Chapitre 15.

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À mon réveil, je sentis la langue de Louise fouiller mon intimité ! Pourquoi les femmes savent-elles si bien faire jouir d’autres femmes ? Est-ce parce qu’elles connaissent bien leur propre sexe ?

Je ne pus retenir les gémissements dus à ma jouissance, je mis mes mains dans sa chevelure pour lui demander de continuer.

– Oh Louise, tes caresses matinales sont divines, continue ! Je vais jouir bientôt ! Je ferai pareil pour toi ! Ah ! Ouiiii ! J’adore lorsque tu suces mon bijou, ta langue qui récolte mon jus ! Ne l’avale pas, viens le partager dans ma bouche.

Mon bas-ventre vibra intensément et j’eus encore de nombreux spasmes alors qu’elle m’embrassa longuement, me donnant ainsi l’opportunité de goûter ma cyprine abondante qu’elle avait gardée en bouche.

– Laisse-moi maintenant te donner le même plaisir !

– Oui, Laetitia mais utilise aussi tes doigts dans mon vagin et dans mon petit trou !

Je mis mon pouce dans son vagin pendant que j’enfonçais mon majeur dans son anus. Elle ne résista pas longtemps à cette action combinée et hurla sa jouissance. Je reçus un flot de sa sécrétion intime dans ma bouche. Je dus en avaler une partie, pour ne pas la gaspiller puis lui versai le restant dans sa bouche. Elle aussi vibra encore longtemps après que je retirai ma bouche de son intimité, mais je gardai mes doigts dans ses orifices ce qui déclencha un second orgasme encore plus violent que me premier ! Cela devait vraiment la faire jouir, car elle bloqua ma main m’empêchant de la retirer. Je sentis les contractions autour de mes doigts, que je continuai à bouger doucement jusqu’à ce qu’elle n’eût plus de convulsions.

– Argh ! Lætitia ! J’ai adoré cette combinaison de ta langue et de tes doigts. Dany m’avait déjà manipulé ainsi mais toi tu es bien plus efficace !

– Tu connais Dany depuis longtemps ?

– Oh oui ! Plus d’un an ! Je l’ai surpris un jour qu’il se masturbait en regardant un couple dans une chambre. Il était rentré avec son badge, croyant la chambre vide. Il fut surpris de trouver les personnes dans une activité sexuelle intense. Au lieu de refermer discrètement, il resta regarder. Je le découvris ainsi éjaculant dans son mouchoir. En sortant, il me menaçait que si je révélais cet incident je passerai mes journées à nettoyer les chambres à genoux pendant qu’il jouirait entre mes fesses !

– Tu l’as cru ?

– Oui, car il était vraiment excité, pour bien me faire comprendre, il me coinça dans un couloir désert et me pinça les seins jusqu’à ce que je gémisse de douleur ! Depuis, il vient régulièrement dans ma chambre pour se décharger de diverses manières, et j’avoue que j’y ai pris du plaisir !

– Tu ne l’as jamais dénoncé ?

– J’ai failli un jour en parler à sa mère, mais en arrivant dans l’antichambre de son bureau j’entendis des gémissements et par la fente de sa porte entrouverte je la vis se faire ramoner par un homme sur son bureau ! Je m’enfuis sans demander mon reste !

– Tu as vu qui baisait la directrice ?

– Je ne l’ai pas reconnu mais il portait l’uniforme de l’hôtel ! Vu sa stature j’ai des soupçons sur plusieurs personnes, mais je ne l’ai jamais revu avec la directrice. Ce qui est certain, c’est qu’il ne travaille pas à nos étages.

– Je croise de temps en temps cette femme, mais elle est toujours très stricte et sévère, dis-je. Je regarderai plus attentivement ces relations, mais maintenant je dois rejoindre les clients de la suite 35 car ils quittent l’hôtel aujourd’hui pour continuer leur voyage de noces. Ils repasseront par l’hôtel avant de retourner en Afrique.

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