j'avais toujours voulu la voir. Ville de la musique country, c'était pour cela que cet endroit m'intéressait autant. Si j'avais percé dans la musique, je serais plausiblement devenu chanteuse country. N'ayant pu voir cette ville qu'en photo, selon ce que ma mère m'avait me raconter, j'avais la chance de pouvoir la vraie enfin de mes propres yeux. 

Je sentais qu'une main passait agréablement dans mes cheveux et ça venu me réveiller en douceur. J'ouvris tranquillement les yeux et ce que je vis en premier, c'était le ciel bleu, à peine remplit de nuage, à travers la vitre de la voiture. J'étais un peu mélanger, ne me souvenant plus vraiment où j'étais. J'étais en route pour Dyess, me rappelais-je en un instant. 

Je me retournai et constata que c'était Nick qui passait sa main dans mes cheveux, sans doute pour me réveiller. La voiture était stopper je crois. 

Combien de temps exactement j'avais dormit? J'espérais toutefois ne pas avoir raté tout le reste du trajet. 

-Je me sens mal de t'avoir réveillé. Tu avais l'air si bien. 

ça avait été le plus doux réveil que je n'avais jamais eu. Quoi de mieux que de se faire réveiller par son copain? Encore plus par lui. 

Je me redressai sur mon siège et je contemplai ce qui se trouvait autour de nous. Nous étions garés dans un stationnement, juste en-face d'un petit restaurant, dont je ne vis pas le nom. 

-Où sommes-nous? Lui demandais-je, assez désorienté. 

-À Nashville. 

-Ah oui? 

-Ouais. Tu as dormit durant tout le trajet de Cookeville jusqu'à ici. 

Nous avions fait exactement la moitié du trajet. Encore une autre moitié de chemin et nous arrivions à Dyess. J'étais de plus en plus excité de voir ce qui nous attendait là-bas, mais encore plus excité de pouvoir voir la maison du célèbre Johnny Cash. 

En contemplant ce restaurant devant nous, ça me donna instinctivement faim. C'était peut-être pour cette raison aussi que nous nous étions arrêtés. Pour pouvoir se remplir le ventre un peu. 

-Tu as faim? Me demanda-t-il, presque comme s'il avait lu dans mes pensées. 

-Oui, je meurs de faim. 

Nous nous étions donc arrêtés dans un bistro à Nashville, à Green Hill. Nous n'y avions pas pris un grand repas là-bas, rien que quelque chose pour nous rassasier. De toute façon, je crois que pour ce soir, nous allions peut-être nous arrêter dans un restaurant plus gastronomique, si c'était la bonne manière de le dire. 

Nick avait insisté pour me payer ce que j'avais pris dans ce bistro, et à vrai dire, je m'étais légèrement disputé avec lui parce que je refusais qu'il paie à ma place. En fin de compte, c'était lui qui avait gagné. Flatteur. 

Nous avions passé moins d'une heure dans ce bistro à discuter tout en mangeant. Puis, nous étions tout de suite repartit pour la seconde moitié de notre trajet. 

Je n'avais plus sommeil durant le reste du chemin. Je ne m'étais pas rendormit. 

Le reste de notre route vers Dyess s'était passé, non dans le silence, mais dans la discussion. J'avais passé un agréable moment avec Nick à discuter de tout et de rien, et nous avions amplement rigolé. Surtout lorsque je lui parlais de ma mère très protectrice et de son inquiétude immense lorsqu'il s'agissait de ses enfants. Nick ne connaissait pas ça. Je ne crois pas qu'il avait des parents comme ça, et encore moins son père. Ce n'était non plus pas une mauvaise remarque que je voulais faire envers sa famille. 

Dyess, quelle merveilleuse ville. Tandis que nous sommes entré dans cette ville, ayant été la plus grande communauté agraire crée dans la grande dépression, j'étais émerveillé. Nous étions à présent dans la ville d'enfance du célèbre chanteur Johnny Cash! Dire qu'il était déjà passé par ici. Cette ville était aussi entre autre connu grâce à lui. Sa maison a même été classée dans le registre national des lieux historiques. 

