Chapitre 9.

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En quittant Dany je ne voulus pas le décevoir :

– Je donnerai ma virginité à l’homme qui me choisira sans arrière-pensées ! Et qui me protégera ! Je sais que je ne vaux pas mieux que les putes de luxe qui hantent les couloirs de cet hôtel ! Je veux changer, merci de me comprendre !

Je partis sans attendre de réponse, même si je vis dans ses yeux un début de tendresse !

Je retournai dans ma chambre, pour m’étendre. Je me mis nue sur mon lit mais je ne voulus pas me caresser ! Je voulais juste faire le point. Mais je m’endormis en rêvant de Dany ! À nouveau ce fut un rêve très émoustillant qui me laissa trempée au point de recourir à une douche très longue à mon réveil. Le jet d’eau parvint à éliminer la cyprine qui collait à mes cuisses mais ne put calmer mon désir !

Je n’eus pas la force de résister et enfonçai mes doigts dans ma fente et je m’imaginais être caressée par Dany. L’explosion de mon orgasme fut violente, je m’écroulai dans la cuvette de la douche. Au bout d’un moment je recouvrai mes esprits et sortis pour me sécher. Le toucher de mon intimité resta très sensible et c’est encore choquée que je repris mon travail. Dany m’avait demandé de prendre les poussières des statues ornant le grand escalier. C’étaient des statues assez imposantes qui se déshabillaient au fur et à mesure que l’on montait dans les étages. Arrivée au dernier étage la femme était entièrement nue et pendant que je dépoussiérais ses seins, je sentis une caresse entre mes jambes !

Surprise, je me retournai pour découvrir une jeune collègue qui trouvait mes gestes très suggestifs.

– Ça te plairait de caresser un corps vivant plutôt que ces bronzes ? Je te regarde depuis quelques minutes, cela me plairait que tu me déshabilles mais dans ma chambre toute proche.

J’abandonnais mon travail pour la suivre sans hésitation ! Elle était rousse et me semblait aussi jeune que moi. Elle avait la peau très pâle parsemée de petites taches de rousseur.

– Je t’ai déjà vue à plusieurs reprises avec le vieux chef qui voulait te toucher. Moi, il me caressait et m’obligeait à écarter les jambes. Il était cajoleur, me promettait des allègements dans mon travail à condition qu’il puisse me sodomiser. Maintenant qu’il a été renvoyé, je suis en manque et j’ai envie que tu me fasses ce que tu t’apprêtes à faire à cette statue !

Elle se dévêtit et lorsqu’elle fut entièrement nue, elle me débarrassait de mon uniforme pour me caresser les tétons et enfoncer ses doigts dans ma fente. Je gémis aussitôt et lui rendis les mêmes caresses !

Elle devait déjà être très émoustillée par mes gestes à la statue de bronze car en quelques minutes elle grimpa dans les octaves pour terminer pliée en deux secouée par son orgasme !

Elle parvint quand même à terminer de titiller mon bijou et me fit basculer dans l’apothéose du plaisir ! Nous restâmes exténuées encore un bon moment, elle me confia :

– J’aime ta peau douce de couleur café au lait ! Veux-tu être mon amie ?

– Oui, je n’ai jamais eu d’amie blanche !

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