Chapitre 42 - Lora (4)

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### Marc ###

Lorsque Lora et Corina descendirent pour dîner, je vis immédiatement au visage de Lora que les deux filles avaient eu du plaisir ensemble. Lora était détendue et Corina avait un grand sourire de satisfaction.

L’hôtelier ne connaissait pas Lora, ce qui me rassura d’une certaine façon. Cela évitera des cancans et des rumeurs malsaines. Lora avait mis une robe légère affichant un grand décolleté et je dus à plusieurs reprises déplacer ma verge dans mon pantalon car elle raidissait à vue d’œil.

Corina avait remarqué mes manœuvres et profita que Lora regardait au loin vers la mer, pour rapprocher sa main sous la table pour la glisser doucement sur mon gourdin.

Elle rapprocha sa bouche de mon oreille et me murmura :

– Un peu de patience, tu nous rejoindras ?

Je lui fis juste un signe d’acceptation et repris le commentaire sur les plats proposés sur la carte. Lora pensive revint sur terre et me regarda droit dans les yeux.

– Marc, je vais accepter ta proposition sous plusieurs conditions : - je veux garder mon indépendance, si quelque chose cloche dans la collaboration avec l’hôpital, c’est mon avis qui primera !

– D’accord, ensuite ?

– Marc, je veux pouvoir coucher avec Corina et que tu cesses de me regarder comme si tu allais me déshabiller et me bouffer ! Si j’ai envie de toi, ce sera sans contrepartie et cela ne pourra pas interférer avec ma relation avec la Fondation.

– En ce qui concerne tes rapports avec Corina, tu lui demanderas, elle est majeure ! Je tâcherai de tempérer mon regard, car je te trouve belle mais pas au point de te déshabiller ni de te baiser sans ton autorisation ni celle de Corina lorsque vous êtes ensemble. Je t’ai déjà dit que les relations privées ne regardent en rien la Fondation !

– Moi, dit Corina, si tu veux baiser avec moi, pas de problème, mais tu devras accepter que parfois je désire que Marc puisse nous voir et me faire l’amour en ta présence !

– Merci Corina, mais c’est toi que je préfère, Marc n’a pas le droit de copuler avec moi sans invitation expresse et n’aura aucun droit sur mon corps. Si par la suite je veux le faire jouir de quelque façon que ce soit, cela ne créera pas de précédent.

– C’est clair comme de l’eau de roche ! dis-je. J’accepte tes conditions !

– Demain devant mes parents tu seras le responsable de la Fondation qui veut m’engager ; tu pourras poser toutes les questions que tu désires sur moi, mais je ne veux pas que tu fasses allusion au sexe ni avec Corina et encore moins avec toi.

– Pas de problème, je sais bien cloisonner mes relations et mes sentiments. As-tu encore d’autres conditions ou exigences car j’ai faim et l’hôtelier attend avec discrétion que je l’appelle.

– Pour moi dit Lora, ce sera un steak de thon grillé et des pâtes !

J’en conclus que la négociation était terminée. Je lui fis un grand sourire et commandai le repas.

Nous mangeâmes de bon appétit et Lora nous fit la conversation sur l’histoire du village, peu peuplé en hiver. Ses parents étaient de la région depuis plusieurs générations, elle nous conseilla un vin de la région de Némea que le patron vendait en carafes. Ce vin rouge était puissant même un peu lourd, ne nous déçut pas, même si Corina et moi nous étions plus habitués au vin blanc de Macédoine.

Lora nous expliqua que le vin de ses parents à la bordure de la Némée n’était pas renommé mais se vendait bien dans la région et était plus léger.

La remontée dans les chambres était un peu plus difficile car nous avions quand même absorbé deux carafes ! Corina m’embrassa en me murmurant d’attendre un peu avant de la rejoindre.

Je pris donc la direction de ma chambre pour m’étendre un peu. Ce n’est qu’une heure plus tard que je reçus un message « viens ».

