Chapitre 1.

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Je fus vite adoptée par mes collègues qui me trouvaient d’un physique quelconque et donc peu probable de leur faire concurrence auprès des riches clients et clientes. Ces gens nous considéraient comme des domestiques et d’après l’une ou l’autre se permettaient des attouchements sans gêne, distribuant à l’occasion de généreux pourboires. Jusqu’à présent seuls quelques clients africains qui étaient peu satisfaits de la pute qui se trouvait dans leur lit au réveil, m’avaient invectivé en me demandant de les masturber ou de leur faire une fellation pour les décharger. Ils m’avaient grassement rétribué pour ces services.

Ce matin là mon boss, après sa gâterie matinale m’assigna la suite 33 où logeaient un blanc et deux africaines. Je les avais servis la veille au restaurant et je les trouvai fort sympathiques.

Lorsque j’entrai avec le chariot de leur petit-déjeuner, les femmes étaient encore nues dans le même lit alors que l’homme s’affairait dans la salle de bains dont la porte était ouverte.

Sur le chariot se trouvait aussi un journal dont la première page affichait une photo montrant une des femmes au restaurant avec le titre qu’elle était une princesse. Comme elles parlaient en lingala, je me permis de leur parler dans la même langue en leur signalant la photo du journal. Elles étaient fort étonnées, déplièrent le quotidien et signalèrent à l’homme le fait du journal. Pendant leur conversation, j’étais figée en admiration de leurs corps.

Elles étaient très belles et ne furent pas gênées de montrer leur poitrine découverte !

L’homme qui était dans la salle de bains sortit nu avec une belle érection puis réalisa que j’étais encore dans la chambre pour servir le repas. Il retourna précipitamment dans la pièce en fermant la porte.

Les deux femmes trouvaient l’incident très humoristique et éclatèrent de rire.

« excusez-nous mais nous sommes en voyage de noces et il ne savait pas que vous étiez dans la chambre ».

La brève vue du sexe de l’homme me troubla quand même car il était nettement plus excitant que la verge de mon patron!

En sortant, je me demandai quand même ce que ce trio fabriquait en voyage de noce ! En Afrique la polygamie était courante mais j’avais un doute que cet homme soit polygame.

Je revins une heure plus tard pour débarrasser et mettre de l’ordre dans la literie. Les clients étaient sortis. D’après l’état des lits, ils avaient partagé la même couche. Curieuse, j’ouvris la garde-robe pour découvrir des magnifiques boubous et de la lingerie fine très sexy. En vidant les poubelles, je constatai l’absence de préservatif. L’homme avait donc vraisemblablement partagé ses faveurs avec les deux femmes sans protection.

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