Chapitre 44. - Marc et Lora, baisers et caresses.

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### Corina ###

Au réveil, je me souvenais de la chevauchée de la veille et des douleurs dans les jambes. Mais Marc ne fut pas ingrat et me fit un massage de première classe. Ses mains parvinrent à éliminer les petites crampes et douleurs et me remirent d’aplomb !

– Bien, dit Marc, on va récupérer notre doctoresse et discuter de la stratégie pour désengager Lora de l’hôpital et la remplacer par une équipe financée par nous.

– On aura cette discussion en cours de route ?

– Non, je crois qu’on peut rester encore un peu chez ses parents. Cela leur permettra de comprendre les changements de la carrière de leur fille.

En arrivant chez ses parents, Lora me fit un baiser sensuel sur la bouche.

– Tu as bien dormi Corina ? Tu as l’air fatiguée ?

– Rassure-toi Lora, la soirée fut agitée, mais j’ai très bien dormi !

– Vous voulez déjà rentrer à Athènes ? Dit-elle un peu inquiète et triste dans la perspective de partir.

– Non Lora, Marc voudrait discuter encore la stratégie pour te désengager de l’hôpital et comment présenter le projet de la nouvelle équipe médicale financée par la Fondation. Je crois aussi que Marc voudrait aussi parler à ton papa.

– Ah, c’est une bonne idée, car mon père devrait se ménager un peu ! Je l’ai ausculté hier soir et ce matin. Le cœur de papa est fatigué, il devrait passer la main de la gestion de l’exploitation !

– C’est ce que je lui ai suggéré hier ! dit Marc.

– Marc, dit Lora, papa t’apprécie beaucoup, tu devrais lui répéter ton opinion !

– Sans vouloir me mêler de vos affaires familiales, je suggère qu’on s’assoie tous autour de la table, comme cela l’information circulera pour chacun avec la même version.

– Bien Marc, dit la maman de Lora avec un sourire entendu. Il est encore tôt mais voulez vous boire quelque chose ? De l’eau, du vin, ou thé ou café ?

Personne ne demanda du vin, moi je pris du thé. La maman servit du café filtre aux autres convives.

– Je vous sers du café filtre, dit-elle car le café grec n’est pas toujours apprécié par les étrangers, et pour mon mari ce n’est pas recommandé. Ma fille vous le confirmera !

– Bien dit Marc, commençons par le plus important. Je vous confirme que nous voulons engager votre fille dans notre groupe. Ce faisant nous affaiblissons l’équipe médicale pédiatrique mais en compensation je vais proposer à l’hôpital de financer l’engagement d’une équipe supplémentaire. Ce financement se fera sur base d’un budget annuel renouvelable tous les ans. Votre fille sera la supérieure de cette équipe mais ne dépendra pas de l’hôpital mais rapportera à moi ou à défaut à Corina. Lora sera la consultante médicale de la Fondation mais elle pourra toujours pratiquer des opérations si elle le désire avec l’accord de l’hôpital. Est-ce que c’est clair pour vous, les parents ? Est-ce que cela vous rassure quant à son avenir ?

– Il faudra négocier cela en douceur, dit le papa, les Grecs peuvent être très sensibles si on leur impose une autre méthode de gestion et surtout s’ils ont l’impression de leur faire la charité !

– Oui, dit la maman, mais pourquoi faites-vous cela et pourquoi avoir choisi notre fille ?

– Madame,

– Marc, non je m’appelle Dafni et mon mari Kostas, je crois qu’on peut continuer ainsi.

– D’accord Dafni, la première chose à vous préciser et qui vous rassurera : la fondation gère des fonds considérables de plusieurs centaines de millions de dollars américains. Ma maman a toujours voulu faire œuvre de bienfaisance en faveur des enfants accidentés et je perpétue sa volonté. Pourquoi votre fille ? Corina et moi nous l’avons vu travailler et se donner corps et âme à sauver les enfants. Lors de la venue de son professeur pour sauver la petite Rina, j’ai profité de son voyage retour vers la Suisse pour parler avec lui au téléphone. Je voulais le remercier personnellement d’avoir bien voulu se libérer à la demande de son ancienne étudiante. À ma surprise, il me connaissait de réputation et nous avons parlé longuement durant la durée du vol d’environ une heure. J’ai convenu avec lui de lui rendre visite bientôt, car j’envisage de l’aider via la Fondation. Bien sûr, je lui ai demandé son opinion sur toi, Lora. Il m’a confirmé que tu es une excellente chirurgienne, ne rougis pas, et il trouve que tu mérites mieux. Je lui ai parlé de mon projet, il pense que tu es la personne idéale pour ce travail ! Voilà Dafni, cela répond-il à votre question ?

