Chapitre 32 Mélissa

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### Corina ###

La voiture de l’hôtel nous amena au bout de quelques minutes à la Samos Marina que Mélissa avait donnée comme adresse de mouillage de son yacht.

– Mazette ! Tu es sûr que c’est le bateau de Mélissa ?

– Oui, c’est un Princess 40, il porte le prénom de sa mère ! ἐλπίς / elpís (l’espoir en grec ancien) du nom de la déesse grecque qui est représentée avec une corne d’abondance !

– Ouche, prénom habilement choisi !

– On peut le dire. La famille de Mélissa est extrêmement riche !

Viens, me dit-il, ferme ta bouche au lieu de te promener la bouche ouverte ! Sois naturelle, ce n’est qu’un canot à moteur, d’accord il fait 40 mètres de long, mais ce n’est pas mon premier choix !

– Tu es vraiment difficile !

– Non, mais ce bateau n’a aucune intimité ! dit-il, si tu veux faire l’amour sur le pont, ce sera de l’exhibitionnisme. Il y a toujours quelqu’un de l’équipage qui t’observera !

– D’accord, n’empêche que j’aime ce rafiot, c’est peut-être trop bling-bling, certainement, et ne correspond pas à ta discrétion !

– Mélissa nous invite pour la journée, ou plus si affinité entre vous !

– Elle est lesbienne ?

– Je ne la connais pas intimement, elle t’a dit qu’elle est mariée et maman de deux enfants.

– Ce ne serait pas la première maman qui aurait viré sa cuti !

– D’accord, Mélissa est sur le pont, elle nous attend !

– Bonjour Mélissa dis-je en montant à bord et lui donnai la bise.

Elle était vêtue d’un magnifique paréo bleu avec des feuilles blanches porté sur ces hanches laissant le haut couvert (enfin un peu) par un top de bikini vraiment très mini. J’avais vu ce genre de bikini dans des revues de mode : le microbikini. Il couvrait à peine les tétons d’une poitrine assez généreuse. Elle était belle pour avoir deux enfants (chirurgie ?). J’évaluais la taille de ses seins à un 90 D, alors autant dire que cela ne couvrait pas grand-chose ! Voulait-elle attirer Marc dans sa couchette ?

Je regardais vers Marc, mais il ne semblait pas être impressionné par l’exposition des seins de Mélissa.

– Bonjour Corina, répondit-elle, en me serrant fortement contre sa poitrine.

Elle fit de même pour Marc, je soupçonnai qu’elle avait un faible pour mon homme ! « Tonton Marc » était déjà venu souvent chez elle d’après ses dires. Mais cela devait dater de quelques années, peut-être avant son mariage. Au fait, il était où le mari ?

– Le quartier-maître va vous conduire à vos cabines dit Mélissa.

Je vis une femme en uniforme marin nous conduire à un pont inférieur. Une femme ? Mélissa devrait me confirmer plus tard que quasi tout l’équipage était féminin à l’exception de deux hommes, ingénieurs responsables des moteurs.

Nos cabines étaient voisines avec une porte mitoyenne. Je pourrai dormir avec mon doudou ou en tout cas surveiller que ni Mélissa ni son équipage n’investissent la cabine de Marc !

Pendant que je mis mon maillot, je sentis que le bateau quitta le quai et je rejoignis rapidement le pont supérieur où Marc regardait la manœuvre. Mon beau capitaine était torse nu dans un maillot short très moulant (trop moulant ! on pouvait distinguer le relief de ses parties génitales !)

Mélissa se tenait à côté de LA capitaine, appuyant sa main sur l’épaule de l’officier. J’étais perplexe, Mélissa était bi- ? ou avait-elle viré de bord. My God ! C’est moi qui devais me tenir sur mes gardes, dans un but défensif je me rapprochais de Marc tout en admirant la vitesse impressionnante à laquelle ce « canot à moteur » quittait le port !

Je n’osai pas imaginer la consommation horaire de carburant ! Nous fûmes rapidement au large admirant la vue superbe de l’île qui s’éloignait dans le lointain. Mélissa nous invita à rejoindre le sundeck où des bancs garnis de coussins étaient disposés autour d’une toute petite piscine.

