Chapitre 22.

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Je me réveillais, contre Solange. La nuit paisible nous avait donné un repos réparateur. Solange avait les yeux grands ouverts et me souriait. Sa présence si proche me donna envie de la caresser. Je glissai mes doigts sur sa poitrine en m’attardant sur ses tétons qui pointèrent immédiatement.

– Continue Lætitia, j’adore tes caresses. Tu m’excites, mais je ne vais pas te laisser faire sans glisser mes doigts dans ton vagin ! Tu tiens à ta virginité, mais comment fais-tu pour satisfaire les hommes qui veulent plus qu’une fellation ?

– Mes fellations sont très satisfaisantes et les hommes qui me l’imposaient n’ont pas eu le temps de faire autre chose. Sauf Dany avec qui je passe parfois la nuit, lui, il avait le temps de retrouver assez de vigueur dans son sexe pour me sodomiser. C’est ainsi que j’ai pu préserver ma virginité. Le chef d’étage que Dany a renvoyé m’a sodomisé quelques fois mais c’était une brute ! Il prenait son plaisir sans contrepartie. Dany lui veille à me faire jouir en préparant son entrée dans ma rosette et en me faisant jouir en cunnilingus !

– Oh oui, continue de me dire des choses excitantes ! Qui t’as appris à exciter les hommes et les femmes ?

– J’avais déjà l’apprentissage du sexe avant de quitter l’Afrique. J’avais une amie qui vivait en concubinage avec un petit blanc (NDA : un blanc pas très riche). Cet homme la faisait travailler dans la rue. Elle devait lui donner l’argent qu’elle gagnait en se prostituant. Elle m’apprit comment donner du plaisir aux hommes et aux femmes sans se laisser violer. Je compris que c’était la meilleure façon d’obtenir des avantages de la part de personnes qui voulaient du plaisir sans verser dans la prostitution. J’ai réussi à avoir de fausses pièces d’identité grâce à une femme délaissée par son mari. Elle voulait du sexe mais pas avec des hommes. Pendant plusieurs mois j’étais son esclave sexuelle, accessoirement elle invitait des amies à des soirées et des nuits de débauche où j’appris que beaucoup de femmes mariées trouvaient le plaisir avec d’autres femmes. C’est elle qui m’a payé mes faux papiers au bout de presque une année de plaisir. À mes dix-huit ans elle m’a « libérée » car je devenais trop grande pour satisfaire ses fantasmes. J’avais assez d’argent pour prendre l’avion, mes papiers étaient de bonne facture et j’ai pu rentrer ainsi en France. À mon arrivée j’avais l’adresse d’une amie de maman qui se prostituait dans les grands hôtels. Elle trouvait que mon corps n’était pas assez développé et que je n’aurais aucun succès dans son réseau. C’est elle qui m’a confiée à un chef d’étage qui flippait sur des filles impubères et qui, moyennant des gâteries, m’a fait engager. Le reste, tu connais, Dany a renvoyé le chef et je suis devenue sa soumise.

– Continue de me caresser mon bijou, je sens que je vais jouir ! Ouiiii, encore, j’aime, tu es vraiment douée ! Aaaahhhh !

Solange cria son plaisir en expulsant un flot de cyprine que je récupérai et lui transmis dans un baiser passionné.

– Reste dans mon lit, je dois aller travailler, mais tu es dispensée de corvée. La soubrette qui s’occupe de mon logis ne viendra pas aujourd’hui, tu ne seras pas dérangée.

Solange prit une douche et s’habilla. Lorsqu’elle avait quitté sa résidence, je restai nue dans son lit. Je mis la crème pour développer mes seins. En me massant la poitrine, je provoquai une augmentation intense de mon désir, je ne pus résister à placer plusieurs doigts dans l’entrée de mon vagin pour me masturber. Ce fut long, ce n’est qu’en évoquant des verges érigées et des jets de sperme que mon esprit se désengagea et que j’obtins un orgasme raisonnable qui me libéra. Je pris une douche pour évacuer la cyprine sur mes cuisses et je mis un top pas trop serré et un pantalon sarouel. Ce pantalon assez lâche, uni bleu dégradé vers le haut, je l’avais acheté avec l’argent reçu de Dany lors d’une des premières fellations que j’avais pratiquées. Je l’avais acheté dans le quartier arabe pas loin de l’hôtel, il n’était pas très cher mais avait l’avantage de donner un peu plus de volume à mes fesses et jambes. Il masquait un peu mon corps fluet et ma poitrine menue.

En sortant de la résidence de Solange, je croisai Dany à son étage, profitant d’être seuls dans le couloir, il m’embrassa longuement et j’osai caresser sa verge par-dessus ses vêtements.

– Tu es jolie dans ces vêtements ! J’espère que j’aurai le plaisir de les enlever tout à l’heure.

– Quoi, tu veux que je te fasse jouir en présence de ta mère ?

– Cela ne me dérangera plus, j’ai eu une grande jouissance en voyant ma mère qui prenait son plaisir.

– Il est vrai qu’elle était vraiment excitée, j’ai même cru qu’elle allait te masturber ou te pratiquer une fellation.

– Je ne crois pas qu’elle franchira le pas de l’inceste, tant qu’elle trouvera son plaisir avec toi !

– C’est vrai que ta mère trouve sa satisfaction avec mes caresses. Qui lui donnait satisfaction avant ?

– Cela fait très longtemps qu’elle n’avait pas de relation régulière. Depuis la mort de mon père à mes quinze ans, elle n’a plus mis un homme dans son lit. Seuls des rencontres occasionnelles lui donnaient de la jouissance. Tu es la première fille à ma connaissance qui couche avec elle.

– Oui, elle me veut à son service exclusif, mais elle semble accepter que je m’amuse avec toi !

– Peut-être est-ce sa façon de compenser l’absence d’un homme.

– Dany, je ne me fais pas d’illusions, elle se lassera de moi. Promets-moi de ne pas me laisser tomber !

– Si ma mère te rejette, tu viendras habiter avec moi !

NDA : est-ce une promesse ?

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