Lorsqu'on change de ville, d'endroit sur la planète, nous avons la sensation qu'on se trouve au bout du monde, dans un coin hors de la terre. C'était comme ça que je me sentais. Je me rendais compte que le monde était entièrement plus vaste que ce que je l'aurais cru. Il existe tant d'endroit, de recoin sur cette terre que peut-être l'être humain ne connait même pas encore. Pourtant, Dyess c'était à 9 heures de route et ça faisait toujours partit de l'Arkansas. L'Arkansas fait partie des États-Unis qui est immense, et les États-Unis font partit de l'Amérique du Nord, ce qui est énorme, et l'Amérique du Nord fait partit de la terre, ce qui est gigantesque. J'y voyais grand. Quel être humain pourrait visiter tous les lieux de la terre en une seule vie? Personne. Aucun être humain. 

Le monde me fascinait tout simplement. 

Arrivée à l'hôtel où Nick avait réservé, Deerfield Inn, tout près du lieu de visite de la demeure, Nick arrêta le moteur de la voiture dans le stationnement qui était très peu remplit. 

Notre hôtel était très jolie de l'extérieur, encore, surtout très convenable pour le peu de temps que nous allions y passer. Ce n'était pas trop le luxe ni trop délabré. C'était juste. 

-Nous y voilà ma chère, me dit Nick, après avoir stoppé la voiture. Bienvenu à Dyess. 

J'étais comblé. Je n'aurais pas pu demander mieux que de me retrouver avec Nick à Dyess. Nous étions sur le point de s'installer tous les deux dans une chambre d'hôtel, ensembles. ça me rendait un peu nerveuse, mais d'une bonne manière. 

Avant de tout sortir nos bagages, Nick me demanda de l'attendre dans la voiture le temps qu'il se présente à l'accueil pour demander la clé de notre chambre. Ensuite, nous allions nous occuper de rentrer nos valises. 

Nous passâmes par l'accueil pour pouvoir se rendre à notre chambre. L'accueil était très petit, néanmoins, la décoration était bien. Mais j'étais très loin de me douter de quel type de chambre d'hôtel que Nick nous avait réservé. 

La clé en main, je suivis Nick dans le couloir étroit, traînant nos valises derrière nous, longeant à présent le couloir des chambres, là où s'était quasiment silencieux. 

Nick passa quelques portes et quand il s'arrêta devant la nôtre, je restai saisit par le numéro de notre chambre. 13.

Oui, d'habitude, le 13 fait peur à beaucoup de gens, croyant qu'il porte malchance. Ce chiffre fait partie de nombreuse superstition, dont Mem, la treizième lettres de l'alphabet hébreu, est la première lettre du mot Met, signifiant la mort. Le 13 est aussi associé aux malheurs et aux souffrances de jésus alors qu'ils étaient 13 à la table, là où celui-ci avait réuni les douze apôtres, dont l'apôtre Judas. D'autre superstition existe sur ce chiffre, et je sais que ces histoires de religion ne doit pas tellement intéresser tout le monde. Dans mon cas, ça m'intéressait puisque c'était mon chiffre chanceux. Pour moi c'était le contraire aux superstitions. Certaines personnes se seraient dit que s'ils étaient tombés sur la chambre 13 dans leur hôtel, ils auraient un séjour de malheur, tout comme le vendredi 13. Mais moi ça me prouvait le contraire. Nous allions avoir de la chance Nick et moi. Déjà que nous avions eu de la chance dans notre malchance lors de cette crevaison. Le 13 était toujours bon signe pour moi, souvent un signe du destin. 

Nick jeta un regard vers moi avant d'insérer la clé dans la serrure de la porte. 

-J'espère que tu n'as pas trop de superstition envers le chiffre 13?

-Au contraire, ce chiffre me porte chance. 

-Un chiffre ce n'est qu'un chiffre, pas vrai? 

-C'est vrai. 

Nick entra la clé dans la serrure de la porte puis il l'ouvrit après l'avoir débarrer. Je pu y admirer une chambre d'hôtel somptueuse. Voilà pourquoi je disais que je n'avais aucun doute de quel type de chambre d'hôtel nous allions avoir, mais j'adorais ça, même si la décoration était vieillot. De toute façon, ce n'était que pour une seule nuit. Je ne me serais pas attendu à un hôtel 5 étoiles. 

-Après toi, me laissa Nick y aller en premier. 

J'entrai, traînant ma valise derrière moi et Nick entra à la suite de moi. Je laissai ma valise sur le sol de la pièce et je contemplai la chambre du regard. J'avais l'expression d'un enfant lorsqu'il entrait dans un magasin de jouet. C'était la preuve que je n'avais jamais encore visité le monde extérieur, à part Hendersonville. Une simple chambre d'hôtel de Dyess arrivait à me séduire. 