Mélissa nous proposa des boissons diverses, je ne voulais pas perdre mes moyens et je me limitai à un verre de vin blanc de Samos et Marc fit de même.

Mélissa s’étendit sur un lit, après avoir dénoué son paréo et enlevé ses « caches tétons » montrant ainsi ses larges aréoles foncées ! Je ne restai pas à la regarder et fis de même avec le top de mon bikini. Je perçus immédiatement le regard admiratif de Mélissa. Était-elle jalouse de mes seins moins imposants ?

J’étais pris entre deux feux ! Mélissa d’un côté et Marc de l’autre dont le short avait pris une dimension différente ! Je regardai hypnotisée la bosse de Marc qui eut la bonne idée de couvrir son entrejambe d’un essuie jeté très négligemment au bon endroit ! Je n’étais pas très sûre que ce soit ma vue qui l’excitait autant !

Mais je n’étais pas au bout de mes surprises, deux belles femmes vinrent nous présenter des snacks l’une était noire, l’autre blanche mais elles avaient un point commun : elles étaient seins nus ! La noire avait de véritables obus avec des tétons proéminents, sa collègue avait des seins à aréoles très larges comme des œufs sur le plat !

C’était de trop, je ne sais pas ce qui déclencha ma réaction mais je sentis mon intimité s’humidifier, heureusement les snacks étaient servis avec des petites serviettes en papier et je parvins avec quelques contorsions discrètes à glisser une dans mon slip de bain. J’étais certaine que Marc avait noté ma manœuvre mais ne dit rien. J’en gardai deux autres sous la main comme réserve, sauvée !

Lorsqu’elles présentèrent la nourriture à Mélissa j’entendis un petit cri et je vis distinctement Mélissa pincer les tétons de l’Africaine qui trouvait cela très agréable !

D’après Marc, le bateau navigua vers l’ouest s’éloignant des côtes turques, quelques heures plus tard nous fûmes en approche de l’île d’Ikaria (l’île d’Icare)

### Marc ###

À l’approche de Kirikos, le port principal d’Ikaria, je montai dans le poste de pilotage pour assister à la manœuvre d’accostage. Cela me permit de faire descendre la tension de mon gréement qui était monté haut à la vue de tous ces seins nus !

L’équipage féminin était sans reproche, la plupart étaient de jolies filles, sportives et bien musclées. Le bateau devait avoir des privilèges pour accoster sur le quai réservé aux ferries, pile en face de la célèbre statue d’Icare ! Cette statue, on ne pouvait pas la rater, haute d’une vingtaine de mètres environ, elle montre au sommet Icare perdant ses ailes entre deux grandes plaques représentant des ailes stylisées.

Mélissa me rejoignit dans le poste de pilotage

– Corina et moi, nous allons aux thermes profiter des sources d’eau chaude, je suppose que tu viens aussi j’ai réservé l’établissement en session privée pour quatre personnes, la capitaine nous rejoindra dans quelques minutes le temps de régler les formalités et l’approvisionnement pour le dîner de ce soir. Il y a des baignoires et des jacuzzis au choix.

– D’accord, comment on s’y rend ?

– Le minibus nous attend, c’est à cinq minutes. Corina est déjà sur le quai.

Effectivement, cinq minutes plus tard, nous pénétrâmes dans l’établissement des thermes, ce n’était pas très grand mais avec toutes les commodités pour bien profiter des sources d’eau chaude. Corina me proposa de prendre un grand jacuzzi pour nous. Mélissa attendait la capitaine dans une baignoire pour plusieurs personnes.

La préposée du jacuzzi, nous signala qu’étant donné que la session était privée nous étions autorisés à nous baigner nus. Corina trouva cela super, les bulles cachant mon intimité, je n’étais pas gêné et je la rejoignis sans hésiter.

L’eau était vraiment délicieuse et Corina vint se blottir dans mes bras. Elle découvrit très rapidement que ma verge, malgré la douceur de l’eau, était titillée par les bulles et les jets ! Elle n’hésita pas et prit mon engin en main.

– Marc, je vais te caresser un peu mais tu ne pourras pas jouir, car j’ai lu l’affiche qu’on ne peut pas saloper l’eau. Non le terme « saloper » n‘est pas exact, mais c’est le sens de la phrase. Mais je t’en prie garde moi contre toi, nous pouvons rester une demi-heure après cela nous irons suer dans le sauna.

