Chapitre 75. L’hôtel premier jour

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### Emily ###

Comment en étais-je arrivé là ? Pendant des années j’avais traité Marc comme mon fils ! Surtout depuis la mort tragique de ses parents ! Je l’avais tenu pendant des jours dans mes bras pour exprimer notre chagrin.

Maintenant, je me comportais comme une cougar ! Pour calmer mon désir et lui donner envie de me posséder et de déverser son sperme dans le corps de Bessie. Ni elle ni moi, nous n’avons jamais pensé que notre relation d’amour lesbien allait virer en une triangulaire !

En le déshabillant, j’eus des pulsions non maîtrisables, encouragée par ma compagne Bessie !

Oui, notre idée initiale était d’être maman pour consolider notre couple ! Comme beaucoup de femmes lesbiennes notre instinct de maternité était puissant. Au départ je pensais à un don de sperme anonyme et une insémination artificielle. Mais lorsque Bessie me fit part de son envie d’avoir un gosse issu de Marc, comblant ainsi son désir de baiser Marc et justifier son fantasme, je fus prise moi-même d’un désir quasi incestueux de faire l’amour avec lui. Ma première relation avec Marc m’avait donné beaucoup de satisfaction, mais maintenant cela devenait obsessionnel !

J’espère que ses parents, Eileen et Matthew me pardonneront cette pulsion inattendue mais apparemment profondément ancrée en moi !

Marc se laissa faire, sa nudité et son sexe dressé et arrogant, nous mit toutes les deux dans un état de transe. Je poussai Marc sur le lit et je m’assis sur sa bouche sans attendre en me tournant vers Bessie qui prit possession de sa verge. Marc gémit sous cet assaut et je demandai à Bessie de ne pas gaspiller le fluide de Marc et de le destiner d’abord à la procréation.

Bessie comprit le message et se redressa pour me faire face en chevauchant Marc. Elle saisit mes seins et je subis une alternance de caresses et de pincements de mes tétons. Le tout pendant que Marc en expert fouillait entre mes lèvres intimes, caressant et suçant mon clitoris. Moi-même je pris les seins de mon amante et lui prodiguai des caresses sensuelles sur ses aréoles faisant dresser ses tétons de façon spectaculaire.

Je ne pus me retenir et criai alternativement le prénom de Marc et celui de ma compagne. Bessie, elle gémit sous la violence de sa chevauchée.

– Bessie, ne va pas trop vite, criais-je sous les spasmes, laisse-moi finir d’abord, afin de permettre à Marc de respirer ! Je ne tiens pas à devoir appeler les urgences parce que Marc n’aura plus assez d’air !

– D’accord répondit-elle en glissant sa main entre mes lèvres intimes pour caresser mon clito en combat avec la langue de Marc.

Mon cri devait certainement résonner dans tout l’hôtel. Mon hurlement libérateur n’avait jamais été aussi puissant. Je libérais la bouche de Marc et lui donnai des baisers sur ses joues et sa poitrine, pendant que Bessie reprit sa cavalcade. Ses seins étaient secoués brutalement, je crus bon de les retenir ce qui augmenta encore l’approche du climax de ma copilote.

Je ne pus retenir mon rire en nous voyant aux commandes de notre « avion » en essayant de garder le cap et l’altitude dans les turbulences.

Ce fut Marc d’abord qui lâcha sa salve ! Il appliqua consciencieusement les directives de la doctoresse en respirant profondément pendant que Bessie s’écroula sur le côté subissant les vibrations puissantes de son orgasme.

– Oh Marc, j’en veux encore cria-t-elle, dis-moi que ce n’est que le début ! Emily, avoue que Marc est vraiment au top !

– Oui, avouai-je, mais laissons-le se reposer un peu et toi reste couchée pour que son sperme te pénètre profondément.

– Merci Emily, je suis contente que tu aies changé d’avis ! C’est quand même plus excitant que l’insémination dans une clinique par une seringue qui poussera un sperme froid dans mon utérus !

– J’avoue que j’ai pris mon plaisir aussi ! avouai-je.

Je regardais Marc encore étendu, son sexe toujours dressé, il restait du sperme sur sa hampe. Sans réfléchir je mis son bâton en bouche pour lécher les traces de sa jouissance. Ça faisait vraiment très longtemps que je n’avais goûté des fluides de mâles. Ici le goût était pimenté par la cyprine de Bessie, je l’appréciai d’autant plus et me promis de recommencer.

Marc me fit un clin d’œil et se leva pour aller s’étendre nu sur un des bancs de la terrasse. Je le suivis du regard avec envie mais me ravisai en voyant Bessie langoureuse dans le lit. Je lui embrassai les seins amoureusement.

– Alors ? lui demandais-je, tu ne regrettes pas, je suppose ?

– Non, pas du tout ! On aurait dû y penser plus tôt ! Le nombre de fois que je me suis masturbée en douce en pensant à lui ! Que de temps perdu !

– Je sens que tu vas te rattraper !

– Certainement et j’espère que lorsque je serai enceinte, il viendra encore m’honorer.

– D’accord, on trouvera une solution dis-je sans réfléchir.

