Chapitre 50 – Olympe et les autres filles se défoulent ! 

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### Marc ###

La réflexion d’Olympe ne me surprit pas tant que ça. Elle était belle et je suis sûr qu’elle passerait aussi par la case Corina, qui lors de sa présentation avait déjà montré son intérêt.

Finalement, j’avais sur le Zéphyr deux équipières de voile confirmées et cela me rassurait. La saison du Meltem avait commencé et à trois, on ne serait pas de trop en cas de coup dur.

Nous descendions plein Sud dans le golfe Saronique en évitant le chenal réservé aux cargos et ferries. Le vent Nord-est était assez instable et refusait régulièrement. Avec le risque d’empanner brutalement. En accord avec Olympe, on corrigea le cap pour garder le vent à notre gauche (babord amures) en direction de l’île de Hydra. Avec un peu de chance avec une vitesse de 3 nœuds on pourrait arriver en vue de Tolo ce soir, dans le cas contraire on cherchera un abri le long de la côte.

À l’avant Corina, Lora et Sofia qui les avait rejoints, étaient occupées dans un jeu de caresses qui me fit bander au-delà du raisonnable. Vu de loin, ce fut discret, sauf si quelqu’un avait eu des jumelles très puissantes. Je surveillais régulièrement l’horizon mais dans un périmètre normal, il n’y avait pas de quoi s’inquiéter. Corina connaissait d’ailleurs la consigne en cas de voisinage curieux de cesser les jeux érotiques.

Par contre Olympe ne perdit pas une miette du spectacle.

– Marc, viens à mon aide ! Je suis trempée d’excitation, je laisse une trace humide sur le banc du cockpit. De plus ton engin commence à déborder de ton maillot ! Fait quelque chose, maintenant ! Ou je laisse la barre pour me masturber ou demander aux filles de me calmer.

– J’ai mieux à te proposer, ce sera plus efficace mais discret ! Viens t’asseoir sur mon mat !

– Oh, oui ! Sans aucune hésitation !

Elle fit comme demandé, elle écarta son slip de bain qui était juste un string, abaissa mon maillot, libérant mon mât de misaine. Elle s’empala dans un soupir de jouissance contenue. Effectivement son antre coulissait aisément car rempli de cyprine. Elle garda le cap surveillant le vent, moi je pris ses seins. En pinçant ses aréoles, ses tétons déjà forts érigés devinrent encore plus imposants.

– Marc, tu me fais un bien fou dit-elle en haletant au rythme de ses mouvements sur ma verge.

– Je demande à dormir avec toi ce soir, mon capitaine ! continua-t-elle.

– Permission accordée, mais tu ne sais pas à quoi tu t’exposes !

– Tu peux me baiser toute la nuit ! dit-elle. Je suis clean et je prends la pilule ! Alors donne-moi le plaisir d’éjaculer dans mon vagin !

– Profite d’abord !

Je mis quelques doigts pour masser son clito et ce que je craignais arriva, son orgasme explosa et elle lâcha la barre franche que je pus rattraper à temps évitant l’empannage. C’était tellement rapide que les filles à l’avant ne remarquèrent rien.

Olympe fut pliée en deux, vibrant pendant de longues minutes ce qui finit par déclencher ma montée de sève. Elle parvint à se redresser et reprendre la barre pendant que je me vidai dans son vagin. Je pus appuyer mon front contre son dos pour récupérer de mon aveuglement heureusement très bref.

– Merci Olympe, on remettra ça ce soir ! dis-je.

– Tu es toujours en érection ? me dit-elle.

– Ne t’inquiète pas, je ne débande pas systématiquement après mon orgasme, ce qui plaît à mes partenaires.

– Alors ne bouge pas ! Je te garde encore un peu ! Mais je devrais quand même me lever pour sécher mon intimité, je reviens tout de suite ! Prends la barre !

Elle descendit quelques instants dans le carré et revint avec un paquet de mouchoirs.

