Chapitre 70.  L’examen médical de Marc (2)

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### Iona ###

Je compris le problème cardiaque de Marc, ce n’était pas très grave. Une arythmie qui était maîtrisable. Mais le beau mâle et très riche de surcroît me donnait des vibrations dans mon corps que j’eus vraiment du mal à maîtriser.

Je le fis hospitaliser dans une chambre individuelle destinée aux patients importants et fortunés. J’espérai le garder pour la semaine et qu’il commence par achever sa manipulation pour me donner mon orgasme qui devait me libérer.

Je dus attendre son transfert en chambre, la paperasserie est toujours lente même si les garanties financières ne posaient pas de soucis.

Au bout d’un temps beaucoup trop long à mon goût je vins le retrouver dans sa chambre.

– J’ai prévenu tes pilotes, ils vont confirmer que le départ de Volos est retardé. Elles feront l’aller le retour pour sécuriser votre avion puis logeront dans l’annexe réservée aux proches de nos patients VIP. Mais maintenant, je voudrais que tu achèves tes caresses que ton évanouissement a interrompues !

– Je suis désolé Iona, mais si tu t’approches je pourrai te donner ta récompense !

– Oui, contente-toi pour le moment de me masturber et de me caresser les seins, je n’ai pas la patience d’attendre. Je suis trempée, je crois que mes cuisses sont inondées de cyprine. Calme mon désir, pour la suite je repasserai ce soir lorsque les infirmières auront terminé leur ronde !

Marc me fit un grand sourire et d’une main enfonça plusieurs doigts dans mon vagin et de l’autre pinça assez brutalement mes seins. Cette approche me fit un choc inattendu, il était vraiment un expert de la féminité ! Ses caresses sur mon clito et les attouchements de mes tétons me donnèrent un orgasme puissant ! Je dus prendre les draps de son lit pour étouffer mes cris de jouissance.

Sa verge était dressée, mais je m’abstins de le masturber en préférant garder ses forces pour le grand jeu de ce soir.

– Waouh ! Marc, je comprends maintenant qu’on fait la file pour baiser avec toi. Les pilotes font aussi partie de ton harem ?

– Oui et non, elles sont lesbiennes mais adorent aussi les rapports hétéros ! On s‘est déjà envoyé en l’air à quelques reprises !

– Bon, pour des pilotes, c’est normal, mais tant que tu es sous ma surveillance médicale elles devront patienter.

– Ce n’est pas un problème, lorsque tu me rendras ma liberté, nous devons encore faire un voyage de plusieurs semaines dans le Péloponnèse. J’espère que d’ici là tu auras trouvé mon problème cardiaque.

– Marc, normalement ton phénomène d’arythmie peut être maîtrisé, ne t’inquiète pas. Les examens complémentaires confirmeront mon diagnostic ! Ton cœur est fondamentalement solide, mais je pourrai te dire plus dans quelques jours. Une série d’exercices et de simulations d’efforts seront nécessaires.

– Des simulations comme tout à l’heure ?

– Oui, mais on ira par étapes successives !

### Marc ###

Je crois avoir compris que la cardiologue voulait des examens plus « approfondis » ou plus profonds? Je profitai de ce repos forcé pour m’endormir en attendant la tournée des infirmières.

***

J’avais bien calculé, ce n’est que plusieurs heures plus tard qu’une jeune infirmière pulpeuse me réveilla pour prendre ma tension et ma température.

– Vous devrez aussi prendre une pilule que je vais vous apporter avec votre repas, c’est pour vous détendre. Docteur Iona passera après le repas pour vous communiquer les résultats des examens.

Effectivement, un peu plus tard elle m’apporta un plateau-repas et le médicament en me souhaitant bon appétit. Je crus voir dans ses yeux qu’elle m’aurait bien apporté des soins plus intimes !

Mon repas avalé, l’infirmière repassa pour l’enlever, mais je remarquai que sa blouse n’était plus boutonnée jusqu’au cou, mais au moins trois boutons étaient défaits ! Elle se pencha profondément, ce qui était inutile pour prendre le plateau, mais franchement révélateur pour sa poitrine !

J’osai lui demander son prénom car son badge n’était pas très lisible. Elle me répondit qu’elle s’appelait Athéna, « comme la déesse ». Je la trouvais charmante et je suspectai qu’elle avait lu ma fiche personnelle, je devais sans doute l’intéresser. Un client américain dans une chambre VIP, cela ne court pas les rues, dans ce coin perdu de Grèce.

Elle fut dérangée dans sa tentative d’approche par la docteur Iona qui entra toute joyeuse dans la chambre.

– Alors Marc, on récupère ?

Athéna, étonnée de l’adresse de la doctoresse, lui lança un regard chargé de jalousie ou d’envie et quitta la chambre. Iona prit son stéthoscope mais au lieu de placer la membrane de son appareil sur ma poitrine, elle défit les draps pour découvrir ma verge et écouta les pulsations au niveau de mon sexe bien dressé !