C’est moi qui répondis ça ? Aurais-je pris goût à ses caresses ? Je suppose que bientôt je lui demanderai de finir de dépoussiérer mon vagin !

Je repris mes baisers sur les mamelons de Bessie qui gémit.

– Oui, continue Emily, je te remercie d’avoir contribué à satisfaire mon fantasme !

– Bessie, non, je viens de me rendre compte que je suis aussi folle que toi ! Le goût de son sperme mêlé à ta cyprine me met en transe ! Sens, touche-moi, je suis mouillée alors que j’ai été transportée au septième ciel il y a quelques minutes à peine ! Carpe Diem ! Laissons nous aller à nos pulsions, ton bébé sera vraiment conçu avec amour !

Marc était nu sur la terrasse, il s’était endormi et son mât s’était incliné. Je m’inquiétais quand même car même s’il était un peu hâlé, je craignis qu’il attrape une insolation en le laissant sans protection.

– Bessie, as-tu de la crème solaire ?

– Oui, j’ai un flacon de protection intense !

– Alors viens, car notre homme, c’est endormi au soleil et si on ne fait rien, notre séjour va se transformer en cauchemar pour lui ! On va enduire son corps et tant pis, si on le réveille.

L’image était assez érotique, Bessie et moi, nues enduisant le corps d’athlète de Marc. Je vis distinctement qu’il se réveilla assez rapidement sous notre action, mais il fit semblant de dormir. Sa bouche arborait un fin sourire de jouisseur que je lui connaissais.

Bessie descendit sur son abdomen et bien sûr, enduisit son sexe tout en douceur, mais sa réaction cette fois montra clairement qu’il simulait le sommeil. Je fus finalement peu surprise de sentir sa main sur mon sein, sa caresse était peu masculine mais me fit un bien fou !

– Tu es réveillé mon grand ! dis-je à son oreille.

– Oui Emily, vous êtes toutes deux tellement douces et gentilles. Et surtout je ne peux résister à vos corps de déesses grecques devant mes yeux !

– Tu ne crois pas que tu exagères un peu ! Bessie a un corps de rêve mais moi ?

– Oui, dit-il en se redressant. Tu n’as rien à envier aux sculptures des déesses ! Tu n’as pas un gramme de graisse aux hanches et aux fesses. Tes seins sont bien dressés et depuis mon adolescence tu me fais bander !

– Mais quelle description Marc ! dit Bessie. C’est à ce point ?

– Oui, mes jolies pilotes, je n’avouerai pas sous la torture, mais j’ai toujours aimé voyager avec vous en avion et souvent je m’endormais sur les longs vols en rêvant que vous étiez à mes côtés.

– Bessie, rappelle-moi d’utiliser plus souvent le pilote automatique pour calmer les fantasmes de notre patron !

– Finalement, dit Bessie, les prochains vols privés risquent d’enfreindre les règles de sécurité. Maintenant que nous sommes libérées de nos complexes !

– Ainsi tu me trouves à ton goût malgré mon âge ?

– Oui, Emily, dit-il en empaumant mes seins et les couvrant de baisers. Tu ne dois pas être jalouse de ta compagne, vous êtes très belles toutes les deux ! Maintenant que je peux profiter sans contrainte de votre nudité !

– Je te propose de profiter du moment pour nous mettre de la crème solaire. Tu as encore un bon moment pour jouir de la vue que nous t’offrons à condition de nous enduire soigneusement.

Marc commença par mes épaules puis descendit lentement sur ma poitrine. Le passage sur mes seins en insistant sur mes tétons me fit vibrer sous ses mains. Bessie l’accompagna en enduisant mes cuisses sans négliger l’intérieur de mes jambes. Puis Marc me tourna sur mon ventre et massa mon dos et mes fesses. Je frissonnai lorsqu’il passa doucement dans le pli entre mes fesses, il s’attardait longuement sur ma rondelle et mon intimité.

Bessie elle, plus vicieuse, profita que Marc avait les mains occupées pour cajoler le sexe dressé de Marc. Je vis du coin de l’œil que cela ne déplaisait pas à notre mâle.

– Bessie ne gaspille pas le fluide de Marc, si tu veux une bonne concentration de spermatozoïdes, tu as intérêt à ne pas le disperser à tout vent !

– Non Emily, je ne fais que le cajoler, car tout à l’heure je compte lui demander une nouvelle « fertilisation ».

– Es-tu sûre que plusieurs fois par jour augmentent tes chances ?

– Je n’en sais rien ! je regarderai sur internet tout à l’heure. Mais maintenant j’ai une excuse pour faire l’amour et j’en ai besoin !

Mais Marc avait d’autres idées. Il souleva mes hanches et mit sa bouche sur mon sexe. Bessie lâcha le bâton de Marc et inséra ses doigts dans mon vagin.

Je ne pus retenir la montée de mon désir et criai leurs noms en jouissant. Marc vint m’embrasser, son baiser avait un goût de cyprine ! C’était le mien !!

NDA : Voilà, je publie plus rapidement mais avec des chapitres plus courts. J’espère que cela vous plaira.

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