Chapitre 68. Retour à Athènes

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### Marc ###

Je fus réveillé ce matin par Lora qui revint à bord, je sortis de la cabine pour l’embrasser.

– Bonjour Marc me dit-elle, je profite que nous sommes seuls pour te remercier au nom de mes parents et de moi-même pour le contrat que tu leur as proposé. Nous serons donc copropriétaires du verger et de la vigne ! Je ne sais pas comment te remercier, je serai toujours reconnaissante pour ce geste et disponible pour les nuits où tu seras seul !

– Lora, tu ne me dois rien ! Je l’ai fait pour tes parents et pour la Fondation. Ce sera super d’avoir un endroit où les enfants pourront continuer leur convalescence et pour les orphelins, un endroit où ils seront chez eux en attendant qu’on leur trouve une famille d’accueil. Ils pourront toujours y revenir pour se ressourcer et y venir en vacances. On commencera modestement mais cela permettra à tes parents d’avoir de l’animation à proximité et ils pourront jouer aux « grands-parents » en attendant que tu leur donnes des vrais petits-enfants !

– Ça, ce n’est pas encore pour demain ! Je n’ai pas envie de m’attacher à un homme autre que toi. Rassure-toi, je ne veux pas lier mon existence à toi, mais que tu me fasses un ramonage de temps à autre, ce ne sera pas du refus, me dit elle en plaçant sa main fermement sur mon sexe.

Comme j’étais en maillot, mon harpon réagit immédiatement et Lora eut un sourire appréciateur.

– Compris ! Cela te permettra aussi de surveiller ma santé !

– Oui, j’ai demandé à recevoir les résultats des analyses et examens que tu subiras la semaine prochaine. Olympe et moi serons tes médecins personnels et locaux en liaison avec ton toubib US.

– D’accord, tu m’aides à préparer le petit-déjeuner pour l’équipage, cela nous permettra de lever l’ancre rapidement et de rejoindre le Pirée. On aura encore demain dimanche pour ranger l’intérieur de l’Eileen et lundi Emily et Bessie me conduiront à Larissa comme convenu !

– On peut rester avec toi jusqu’à lundi matin alors ?

– Oui, dimanche matin on fermera le bateau et vous pourrez rester à l’appartement de la marina jusqu’à lundi matin. Dimanche soir on fera un barbecue sur la terrasse.

Olympe sortit de la cabine encore toute endormie suivie de Corina avec des cernes sous les yeux. Elles étaient toutes les deux juste habillées d’un t-shirt trop court pour cacher leurs fesses et leur intimité rasée de près. Elles me firent un long « bouche-à-bouche » en se serrant contre moi.

– Merci de m’avoir laissé avec Olympe, dit Corina, j’en ai bien profité ! Mais ce matin, je vais encore dormir un peu si tu n’as pas besoin de moi pour la manœuvre.

– Non, Corina, il n’y a pas de vent et la mer sera calme. On rentrera au moteur !

– Oh ! C’est dommage, dit Emily qui nous rejoignit, j’aurais aimé une course à la voile !

– Ce sera pour une autre fois ! On aura encore d’autres occasions à notre retour du Péloponnèse ! dis-je avec un clin d’œil.

Elle comprit l’allusion et m’embrassa sur la joue. Bessie nous rejoignit et nous nous installâmes à l’extérieur dans le vaste cockpit pour déjeuner.

Après le repas, Corina nous aida encore à larguer les amarres puis rentra se coucher après m’avoir embrassé longuement sous les yeux des autres femmes. Elles purent voir le bas-ventre de Corina découvert car elle leva ses bras pour atteindre mon cou.

– Ce soir je suis à toi ! me murmura-t-elle à mon oreille, je t’aime !

Je mis le cap au large et comme il n’y avait pas de bateaux aux environs, je fus bientôt entouré de quatre sirènes aux seins nus pour mon plus grand plaisir.

– Tu aimes notre compagnie ? demanda Olympe.

– À condition que vous ne soyez pas offusquées si je bande en vous regardant !

– Le contraire nous eut vexés ! dit Bessie.

Emily et Bessie se couchèrent dans les coussins du cockpit, se caressant mutuellement et se pinçant les tétons. Puis Bessie sans gène aucune, introduisit sa main sous la culotte de maillot de son amante et Emily ne peut retenir un gémissement de plaisir. Je tenais la barre mais je vis le spectacle qui se passait sous mes yeux et ma verge en érection poussa contre l’élastique de mon maillot.

Lora et Olympe ne quittèrent pas des yeux le spectacle tout en me jetant des regards pour connaître ma réaction. Connaissant les goûts de mes pilotes, je n’étais pas surpris sauf que c’était la première fois qu’elles se caressaient devant les chirurgiennes.

Lora se plaça derrière moi et descendit mon maillot pour libérer ma verge qui sortit de sa prison en se dressant verticalement. Olympe qui avait compris la manœuvre de sa collègue s’introduisit dans l’espace entre le volant de la barre et mon corps pour embrasser goulûment le gland dénudé.

– Laisse-toi faire dit Lora, on ne va pas te faire du mal, juste calmer la tension de ton engin pour ralentir les battements de ton cœur !

Effectivement, les caresses des deux femmes étaient douces, Lora massait mes abdominaux en serrant ses seins contre mon dos, tandis qu’Olympe pompait doucement mon chibre en caressant mes testicules. C’était divin ! Olympe parcourut longuement ma lance avec sa langue puis suça avec un plaisir non dissimulé la pointe de mon gland tout en me regardant dans les yeux. Son regard exprimait la jouissance de me caresser. Lora accentua encore mon érection en me faisant un examen de ma prostate par l’anus. Je ne pus retenir un gémissement qui fit que les pilotes interrompirent un instant leurs caresses pour regarder dans notre direction.

J’eus une éjaculation douce sans force brutale dans la bouche d’Olympe qui se releva et partagea mon fluide avec Lora dans un bouche-à-bouche tout en me serrant contre elles.

– Voilà dit Olympe, ton cœur est resté calme, et ta tension sexuelle est descendue !

Les deux pilotes se levèrent pour rejoindre le groupe autour de mon corps. Elles ne résistaient pas à caresser les seins des chirurgiennes et Bessie n’hésita pas à lécher le restant de sperme sur ma verge. Ce traitement inattendu redonna vigueur à mon harpon.

– Vas-y doucement dit Lora à la jeune pilote, tu n’auras pas plus de son jus, car en attendant l’examen médical de Marc, il ne faut pas abuser de son rythme cardiaque !

Bessie obtempéra, se disant sans doute que la semaine prochaine, elle pourra disposer de mon corps sans limite. Elle remonta mon maillot pour cacher l’objet de sa convoitise et les pilotes entraînèrent les chirurgiennes sur les couches du cockpit dans un quatuor de lesbiennes. Ce n’est qu’à la remontée de Corina qu’elles s’interrompirent. Corina les regardait se désunir, mais son regard lubrique en dit long.

– Je me serais bien jointe à vos ébats mais nous approchons des voies des ferries et il faudra se rhabiller !

Les cinq filles cachèrent leurs seins et remirent leurs culottes de maillot. À L’entrée dans la marina, Vangelos (l’employé de la marina) vint donner un coup de main avec les amarres tout en ayant un regard admiratif à mon équipage exclusivement féminin.

NDA : Voilà ! un chapitre un peu plus court mais chaud ! Pendant l’été je ne garantis pas de publications fréquentes, mais je ne vous laisse pas tomber !

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