– Voilà, j’ai essuyé un peu mais je reprends ma place ! Défonce-moi puisque ton engin est toujours prêt pour un deuxième tour !

Elle me chevaucha à nouveau mais en me faisant face cette fois. Elle fit tout le boulot en poussant sur ses jambes musclées. Cette fois nos orgasmes furent synchrones et elle se serra fort contre moi pour étouffer nos cris de jouissance.

Elle plaqua sa bouche sur la mienne pour une bataille de langues.

– Marc, tu es vraiment un bon coup ! Corina n’est pas jalouse ?

– Non Olympe, elle se rattrapera bien en couchant avec toi bientôt. En attendant on va reprendre notre navigation car on s’approche de notre point de virage (way-point). On va virer derrière l’île de Idra, pointer vers l’île de Spetses en gardant bonne distance pour éviter la petite île au Sud. Puis on remontera au milieu du golfe Argolique jusqu’à ce qu’on approche de Tolo. Lorsqu’on sera là-bas, on vérifiera avec la carte et le livre des ports comment on effectuera l’approche. On pourra amarrer ce soir, car si le vent se maintient on fera bien un peu plus que 4 nœuds.

– Marc, regarde un peu ce qui se passe devant, Sofia a trouvé un nouveau jeu, elle est en train de lier Lora avec un cordage !

– Effectivement, mais elle devra faire attention les cordages du bateau sont imprégnés de sel ! Ces cordages vont provoquer des brûlures. Attends, Olympe, dans le coffre à tribord il y a des cordages en chanvre qui n’ont jamais servi. Si Sofia veut faire du bondage, ils seront plus indiqués. Je ne savais pas que la spécialiste en histoire était amatrice de sado-maso !

Olympe descendit dans la cabine et prit les cordages de chanvre neufs, ils étaient de différentes grosseurs et pouvaient être utilisés à des usages non nautiques.

– Dis quand même à Sofia de ne pas le faire maintenant, je préférerais qu’elle fasse cela dans la discrétion du carré, ce soir, on pourra en profiter tous ensemble.

Olympe revint un peu plus tard.

– Les filles ont compris, Sofia fera une démonstration ce soir, dit-elle.

– Reviens t’asseoir sur moi, je parie qu’elles n’ont rien vu de notre manège.

– Non Marc, je viens, mais comme je dois barrer, je me mettrai dans le sens de la marche. Tu pourras toujours me caresser et enfoncer ton mat entre mes fesses !

– D’accord, de toute façon elles ne verront pas grand-chose lorsqu’on est assis dans le cockpit !

– Oui, de plus elles prennent des bains de soleil !

– Je peux te poser une question indiscrète ?

– Oui, Marc, je verrai si je te répondrai ou non.

– Tu es célibataire ?

– Oui, Marc, j’ai rompu il y a déjà plus d’un an. Il travaillait dans la même clinique que moi, mais j’ai découvert qu’il était marié et je n’ai pas voulu qu’il vienne vivre avec moi. Moi, j’habite chez mes parents, et je ne voulais pas quitter le confort de la maison parentale.

– Il a donc aussi perdu son emploi ?

– Oui, mais il était de mèche avec les fraudeurs à la Sécurité sociale et il finira en prison. Marc je préfère rester célibataire et tirer mon coup selon les opportunités.

– Olympe, Corina et moi, on n’a pas d’exclusive, peut-être qu’un jour, mais on n’a pas encore décidé de se mettre ensemble. Corina te demandera certainement si tu veux coucher avec elle, n’hésites pas. Elle adore Lora et Sofia, mais c’est pour du sexe seulement. Par contre je te rassure, je suis le seul homme dans sa vie et je ne te cache pas que j’aime voir ses ébats avec ses copines et cela m’arrive de faire des trios.

– Mais Marc, tu es le responsable de la Fondation donc mon patron !