### Corina ###

Lora avait bu beaucoup, même si elle prétendait connaître le vin de son pays, elle ne s’en rappelait pas les effets !

Dès que la porte de la chambre fut fermée elle jeta sa robe dans un fauteuil situé dans un coin de la chambre et se coucha nue sur le lit.

– Corina, baise-moi !

Lora caressa ses seins de manière provocante puis mit sa main dans mon intimité, son but évident était de me faire jouir pour recevoir la contrepartie. Je me laissai faire pour voir jusqu’où elle voulait conduire mon plaisir. J’avais compris depuis notre dernière rencontre qu’elle était obsédée par le sexe mais de préférence entre femmes. Pourtant elle avait accepté de copuler avec Marc mais sans conviction se plaignant de la sécheresse de son vagin. D’après moi cela signifiait qu’elle n’y avait trouvé peu ou pas de plaisir.

Au bout de quelques minutes de caresses intenses, elle changea de position pour se placer en tête-bêche et inonda mon intimité de sa salive avant d’y introduire sa langue. Je ne sais pourquoi mais mon esprit était toujours absent et j’analysai son comportement avant d’y participer.

Elle réalisa ma froideur et se releva.

– Ça ne te plaît pas ?

– Si Lora, mais je me pose des questions ! Tu sembles avoir peu d’expérience, tu caresses très bien mais sans conviction. Raconte-moi tes aventures !

– Oh, il n’y a pas de quoi écrire un roman ! Petite à l’école j’avais une amie qui m’a initiée à la masturbation alors que je n’avais aucun désir de sexe. Nous nous cachions dans les toilettes puantes de l’école, et longtemps j’ai associé les caresses intimes avec l’odeur nauséabonde de ces toilettes. L’amie était déjà formée alors que ma poitrine était encore toute plate. Ça devait l’attirer et elle me caressait pour avoir la réciproque. Plus tard en secondaire, je n’eus quasi aucune relation sexuelle ni avec des filles et encore moins avec des garçons. En dernière année cependant un garçon s’était lié d’amitié et nous nous contentions de baisers timides jusqu’au jour sur la plage je vis son érection dans son maillot de bain. La vue de la bosse de son sexe m’intrigua et il me proposa que je le caresse car il ne connaissait rien au sexe à part les masturbations solitaires. Il me montra comment il se masturba et je fis de même avec sa verge. Il ne m’avait pas révélé comment cela se terminait et donc je fus très surprise par son éjaculation ! Son sperme s’était répandu sur ma main, mon ventre et le sien. Je trouvai cela un peu dégoûtant et nous essuyâmes le sperme avec nos essuies. Cet attouchement m’avait quand même excitée et je sentis une humidité dans ma culotte, je me calmai devant lui. Il n’avait jamais vu un sexe de fille et encore moins comment la satisfaire. Par gentillesse il mit sa main dans ma culotte et je lui montrai comment je me masturbai. Nous avons recommencé plusieurs fois cette expérience, mais je pris toujours des mouchoirs en papier pour absorber ses éjaculations abondantes. En arrivant à l’école de médecine en Suisse, j’étais toujours vierge et ignorante des pratiques sexuelles en dehors de ce que j’appris aux cours. Je n’eus aucune relation avec les garçons jusqu’en dernière année où un assistant du professeur m’attira dans son lit et me fit l’amour. À part la douleur de ma défloration je n’en gardai pas un souvenir éblouissant et les fois suivantes j’acceptais les relations avec réticence. Jusqu’au jour où je découvris son infidélité, comme j’étais diplômée, je ne restai pas et retournai chez moi. Mon professeur me recommanda chaudement à l’hôpital pédiatrique. Voilà ! Mais Corina, j’ai envie de toi et je voudrais réessayer avec Marc !

– Alors, je comprends, tu es une frustrée, tu n’as encore jamais connu de tendresse ! Alors avant d’appeler Marc, je vais te montrer que même des rapports entre filles, ce n’est pas que de la masturbation réciproque !