– Oh oui, Corina, toi aussi, tu es excitée, je sens tes tétons tout durs dans ma paume !

– Marc ce soir je dormirai dans ta cabine, le lit est plus grand ! Moi, je n’ai pas de grand lit ! Mais maintenant refait moi ce massage de mes seins et de mes cuisses. J’ai adoré ce matin lorsque tu glissais tes doigts sur mes lèvres et que tu les pétrissais.

Nous restâmes à nous câliner tendrement.

– Tu as eu des nouvelles des enfants ?

– Oui Corina, les jambes de Georges ont été opérées, tous les os ont été remis en place avec des plaques et des tiges qu’il va devoir garder quelques mois mais la chirurgienne est optimiste.

 Rina a également été opérée, l’opération fut très délicate. Les chirurgiens ont pu écarter la cage thoracique, ce qui a diminué la pression sur ces poumons. Elle est toujours dans le coma artificiel et sous respirateur. C’est encore trop tôt pour se prononcer sur ses chances. Après-demain ils tenteront une deuxième opération pour redresser les côtes.

– Je peux faire quelque chose Marc ?

– Non Corina, j’ai donné tes coordonnées à l’équipe médicale, Tu recevras des nouvelles sur ta boîte mail cryptée de la Fondation, qui a été créée ce matin. Tout à l’heure je l’installerai sur ton nouveau téléphone et ta tablette privée de la Fondation.

– Mais j’ai un téléphone et une tablette !

– Oui, mais ces deux appareils sont exclusivement pour les communications de la Fondation, ils sont totalement sécurisés avec ton empreinte digitale. Mais ne serviront pas pour nos conversations privées ni pour tes traductions. Lorsqu’on sera de retour à Athènes on transformera ce téléphone et la tablette en « double système » avec des systèmes d’opérations distincts. Tu pourras ainsi tout regrouper sur un seul téléphone et une seule tablette.

 Tu pourras aussi suivre tes comptes bancaires, le privé et celui pour les opérations Fondation. À notre retour tu pourras faire un don aux chirurgiens et aux parents de Rina.

 Tu recevras ultérieurement les factures des hospitalisations que tu transmettras au secrétariat avec ton approbation pour les paiements.

– Mais Marc, la somme qui m’est allouée est très importante pour ne pas dire énorme !

– Corina, tu n’as que deux protégés pour le moment. Les frais médicaux se chiffrent très vite et les chirurgiens compétents sont très chers. Les honoraires des médecins non-résidents ne sont pas facturés par l’hôpital. Que ce soit en Grèce ou ailleurs, ces montants se chiffrent vite en dizaines de mille. Lorsque les assurances doivent intervenir, elles rechignent à payer et les dossiers traînent. Il arrive aussi que l’indemnisation soit plafonnée suivant la police de l’assurance.

– Tu as une idée du nombre de cas en cours ?

– Oui bien sûr, d’après le dernier rapport on a mille trente-cinq cas auxquels il faut ajouter les deux enfants que tu gères. C’est moins que l’an dernier où on a dépassé les mille cinq cents cas.

– C’est énorme !

– Oui, mais je n’ai pas le chiffre en tête du cumul des cas traités depuis la fondation !

Nous fûmes interrompus par la préposée des thermes qui nous signala que notre temps était écoulé et nous invita à rejoindre les douches. J’étais tenté de lui faire des câlins mais la crainte de caméras cachées me retint et nous prîmes nos affaires dans les vestiaires. À la sortie le minibus nous attendait et le chauffeur nous signala que Mélissa et la capitaine étaient déjà retournées à bord.

Il nous fallut quand même une dizaine de minutes pour revenir, le trafic était un peu plus intense, les touristes quittant la plage et les marinas pour retourner vers les nombreux petits hôtels dans les environs.

À l‘arrivée à bord, un membre de l’équipage annonça que le repas du soir serait servi une demi-heure plus tard, ce qui désola Corina qui espérait terminer les câlins entamés dans le jacuzzi !