– Non, Olympe, dans mon appart, sur le bateau, je ne suis pas ton patron et tu n’es pas soumise au contrat d’emploi. Tu es libre, tu dors ou tu baises avec qui tu veux sans obligation ni liens. Je ne demande pas l’exclusive, mais en respectant les mesures d’hygiène !

– J’ai compris, dit-elle, Mais comme tu es le seul mâle, je vais te demander de me combler dans un premier temps, ta verge me plaît et je ne demande rien d’autre pour le moment. Si Corina veut que je partage, pourquoi pas ? En retour, je peux moi aussi poser une question indiscrète ?

– Oui, ne te gêne pas !

– Lora m’a informé que tu es le patron de la Fondation, mais tu n’affiches pas ta fortune ? D’accord tu as un bel appart, mais tu pourrais te permettre un grand bateau ?

– Je loue l’appart, je n’ai pas encore de biens immobiliers à mon nom. Le Zéphyr, c’est pour mon plaisir ! Je sais le manœuvrer seul, je veux rester discret. Au club sportif, je suis inscrit comme un membre ordinaire, seule Corina sait qui je suis. Si cela t’intéresse je te donnerai des informations me concernant, tu seras aussi conviée aux activités philanthropiques de la Fondation, tu rencontreras les donateurs qui chaque année déboursent des millions de dollars américains pour garantir le fonctionnement de cette œuvre fondée par mes parents. Avec Lora, tu fais partie de mon premier cercle de collaboratrices médicales. J’ai confiance en vous et je tiens à ce que vous puissiez travailler pour le bien-être des enfants.

– Je comprends, Marc, tu es aussi discret sur tes relations en dehors de la Fondation ?

– Oui, j’évite les journalistes et tous les réseaux sociaux où les gens racontent n’importe quoi sans réaliser le tort qu’elles font. Les rumeurs sont très faciles à créer, mais très difficiles à éliminer. Oui, Olympe, si tu rentres dans mon cercle intime, tu devras aussi rester discrète !

– Cela ne me pose aucun problème Marc. Je n’ai pas de sentiments pour toi, autre que de la sympathie. J’ai des besoins sexuels et je cherche à les combler avec toi, Corina et Lora et personne d’autre. Tu n’auras rien à craindre de moi, car je suis heureuse de travailler à nouveau. J’ai beaucoup souffert à cause des gens qui ont failli démolir ma vie professionnelle par un appât du gain au détriment des moins nantis. Je te demanderai de me donner un coup de main pour déposer une plainte au civil contre ces gens. Cela réveillera peut-être l’action en pénal qui s’enlise pour des raisons que je ne comprends pas.

– C’est d’accord, je t’aiderai sans apparaître en première ligne. Je demanderai à certaines personnes de pousser les enquêtes car je crois qu’on est à la surface d’une série de malversations qui n’ont pu se réaliser qu’avec des complices actifs ou passifs.

– Merci, Marc ! Mais pendant qu’on bavarde, je constate que le vent ne nous aide plus beaucoup ! Je crois qu’il faudra augmenter la vitesse avec l’assistance du moteur.

– Tu as raison Olympe, je démarre le moteur mais laissons les voiles encore tant que le vent nous est encore favorable.

– D’accord, mon capitaine.

– Olympe, puis-je te suggérer de remettre de la crème solaire, car sinon, ce soir, lorsque tu seras dans mon lit, tu risques de souffrir d’un méchant coup de soleil.

– D’accord Marc, mais comme je suis occupée à barrer, tu peux peut-être prendre ma crème dans mes affaires et l’appliquer partout sur ma peau, me dit-elle avec un clin d’œil.

– Volontiers Olympe, mais désolé si cela augmente ton envie de sexe ! car j’adore mettre de la crème solaire sur les seins de mon équipage.

Je revins donc avec le lait solaire que je mis consciencieusement sur ses épaules, ses seins, son dos, enfin quoi, sur toute sa peau exposée en ne négligeant pas ses cuisses et son entrejambe.