Je la pris dans mes bras avec tendresse et lui fis des baisers longs et sensuels sur la bouche, je descendis ensuite dans son cou puis sur le haut de ses seins. Elle répondit à mes baisers et osa même sucer timidement mes seins. Je glissai mes mains derrière ses fesses pour mieux la serrer contre moi. Puis je glissai quelques doigts dans son vagin pour constater qu’elle était toujours aussi sèche !

J’avais anticipé cela et pris l’huile de massage que j’avais préparée sur ma table de nuit. Elle était toujours couchée sur le dos et je laissai couler un peu d’huile entre ses seins. Délicatement j’entamai un massage de ses seins, ses épaules et son ventre, lorsque je repassai sur ses seins, je touchai à peine à ses tétons qui finirent par s’ériger un peu. Je passai avec mes doigts sur la circonférence de ses aréoles jusqu’à ce que je perçoive une esquisse de sourire et de bien-être sur ses lèvres.

Lentement je descendis en vagues circulaires sur son ventre et touchai à peine le haut de son pubis. Je sentis qu’elle bascula légèrement le bassin comme pour m’inviter à descendre plus bas, mais je n’en fis rien et la demandai de se mettre sur son ventre.

Je repris un massage assez classique de ses épaules et de son cou qui était raide et tendu. Je me plaçai à califourchon sur son dos pour parfaire mon mouvement du massage dorsal jusqu’à ce que je sentisse ses muscles se détendre. Puis je bougeai pour masser ses fesses et ses flancs pour descendre entre ses lobes fessiers et relaxer ses muscles pelviens. En passant sur son anus et les lèvres externes de son intimité, j’entendis des soupirs d’aise et un soupçon de jouissance. Progressivement mes caresses se firent plus insistantes entre ses fesses et je vis un peu de cyprine suinter à l’entrée de son vagin. Je soulevai son bas ventre et pris un coussin pour l’insérer entre le matelas et son corps rendant ainsi son sexe plus accessible. Je la masturbai d’abord en douceur puis plus hardiment lorsque ses gémissements se firent plus intenses. Puis elle eut un long feulement qui se termina par un cri plus bruyant pendant que son corps vibra sous la jouissance.

– Corina, je n’ai jamais senti le plaisir aussi intensément !

J’étais fier de ma performance !

– Je suis heureuse que tu sentes la différence, je crois que Marc peut venir maintenant. Tu verras qu’il est aussi tendre que moi, il va me caresser et me faire jouir ! Tu verras son engin en pleine érection et je t’invite à le faire jouir pendant qu’il me masse. Tu le feras en douceur et ne t’en fais pas il sait comment freiner son éjaculation.

### Marc ###

À la réception du message d’invite j’entrai doucement dans la chambre des filles et je vis Lora luisante d’huile de massage, détendue et souriante. Je défis mon short et mon mât de misaine se redressa prêt au défilé sous grand pavois !

Lora et Corina poussèrent un cri admiratif, mais cela ne me perturba pas.

– Fais-moi un massage mon capitaine, pour que Lora voie comment donner un moment de relaxation et de plaisir !

Je demandai à Corina de se coucher sur le ventre, après avoir mis de l’huile entre ses épaules je lui fis un massage sans pression sur ses muscles dorsaux et ses fesses mais sans descendre entre ses jambes.

Puis je la retournai sur le dos, et Corina prit la main de Lora pour l’inviter à masser ma verge. Je massai les épaules et les seins de Corina en étant à genoux sur le matelas juste à côté de son corps. Lora avait donc toute la place pour accéder à mon gourdin et le massa sur toute la longueur et décapsulant régulièrement le gland jusqu’à l’extension maximale. Corina eut un grand sourire sans doute causé par le bien-être de mon massage, ou par la vue du massage que me fit Lora. Corina ne résista pas longtemps et moi non plus, En plein orgasme elle fut inondée de mon sperme que Lora recueillit pour le mettre en bouche et le partager avec Corina.

Je voulus regagner ma chambre mais Corina me retint et nous nous endormîmes dans le même lit.