– Oui, l’irrigation sanguine est bonne à ce niveau !

Elle défit quelques boutons en bas de sa blouse, se mit à califourchon sur le lit et s’empala sur mon engin avec un soupir de satisfaction.

– Ah, c’est bien ce que je pensais, me dit-elle, la taille est parfaite dans mon vagin ! Je comprends ton succès auprès des femmes. Je suis jalouse de Lora et d’Olympe. Je les ai eus au téléphone toute à l’heure, je les ai rassurées en disant que je te gardais pour la semaine. Elles ont immédiatement compris que je voulais examiner ton cœur en action !

– Je comprends, disais-je en prenant ses seins à pleine main. La simulation de l’acte sexuel ne suffit donc pas ?

– Non, médicalement il vaut mieux refaire cet examen. Oh, Marc fait moi jouir ! Ton engin est bien irrigué, je veux que ton cœur augmente son rythme !

Elle devait être en manque car elle eut un premier orgasme après quelques minutes alors que je commençais à peine à sentir mon corps se mettre en harmonie. Je sentis un flot de cyprine s’échapper de son antre, pendant qu’elle augmenta la cadence.

– Ouiiii, Marc tu es divin ! Je demanderai que tu me désignes comme ton cardiologue, un examen mensuel s’impose, mais je peux venir à Athènes pour t’examiner.

– Oui dis-je, si tu aimes la voile, on pourra le faire sur mon bateau avec Lora et Olympe !

– Oh ouiiii, encore Marc, laisse-toi aller ! Envoie ton jus ! Il est grand ton bateau ?

– Oui, dis-je en subissant ses assauts. Assez grand pour abriter une dizaine de filles !

– Oui, je comprends, cela ne m’étonne pas que tu ne tiens pas le rythme ! tu devras te calmer !

Son corps était vraiment profondément empalé sur ma verge, sa blouse blanche totalement ouverte, me donnait une vue intégrale sur ses seins fermes mais secoués quand même par ses mouvements frénétiques. Puis soudain elle émit un râle profond, son vagin se serra autour de ma verge. Elle se plia sur mon corps, pris dans les secousses de son orgasme, ce qui amplifia le mien. J’eus un voile noir devant les yeux mais je restais conscient.

– Respire profondément Marc, expire et respire à nouveau pour bien remplir tes poumons et recommence.

Je sentis la tension se réduire autour de mon cœur, mais comme d’habitude ma verge ne faiblit pas.

– C’est habituel que tu ne débandes pas après avoir éjaculé ?

– Oui Iona, mes compagnes en profitent en général pour enchaîner une deuxième mi-temps !

– Ah oui, je comprends, d’accord, mais avant de relancer le match, tu vas me faire une dizaine d’exercices de respiration profonde.

Pendant ce temps elle me retourna pour que je sois au-dessus d’elle dans ce lit quand même pas très large.

– Vas-y maintenant, défonce-moi !

Il ne me fallut pas beaucoup d’encouragements, elle était étonnamment étroite et même avec sa production abondante de cyprine, les frottements de ma verge dans son vagin firent grimper nos tensions à leur sommet. Je dus mettre ma main sur sa bouche pour éviter d’ameuter tout l’hôpital, elle fut prise d’une vague puissante qui déclencha mon éjaculation.

– Respire Marc, ne te laisse pas aller en apnée, je crois savoir ce qui ne va pas quand tu jouis !

Elle sortit du lit et écouta longuement mes battements de cœur avec son stéthoscope m’offrant une vue splendide sur ses seins où la sueur perlait. J’attendis respectueusement la fin de son auscultation pour lécher les gouttes de transpiration sur sa poitrine. Elle se laissa faire, se rapprochant même pour mieux sentir ma bouche sur ses seins. Ce qui provoqua encore des soubresauts dans son corps. Décidément, notre union créait des étincelles !

– Oui, Marc, je confirme que tu es un grand jouisseur mais, sous réserve d’examens complémentaires, tes évanouissements sont dus à l’apnée consécutive à ta jouissance. J’ai lu dans ton dossier que tu fais de la plongée. N’as-tu jamais eu de problèmes durant tes plongées ?

– Non, je respire bien en plongée, mon instructeur prétend que je consomme plus d’air que la normale. Je dois parfois écourter le temps de plongée lorsque je vois que j’atteins ma réserve d’air.

– Bien Marc, demain on va mesurer ta capacité pulmonaire. L’hôpital est équipé d’un caisson barométrique pour les accidents de plongée. Cela nous permettra de bien comprendre ta respiration. En tout cas, je vais être un peu cru, mais tu baises vraiment bien ! à demain, dors bien. Si tu as besoin de quelque chose n’hésite pas à sonner le service d’étage. Mais ne te laisse pas faire par Athéna, je crois qu’elle voudrait essayer ton engin ! Ce n’est pas le moment ! Tu dois jouir que sous ma surveillance ! Je ne tiens pas à tenir la chandelle pour qu’elle puisse connaître le Nirvana en ta compagnie !

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