Là, j’étais époustouflée, ce grand cachottier de Marc, ainsi sans m’en parler, il avait demandé l’opinion du professeur en toute discrétion ! C’est du Marc tout craché, son cerveau travaillait vite !

– Oui Marc, tu as bien expliqué et justifié ton choix, merci !

– Super ! dit Marc, bon j’ai un deuxième volet à parler avec vous tous. Kostas, Dafni et votre fille Lora, vous vivez dans un endroit magnifique. Hier, Kostas vous m’avez montré les oliviers et la vigne. Kostas vous n’êtes plus tout jeune et sans trahir le secret médical, Lora nous a confié que votre cœur se fatigue et je voudrais vous soulager un peu en investissant. J’ai un ami à qui je voudrais montrer vos oliviers et demander son avis. Il m’a parlé l’an dernier que l’huile d’olive en Grèce pouvait être mieux commercialisée avec un label AOC.

– Marc, dit Kostas, je t’en ai parlé hier mais cela ne m’intéresse plus tellement. Lora est diplômée et va bien gagner sa vie grâce à vous ! Dafni et moi, nous nous contentons de peu.

– Je comprends Kostas mais ma proposition est de vous faciliter la vie et de vous donner un revenu confortable pour profiter ici sur vos terres tant que votre santé le permet et plus tard avec toutes les facilités lorsque vous serez plus vieux. Lora pourra ainsi venir vous voir sans se soucier de votre confort.

– Je ne saisis pas totalement Marc ! Vous ne voulez quand même pas acheter mes terres ?

– Oui et non, pour finaliser mon projet je voudrais l’avis d’un expert qui pourra nous dire si l’exploitation est viable. Dans le cas contraire j’achèterai vos terres en viager au bénéfice de votre fille si plus tard elle veut récupérer vos terres à votre décès. Si par contre l’exploitation est viable, je rachète l’entreprise en partie mais vous serez mon associé et vous restez tant que vous voudrez sur vos terres. Mais un gérant sera mis à la tête de l’entreprise sous ma gestion et vous Kostas serez mon consultant. Je suis désolé de vous brusquer mais vous avez tout le temps de vous décider.

– Oh Papa, ce serait une bonne solution pour que tu te reposes et profites de la vie ! s’écria Lora.

– Lora, Marc, oui je conviens que la proposition est soudaine, mais elle me semble envisageable. J’ai déjà souvent pensé m’arrêter mais je ne pouvais pas me résoudre à vendre et quitter cet endroit !

– Kostas, dit encore Marc, désolé je ne voulais pas vous brusquer, mais cette idée a germé hier en parlant avec vous. Il faudra de toute façon attendre l’avis d’un expert et convenir d’une valeur qui vous convient.

– Marc, je sais que tu réfléchis vite, dis-je, mais tu es sérieux ?

– Oui, Corina, je suis très sérieux et c’est la raison pour que j’en parle maintenant à tous ici présents. Kostas fait ce qu’il lui plaît bien sûr, mais je veux être le premier sur la liste des personnes qui pourraient proposer d’acheter cet endroit !

– Marc, dit Dafni, tu me plais beaucoup ! Je serai soulagée si Kostas décidait de se reposer !

Je comprenais la précipitation de Marc. Lora, fille de Kostas mais aussi médecin s’inquiétait de l’état de santé de son père. La proposition de Marc ouvrait une belle porte de sortie pour Kostas et Dafni leur permettant une belle retraite. Et puis qui sait, c’était peut-être un bel investissement si l’expert estimait l’exploitation viable.

### Marc ###

Pour moi la messe était dite, ma proposition était dans le camp de Kostas et sa famille. Je voulus prendre l’air et le laisser discuter entre eux. Je sentis une présence dans mon dos en sortant et fus happé par la bouche de Lora qui me fit un baiser passionné. Je me laissai faire et répondis à sa pulsion. Nous restâmes à échanger notre salive pendant un bon moment, jusqu’à être interrompus par Dafni qui se demanda où nous restions.

– Lora, est-ce un remerciement à Marc ou un complot ?

– Non Dafni, n’en croyez rien ! dis-je. C’est juste un geste de remerciement, je ne complote pas de séduire votre fille avec un contrat d’emploi et l’achat de vos terres. Ne soyez pas fâchée, Ce n’est pas la première fois que Lora m’embrasse, c’est juste un geste sans arrière-pensée !

– Marc, je veux bien vous croire, mais ma fille a connu une grande déception amoureuse et je ne veux pas revivre cela !

