Chapitre 18.

3 minutes de lecture

L’épisode précédent : En disant cela, elle arracha sa blouse et défit sa jupe révélant son corps parfait entièrement nu. Elle ne portait pas de petite culotte, révélant ainsi que son interruption dans ma chambre n’était pas innocente ! Les tétons de ses seins totalement dressés étaient splendides ! Je fus en admiration devant ces monticules trônant au milieu de ses aréoles foncées et glissant mon regard sur son bas-ventre, je constatai qu’elle était totalement épilée et que ses lèvres intimes ne parvenaient pas à contenir la cyprine qui suintait !

Elle était vraiment belle ! Sans doute jalouse de son fils qui recevait les hommages de ma bouche sur son sexe ! Ses seins étaient encore bien fermes malgré son âge et sa maternité. Avant de placer son intimité devant ma bouche, elle empauma ses seins pour encore mieux faire jaillir ses tétons en les pinçant frénétiquement.

Elle chevaucha mon lit écartant ses cuisses le plus largement possible. Ce geste provoqua l’ouverture de ses lèvres intimes, qui déclencha une fuite de sa cyprine.

J’avais encore mes deux mains actives sur mon bas-ventre ! J’étais éberluée de voir Madame la directrice nue devant moi !

– Lèche-moi, me dit-elle en présentant ses lèvres intimes devant ma bouche.

Ma langue glissa sans résistance dans son antre butant sur son bijou démesuré et dur. Ce premier contact provoqua un feulement sensuel, elle écarta les jambes me montrant la souplesse de son bassin ! Sa cyprine coula dans ma bouche, j’eus vraiment du mal à absorber l’abondance de ce flot. Ma langue explora, je parvins à la faire vibrer comme le ferait un vibromasseur, très rapidement dans sa bouche toute grande, le feulement se transforma en gémissements puis en cris à réveiller tout l’étage !

– Ouiiiii, continue !

Ses mains glissèrent sur ses seins et pincèrent les tétons démesurés par l’excitation. Son corps se cabra sous un orgasme violent. J’avais toujours mes doigts actifs dans mon sexe et je parvins à jouir quasiment en même temps !

– Ta bouche est merveilleuse, me dit-elle, je comprends maintenant pourquoi mon fils te recherche pour assouvir son désir ! Ton corps de garçon me plaît ; écarte tes jambes !

Nous étions en ciseau, nos lèvres intimes se touchaient, provoquant des frissons profonds de mon corps ! Les coups de butoir intenses de Madame m’achevèrent et mon orgasme fut violent.

Elle sortit un pénis en caoutchouc et s’apprêta à l’enfoncer profondément dans mon vagin. Je la stoppai, en criant « je suis encore vierge !»

– Comment as-tu fait pour être encore intacte ?

– J’ai toujours refusé, les hommes se déchargeaient dans mon cul s’ils voulaient jouir au cas où la fellation ne les avait pas calmés.

Elle changea d’orifice, je sentis la pénétration pendant que je repris ma masturbation de façon ostentatoire. Mon orgasme me libéra mais me laissa épuisée. Madame me poussa sur le côté et s’étendit le long de mon flanc. Je perdis vite la notion de temps et je m’endormis dans ses bras.

À mon réveil, je vis que Madame était toujours dans mon lit, nue. Je voulus lui faire plaisir : me souvenant que mes clientes du 35 m’avaient montré des massages relaxants des seins qui pouvaient se pratiquer entre filles ou en couple hétéro.

Mes mains glissèrent en douceur autour des aréoles, Madame était très réactive. Ses tétons s’érigèrent comme des champignons et se durcirent sous la pulpe de mes doigts. Ses seins fermes étaient naturels, aucune cicatrice révélant une intervention chirurgicale ! Madame geignit dans son sommeil et ouvrit lentement ses yeux. Elle bloqua mes mains pour que je continue les caresses en élargissant mes gestes sur l’ensemble de sa poitrine. Sa respiration devint plus haletante, elle tendit ses mains vers ma poitrine plate.

Ah ! Quel délice ! J’étais sur le point de descendre ma bouche sur ses mamelons lorsque ma porte s’ouvrit et que Dany entra sans bruit. Madame se redressa muette d’étonnement en couvrant sa poitrine de ses mains !

– Dany ! Que viens-tu faire ici ?

– Je venais donner le programme à Lætitia pour sa journée de demain.

– Et rien d’autre ?

– Non, maman ! Et toi que fais-tu dans son lit ?

– Cela ne te regarde pas ! Sors d’ici ! Je discutais son changement d’affectation ! Mais j’ai eu un malaise passager et Lætitia m’a couchée dans son lit !

Annotations

Versions

Ce chapitre compte 1 versions.

Vous aimez lire Solo_x ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0