– Marc, je suis d’accord que tu masses mes seins car ils sont fragiles, mais sur le haut de mes cuisses, tu abuses. Je me vengerai ce soir lorsqu’on sera dans l’intimité de la couchette !

– Il me semble pourtant avoir détecté des rougeurs sur tes cuisses.

– Marc, tu n’es pas sérieux, ces rougeurs-là, ne sont pas causées par le soleil, mais par le frottement d’un corps étranger entre mes cuisses.

– C’est bien ce que je disais, il y a des rougeurs à cet endroit !

– Oui, Marc mais tes doigts sous mon string, c’est trop fort ! Je t’en supplie, calme-toi ou j’enlève ton maillot et je le jette par-dessus bord ! Tu es trop bon lorsque tu me caresses ! J’ai hâte d’être dans tes bras ce soir ! Et je dirai qu’en tant que médecin tu as une excroissance dans ton short qui demande une intervention urgente !

– Non, Docteur, c’est un gonflement naturel, il survient régulièrement lorsque je suis en compagnie d’une belle fille avec des seins admirables !

– Tu veux que je les couvre ?

– Non, Docteur, c’est un signe de bonne santé !

– C’est vrai ! Marc, promis ce soir, je soignerai ton mal !

– Merci Docteur !

– De toute façon, je vois le reste de l’équipage qui rapplique vers nous ! Il y a d’autres rougeurs à soigner !

– Nous avons deux médecins à bord ! De plus Lora n’a pas de responsabilités dans la conduite du bateau ! Elle est à même de soigner Corina et Sofia. C’est surtout Corina avec sa peau de rousse qui a besoin de protection. Moi, je surveille la course du navire !

***

### Corina ###

Marc avait raison, en m’approchant du cockpit, j’avais entendu ses dernières paroles malgré le bruit du moteur ! Olympe et Marc tout en naviguant ne s’étaient pas ennuyés ! De l’avant du bateau, j’avais quand même cru comprendre que la position d’Olympe sur les genoux de Marc n’était pas innocente. J’étais même contente, car j’étais certaine qu’Olympe n’avait pas de complexes !

Lora m’enduisit de lait solaire protecteur, je trouvais qu’elle insista fort sur mes seins en jetant un regard vers Marc et plus spécialement vers son short ! Cette balade en mer avait bien commencé, Sofia était très jalouse d’Olympe, j’avais dû la calmer car elle m’avait confié que Marc ne voulait pas coucher avec elle ce soir mais préférait la chirurgienne. Lora comprit également qu’il fallut intervenir et à nous deux, nos caresses sur ses seins et son intimité parvinrent à avoir raison de son dépit. Au bout de deux orgasmes successifs Sofia se calma, mais Lora était troublée et cela se voyait à la tâche humide sur son slip de bain. Je n’osais pas trop regarder mon entrejambe car je sentis un écoulement que je parvins à essuyer avec le drap de bain !

Mais maintenant sous le massage de Lora, dans le cockpit où j’étais assise à côté de Marc je devais vraiment m’accrocher ! J’avais eu la bonne idée de prendre le drap avec moi car ma nudité totale ne cachait pas du tout mon désir de sexe et j’espérais que ce soir Sofia et Lora parviendraient à me satisfaire !

Après ce délicieux massage de Lora, je descendis dans la cabine pour mettre un short, car Marc voulait carguer les voiles et je pris en charge le génois pendant qu’il s’occupa de la grand-voile.

L’arrivée à Tolo ne posa pas de problème, Olympe fit la manœuvre avec brio. Marc proposa d’aller manger au restau qu’on avait découvert à notre passage lors de la prise de connaissance des parents de Lora.

Lora téléphona à ses parents qui promirent de venir le lendemain.

NDA : La nuit ne fait que commencer, suite la semaine prochaine !

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