– Maman, ne t’inquiète pas, je te répète que je ne suis pas amoureuse de Marc ! Ce geste de tendresse est juste un remerciement !

– Bon, vous restez manger je suppose ?

– Oui Dafni, ensuite nous prendrons la route. Je vous laisse mes coordonnées, je vous recontacte pour fixer un rendez-vous lorsque l’expert pourra passer.

– D’accord, Marc s’il vous plaît, je ne suis pas encore rassurée mais peut-être est-ce parce que tout cela est si soudain.

En retournant à l’intérieur je vis le regard interrogatif de Corina, je lui fis un signe des yeux de ne pas s’alarmer.

Le repas fut joyeux et détendu, je sentis que Dafni me regardait souvent, sans doute pour se convaincre que sa fille n’était pas sous mon influence. Kostas nous servit un vin léger mais excellent, mais comme je devais prendre la route, je restai raisonnable.

En arrivant dans les faubourgs d’Athènes, Corina me demanda de la déposer chez elle, elle voulait avancer dans son travail. Après l’avoir déposée devant chez elle, je pris la route vers l’hôpital.

– Marc, si cela ne te dérange pas, je voudrais d’abord discuter avec toi de la stratégie de la discussion que nous devons avoir demain avec la direction de l’hôpital. Nous serons plus à l’aise chez toi.

– D’accord Lora, mais alors tu resteras dans la chambre d’amis et nous irons demain ensemble à l’hôpital.

Dans l’ascenseur, Lora me sembla un peu inquiète et fuyait mon regard. Aussitôt la porte franchie, elle se dirigea vers la chambre d’amis. Quelques minutes plus tard, elle réapparut vêtue d’une petite robe légère alors qu’en arrivant elle avait un top et un jean. Je vis aussitôt qu’elle ne portait rien sous sa robe !

– Lora, si tu as trop chaud, je peux baisser la température de la climatisation car en mon absence la climatisation ne fonctionne pas.

– Non Marc, mais je veux bien à boire !

– De l’eau ou du vin blanc.

– Oh, ton vin blanc me fera plaisir.

Je nous servis du vin blanc et m’assis à côté d’elle avec mon carnet de noter et un bloc de papier.

– Tu avais raison de venir ici pour discuter du projet, on sera plus tranquille !

– Oui, Marc, mais avant d’aborder ce sujet, je voudrais te remercier encore pour la proposition que tu as faite à mes parents. En sortant de la maison, papa m’a promis de réfléchir sérieusement à ta proposition, l’idée de te vendre les terres en viager lui plairait bien.

– Tant mieux Lora, ne t’inquiète pas, tes parents pourront rester à Tolo, jusqu’à la fin de leur vie avec tout le confort et l’assistance si nécessaire.

– Marc, maintenant qu’on est entre nous, pourquoi fais-tu cela ?

– C’est très simple Lora, c’est un investissement, la valeur de ce terrain va monter dans le futur. Si l’exploitation de l’oliveraie ne rapporte pas, on pourra toujours transformer la propriété en centre de revalidation pour les enfants et leur famille. Le terrain est grand, on pourra toujours construire à l’écart un centre d’hébergement. Si tes parents n’y voient pas d’opposition, cela pourrait même créer un peu d’animation.

– D’accord, dit-elle. Elle mit ses deux mains sur mes joues et m’embrassa dans une lutte de langues passionnée.

Puis sans transition, elle prit le bloc de papier pour aligner les personnes nécessaires à l’équipe médicale et leur coût annuel approximatif. J’étais abasourdi, j’étais encore tout remué par son baiser qui avait réveillé mon sexe, alors que Lora sauta sur les données du projet !

Tout en regardant ses notes mon regard resta accroché à sa poitrine, le baiser l’avait également ému, car ses seins se soulevaient encore sous sa respiration haletante et ses tétons pointaient contre le tissu léger.

Nous nous mîmes d’accord sur le nombre de personnes et les chiffres de la charge annuelle ! Lora me regardait anxieuse.

– Marc cela représente un montant énorme !

– Oui Lora, mais la dépense sera progressive, Je suppose que l’hôpital a une réserve de recrutement avec quelques candidats médecins et infirmières. Puis il faudra engager les autres.

– Oui Marc, si je comprends bien je devrais participer à leur sélection ?

– Oui, bien sûr, mais nous serons là, Corina et moi.

– Entendu ! Marc, pour ce soir, je suis vannée. On continue demain ?

– Oui, bonne nuit Lora.

### Lora ###

J’étais fatiguée, mais consciente que Marc était vraiment un gestionnaire rapide sur la balle. En me déshabillant je repensai à cette journée, Marc pourrait bien convaincre papa de se calmer. Ce serait formidable si Marc reprenait les terres soit pour les exploiter ou pour transformer la propriété en refuge pour les enfants.