Nick me laissa m'éblouir par notre chambre tandis qu'il me regardait, mon visage illuminer de joie. 

-Et puis? Me demanda-t-il. 

-Tu veux dire... comment je trouve cette chambre? C'est parfait. 

-C'est tout près de la maison de Johnny Cash, je n'aurais pas pu trouver mieux je crois. C'est convenable. 

Je fis l'annotation qu'il y avait deux lits côte à côte dans la chambre. Et justement, à l'instant où j'avais fait cette remarque, Nick venu sur ce sujet. 

-Comme tu as sans doute remarqué, il y a deux lits et non un seul. Nous n'étions pas encore en couple lorsque j'ai fait la réservation. 

Dormir dans le même lit qu'un autre garçon, je n'avais jamais fait cela encore, même pas avec mes autres copains. Même s'il y avait deux lits dans notre chambre, rien ne nous empêchait de dormir dans le même. Par contre, la question était de savoir si j'étais prête à me rendre jusque-là. Je n'en avais rêvé des nuits entières de me retrouver dans le même lit que Nick. Mais en rêver et le faire pour de vrai, c'était deux choses complètement différentes. 

-C'est toi qui décide, me dit-il. Si jamais tu n'es pas à l'aise avec le fait de dormir dans le même lit que moi, je ne te forcerai pas. Nous prenons notre temps, je te l'ai dit. 

Un homme avait-il déjà été aussi respectueux envers une femme une seule fois dans l'histoire de l'humanité? Je ne savais pas, en revanche, son respect envers moi était exceptionnel, et je sais que je le répète très souvent, mais ce n'était pas tous les jours qu'on pouvait tomber sur de bons garçons comme Nick. 

Voilà ce qui pouvait me donner à nouveau confiance en un homme. Chaque femme devait avoir la même chance que moi d'avoir un homme aussi attentif envers sa partenaire dans leur vie. Nous serions tous comblés. Je serais comblé de voir toutes les femmes de cette terre heureuse en amour. Malheureusement, ce n'était pas ça la réalité. Des millions et des millions de femmes ne connaîtront peut-être jamais le respect d'un homme, et c'était dommage à dire. 

-Je vais y réfléchir, lui dis-je tout en regardant les deux lits. 

Première étape, c'était de défaire nos valises. Donc, c'est ce que nous avions fait. Quoi qu'il n'y avait pas tant de chose à sortir de nos bagages. 

Alors que Nick n'avait pas terminé de vider la sienne, j'allai m'allonger sur le dos sur l'un des lits, celui au fond de la chambre, puis je fixai le plafond. Ce matelas était très confortable. Nick me posa une question de la salle de bain tandis que je sortie mon portable de ma poche de jean pour pouvoir contacter ma mère pour la mettre au courant de notre arrivée. 

-Taylor, avant la visite, je t'emmène au restaurant. 

-Au restaurant? Dis-je en tournant la tête vers le cadran sur la petite table de nuit, de mon côté droit. 

Il était presque 5 heures. 

-Lequel? 

-J'y réfléchissais. 

-Ne te fit pas à moi pour les restaurants ici, je n'en connais aucun. Alors à toi de décider où on va. Je vais appeler ma mère une seconde, ça te va? 

-Oui, bien sûr. 

Je me levai du lit et je quittai la chambre pour aller parler à l'extérieur, dans le couloir. 

Une fois à l'extérieur de la chambre, j'allai dans mes contacts dans mon téléphone et appuya sur le numéro de ma mère. 

Quelques coups sonnèrent, un peu plus que tout à l'heure quand je l'avais appelé dans la voiture, et elle venu répondre, un peu plus calme dans sa voix. 

-Taylor, salut. 

-Salut maman. 

-Tu es arrivée à l'hôtel je suppose? 

-Ouais, bien vivante. 

-Et puis, c'est comment là-bas? 

J'avais de la difficulté à entendre ce que ma mère me disait au téléphone, comme si le signal avait de la difficulté à se rendre. 

-C'est un très bel hôtel. Nick à fait un bon choix. Et tu ne devineras pas, le numéro de notre chambre c'est le 13, lui dis-je en jetant un coup d'œil en direction de notre porte de chambre.

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