Conversation téléphonique --> Bip... Bip... Bip...

Ayden: Allô chaton? Moi: Oui chaton c'est moi. Je voulais savoir si je pouvais dormir chez toi ce soir s'il te plait Ayden: Je demande à ma mère mais tu la connais quand il s'agit de toi elle dit jamais non Moi: Oui c'est vrai Ayden: Je reviens vite chaton 5 minutes après, Ayden était revenu Ayden: Bon sans surprise ma mère a dit oui je t'attend

Je sors de ma chambre et rejoins mon frère qui se trouve dans la cuisine.

Moi: Il est ou papa?
Nathan: Parti voir maman je crois. Mais pourquoi?
Moi: Je vais dormir chez Ayden ce soir, j'en ai déjà trop entendu
Nathan: Préviens papa
Moi: Fais-le pour moi s'il te plait
Nathan: D'accord à demain soeurette.

10 minutes plus tard j'étais arrivée chez Ayden, je toque à la porte.
Charlène: Bonjour Juliette ça va ? Tu veux boire quelque chose?
Moi: Oui et vous? Je veux bien un thé s'il te plait. Ayden est dans sa chambre?
Charlène: Oui très bien. Oui va le rejoindre.
Moi: Merci

Je monte les deux étages qui me séparent de mon meilleur ami. Je me stoppe quelques secondes devant la porte puis je l'ouvre. Je vois Ayden allongé sur son lit avec son ordinateur sur les cuisses, il doit sûrement écrire. Je me jette sur lui et lui fait un câlin.

Ayden: Salut chat
Moi: Salut vieu tas
Ayden: D'où tu me traites de vieu tas? Je suis né avant toi.
Moi: Mais je t'aime quand même
Ayden: Moi aussi je t'aime
Moi: Il faut que je te parle
Ayden: C'est grave?
Moi: Je ne sais pas trop ma mère veut divorcer alors que mon père n'était pas au courant, mon père est muté à Paris et ma mère veut pas que je reste à Marseille
Charlène: Les enfants vous venez dîner
Ayden: J'ai trop faim, on en reparle après ma puce

Le dîner se passe dans la bonne ambiance malgrés le fait que je sois songeuse. Nous remontons dans la chambre de mon meilleur ami, lui avec un café et moi avce un thé.

Ayden: Mais c'est dégueulasse quand même
Moi: Oui et de toute façon je voulais pas rester avec elle , je voulais rester ici pour toi mais elle s'en fiche de toi
Ayden: Si je comprend bien tu est obligée de partir à Paris ?
Moi: Oui c'est ça

Nous nous installons sur le rebord de sa fenêtre. Durant la nuit, nous parlons beaucoup de Marseille, de nous, de Paris. J'ai evidement pleurer plusieurs fois.