J’allais prendre un polo dans mes bagages, lorsque je vis mon reflet dans le miroir sur pied de la chambre. J’étais quand même belle, même si aucun homme à l’hôpital ne me faisait des avances. J’avais embrassé plusieurs fois Marc qui répondit à chaque fois à mes baisers. Ce qui m’inquiéta, c’est que maman nous avait surpris au moment où j’allais lui demander de me caresser.

Rien que d’y penser, mes tétons se dressèrent et j’eus envie de me masturber, là devant le miroir ! Au bout de quelques minutes de caresses, j’abandonnai, je ne parvins pas à faire monter mon désir et de rage je me couchai sur le lit. J’essayai de penser à Corina, puis à Marc, lui pourra peut-être me calmer.

Je sortis de la chambre, mais la lumière du living était déjà éteinte. La lumière de ma chambre me permit de m’orienter et j’ouvris la porte de la chambre de Marc sans frapper. Par l’espace de l’ouverture et à la lumière de sa veilleuse, je vis Marc couché sur le dos, nu. Je m’approchai et me lovai dans le lit à côté de lui.

Sa bite était au repos, mais impressionnante quand même, je pris la précaution de réchauffer ma main avant de la toucher. Je voulus le caresser, mais pris directement son pénis en bouche. Je sentis que Marc émergea de son sommeil mais il ne réagit pas à ma fellation. La vue de son engin grossissant dans ma bouche, me donna le désir de reprendre ma masturbation interrompue auparavant. Cette fois je sentis la cyprine dans mon vagin et cela m’encouragea à accélérer la cadence de ma main, jusqu’au moment où je sentis sa main sur mon sein.

– Continue Lora, ma verge te salue, mais viens plus près que je caresse ton bijou ! Comment cela se fait que ce soir tu es excitée et ton vagin mouillé !

– Marc, je ne parvenais pas à me calmer et je suis venu chercher de l’excitation dans ton lit. Oh, tu caresses bien, fais-moi jouir ainsi, je continuerai la fellation en même temps si tu es d’accord.

– Ma verge peut attendre, viens contre moi que je puisse te calmer d’abord !

Il me prit dans ses bras et avec sa bouche écarta mes jambes pour mieux introduire sa langue entre mes lèvres et titilla mon clito. C’était fort mais je le laissai continuer et l’encourageai en posant mes mains sur sa tête.

– Oui, Marc ta langue ! encore !

Tout mon corps vibra, mes abdominaux se bandèrent et je ne pus retenir le cri de mon orgasme. Mais Marc n’arrêta pas, les secousses de mon corps devinrent presque intolérables mais mon plaisir s’amplifia encore. Puis je n’en pouvais plus et repoussai sa tête. Sans attendre la fin de mon orgasme, je repris la fellation. Sa verge était énorme, et je massai sa hampe avec mes mains tout en suçant son gland.

– Lora, je vais jouir, cria-t-il, mais je n’interrompis pas mes mouvements.

Son sperme gicla dans ma bouche, j’eus l’impression de ne pas pouvoir garder tout en bouche, au bout de longues minutes sa verge cessa de pulser et je pus me retirer et avaler son foutre.

Marc en voulait encore et mit sa bouche sur mes seins pour me sucer les tétons, jusqu’à ce que je demandai grâce. Il s’arrêta mais me tint dans ses bras.

– Merci Marc, pardon de t’avoir réveillé mais je ne parvenais pas à me calmer en solitaire et Corina absente. Merci de n’avoir fait jouir sans …

– Sans te pilonner ?

– Oui, j’ai un gros problème depuis ma rupture sentimentale. Je ne me sens plus capable de baiser avec un homme et notre dernier rapport m’a convaincue que je ne suis pas prête.

– Donc tu voulais juste faire monter ton désir pour jouir de mes mains et de ma bouche ?

– Oui en quelque sorte. Je te laisse dormir, merci encore !

– Reste Lora, tu as réveillé mon soldat, reprends ma verge et masse-la jusqu’au bout. Je ne veux pas ta bouche, juste ta main !

Je repris le massage, pendant qu’il caressa mes seins et titilla mes tétons, il ne fut pas long et éjacula sur mon ventre.

Il prit des lingettes sur sa table de nuit et essuya les coulées de sperme sur mon corps. Puis il m’embrassa et me demanda de dormir avec lui.

NDA : Lora et Marc, ce n’est que de la masturbation. Lora affirme sa tendance !

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Bonne année 2021 !

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