***

Au matin à mon réveil, je sentis qu’on massait ma verge et découvris les deux femmes penchées sur ma bite, se donnant des conseils et étonnées de mon érection. Je ne voulus plus jouer ce matin, je les embrassai et me levai car je voulus être en forme pour rencontrer les parents de Lora.

### Lora ###

Quelle soirée et quelle nuit, c’était bien la première fois que je n’eus pas de mauvais souvenirs après une séance de sexe. De plus, Corina m’avait donné une excellente détente et le massage de la bite de Marc m’avait ramené à ma jeunesse, à cette plage près d’ici !

C’est avec un certain regret que je vis Marc quitter notre chambre, je m’étonnai en pensant que depuis longtemps je ne m’étais pas autant satisfait d’avoir eu un orgasme provoqué par des tiers.

Au petit-déjeuner nous fûmes très discrets et l’aubergiste nous servit le café et le thé et des croissants. J’avais téléphoné à mes parents pour leur annoncer ma venue en cours de matinée et que je serais accompagnée de deux amis que je voulus leur présenter. Maman fut toute paniquée car elle n’avait plus le temps de préparer un repas pour des étrangers. Je la rassurai en précisant que mes amis ne voulurent pas de cérémonial et désiraient juste les rencontrer.

Je guidai Marc pour rejoindre la maison de mes parents qui était à quelque distance du village sur un chemin empierré ne montrant pas beaucoup de traces de passage.

Ce fut mon père qui repéra la voiture de Marc et en connaisseur de voitures sut immédiatement que les visiteurs avaient un certain standing. Maman dans ses vêtements de tous les jours, fit bondir mon cœur, car je la trouvais peu changée mais je sus que mon absence l’avait fait souffrir.

Maman m’embrassa longuement puis Corina, elle fut surprise d’entendre Corina lui adresser les salutations en grec. Je ris lorsque Marc à son tour salua maman et papa dans un langage assez rudimentaire mais correct. Maman le remercia simplement mais papa le remercia en anglais, langue qu’il maîtrisa certes mais que je n’avais plus entendue dans sa bouche depuis des lunes.

J’avais apporté un gâteau de la boulangerie du village pour ne pas me présenter les mains vides. Nous nous installâmes sur la terrasse à l’arrière de la maison où on avait une vue superbe sur les oliviers et la vigne au lointain.

– Ma fille chérie, quelle surprise ! Tu as réussi à t’échapper de l’hôpital, comment vas-tu ?

– Je vais très bien maman, je suis venu te rendre visite car j’ai postulé pour un nouveau travail et je suis venu te présenter mon nouveau patron et la directrice qui va m’aider dans mon travail.

– Tu vas quitter la médecine ?

– Non maman, absolument pas ! Marc est l’administrateur délégué de la Fondation qui finance les soins des enfants accidentés de la route. Je le connais depuis quelque temps, avec Corina il a suivi récemment des enfants gravement accidentés. Et maintenant il voudrait m’engager comme consultante médicale et responsable d’une équipe de soins qui vont travailler à l’hôpital sous mon contrôle. Les négociations pour mon engagement sont pratiquement terminées, Marc voulait vous rencontrer pour vous rassurer que je ne lâche pas un travail pour une chimère.

– Cela ne me rassure pas tout à fait, dit maman. Tu avais quitté si brutalement ton poste en Suisse !

Je tirai maman en aparté et lui murmurai à l’oreille.

– Maman, Marc est très riche, récemment j’ai vu un article dans les journaux qui prétendent qu’il est milliardaire. Corina qui travaille aussi pour la Fondation m’a confirmé que c’est la vérité. Il paraît comme un homme ordinaire mais c’est parce qu’il est discret et n’affiche pas sa richesse. Mon salaire sera sérieusement augmenté et je pourrai continuer à opérer mais à un rythme normal. Je ne serai plus d’astreinte et je pourrai dormir la nuit.

– Lora, tu ne me dis pas tout ? Que cache ce changement ?

– Rien maman, Marc est un homme très sérieux, d’ailleurs regarde, il parle à l’aise avec papa et je suis sûre qu’avant qu’on passe à table, il aura parlé d’olives et d’huile et que papa lui fera boire son petit vin !

– Vous avez fait la route ce matin ?

– Non, hier soir Marc m’a détaillé les clauses du contrat en roulant vers Tolo et nous avons dormi dans un hôtel au village.

– Mais Lora, tu aurais pu dormir ici !

– Je resterai ce soir, maman ! Mais demain après-midi je rentrerai à Athènes avec Corina et Marc.

– Corina est étrangère, quoiqu’elle parle parfaitement le grec ?

– Oui, elle est anglaise elle traduit des textes anglais et russes pour Marc. Marc, lui est américain, ses parents sont morts il y a quelques années dans un accident d’hélicoptère.

– Ça me dit quelque chose, en effet les journaux en on fait leurs titres. Et même si nous habitons « un trou perdu » les journaux arrivent jusqu’ici et papa me les donne lorsqu’il les a lus.

– Vous allez bien sinon, tout à l’heure j’ausculterai papa pour écouter son cœur, est-ce qu’il va voir le médecin régulièrement ? Et prend-il ses médicaments ?

– Ma chérie ton père, lorsqu’il ne souffre pas, trouve que les visites chez le médecin c’est dépenser de l’argent alors que sa fille est un grand docteur !

– D’accord, je l’ausculterai ce soir et lui ferai une prescription pour ses médicaments.

– Il ne prend ses médicaments que quand son cœur le fait souffrir.

– Et toi maman, tout va bien ?

– Oui, ma grande, je suis toujours en forme ! Je vois ton père qui revient avec tes amis, on va passer à table.

### Marc ###

Le père de Lora me plut dès le premier contact, comme il parlait couramment l’anglais, la communication était aisée. Il nous montra une petite portion de l’oliveraie qui lui donnait quelques soucis, certains arbres étaient malades, mais cela était une maladie qui se répandait dans toute la région.

D’après lui l’huile d’olive ne rapportait plus rien ou presque et il s’était reconverti au vignoble qui prenait chaque année un peu plus de surface.

– Ma fille Lora, ne s’est jamais fort intéressée à l’agriculture et maintenant qu’elle est diplômée et travaille je ne dois plus me soucier du rendement.

– C’est une des raisons de ma visite, dis-je, je voulais vous voir avant d’engager votre fille qui travaillera dorénavant pour la Fondation en tant que médecin-conseil. Ses revenus seront beaucoup plus importants et son avenir sera plus stable qu’à l’hôpital.

– J’en suis heureux, j’ai eu quelques inquiétudes lorsqu’elle est rentrée précipitamment de Suisse où elle avait une carrière prometteuse. J’ai compris plus tard qu’elle a eu une grosse déception amoureuse !

– Je suis au courant, mais je pense qu’elle a retrouvé son équilibre depuis qu’elle s’occupe des enfants à l’hôpital. Lorsqu’elle aura rejoint la Fondation son horizon s’élargira et elle aura l’opportunité de s’intégrer dans le monde des œuvres caritatives.

– Bien, mon épouse, nous appelle à table.

Le repas fut simple, mais cela me convint, l’après-midi fut très agréable, le papa nous racontait des histoires drôles de la jeunesse de Lora, qui m’apparut beaucoup plus détendue que lors de nos rencontres précédentes. En fin de journée comme convenu, Lora resta avec ses parents et nous retournâmes à l’hôtel.

En lui disant au revoir, elle embrassa longuement Corina, puis m’embrassa sur la joue. Comme elle était hors de la vue de ses parents elle me fit une caresse légère sur mon entrejambe avec un regard plein de défi.

– À demain Marc, (puis plus bas) sois sage ce soir !

Je lui rendis son sourire un peu étonné de sa provocation.

NDA : ça ne c’est pas trop mal passé avec les parents de Lora ! Corina a réussi à la détendre. Cela promet encore de belles soirées !

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