Je ne voulais pas déranger Corina et je lui laissai le temps de s’apprêter pour le dîner. Mais j’avoue que j’aurais bien repris ce massage.

N’ayant aucune idée du dress-code pour le repas, Corina prit le paréo et le noua autour du cou, couvrant ainsi sa poitrine et les hanches.

***

### Corina ###

La salle à manger était superbe à notre arrivée tout le monde était présent et Mélissa attribua les places assises. Elle me plaça à sa droite et Iris (la capitaine) à sa gauche. La table étant ronde Marc se trouva donc en face de notre hôtesse. Mélissa était comme moi habillée d’un paréo, la capitaine en uniforme mais sa blouse avait plusieurs boutons ouverts affichant la naissance de ses seins ; elle était fervente des seins libres et donc ne portait pas de soutien-gorge. Sa poitrine ondula légèrement lorsqu’elle bougea ses bras. Elle parlait parfaitement l’allemand et nous expliqua qu’elle était allemande de par son père, sa mère était grecque. Son père avait servi comme capitaine pour la famille de Mélissa et Iris avait repris la succession aux commandes de ce yacht.

– Racontez-moi Corina, comment avez-vous rencontré Marc ? demanda Mélissa.

– C’est relativement simple, J’ai rencontré Marc au club de voile et de plongée, nous nous sommes appréciés mutuellement. Je ne connaissais rien de lui, il y a trois semaines. Il m’a demandé d’être son équipière pour sa croisière du Zéphyr qu’il avait acheté début de l’année. Nous sommes tombés amoureux, il m’a révélé son identité et la Fondation. Le reste vous savez, je lui ai promis mon aide pour les enfants.

– Je suis curieux de savoir comment est Marc comme simple équipier en plongée ou sur un voilier !

– Mélissa, c’était un garçon simple, sans chichi ni bling-bling. Mais un équipier très fiable. Je suis heureuse de l’avoir connu et aimé sans connaître sa famille et sa fortune.

Pendant notre conversation le repas fut servi par les deux filles qui étaient présentes le matin autour de la piscine. Heureusement leurs tenues étaient plus conventionnelles : elles étaient en blouse et jupe droite. D’accord les blouses n’étaient pas très boutonnées et on voyait nettement leurs seins libres. L’Africaine était vraiment belle, et je vis nettement Iris passer sa main entre les jambes de la noire pendant qu’elle servait. Je fus certaine que Mélissa et Marc avaient également vu le geste.

– Ainsi Marc, tu t’es acheté un voilier ?

– Oui Mélissa, un bateau que Corina et moi nous avons bien en main après une croisière d’une quinzaine de jours.

– À vous deux seulement ?

– Oui dit Marc, le premier jour un ami du club qui m’avait conseillé lors de l’achat de ce bateau à tenu à tout contrôler. Mais ses obligations professionnelles ne lui permettaient pas de rester avec nous.

– Ah je vous envie, dit Mélissa et où avez-vous été ?

– On a circulé dans les Sporades et dans la réserve naturelle pour laquelle j’avais l’autorisation.

– Je pourrais y aller aussi, ce serait un beau but de croisière !

– Hélas Mélissa, le club de voile a obtenu l’autorisation pour le Zéphyr seulement. Mais si vous voulez vous pourrez venir avec nous lors de notre prochain voyage. Le Zéphyr n’a pas de confort, mais vous serez vraiment près de la nature.

– Oui, cela me plairait, l’Elpis, je concède est très grand et a tout le luxe. Ma mère adorait ce bateau mais il n’est pas très écologique ! Mais j’ai trop de souvenirs heureux ici à bord, je ne saurais pas m’en débarrasser.

– Je comprends dit Marc merci pour ce bon repas, mais nous allons nous retirer.

– D’accord dit Mélissa, durant la nuit nous allons retourner à Samos à vitesse réduite, vous ne serez pas dérangés durant votre sommeil.

Dans la cabine de Marc, je me pendis à son cou,

– Marc j’ai l’impression que Mélissa, la capitaine et les deux filles ne doivent pas s’ennuyer à bord.

– Oui, j’ai l’impression que depuis le décès de sa mère, elle a beaucoup changé.

– Marc, je préfère qu’elle s’amuse avec la capitaine et les deux filles, ce matin j’avais la vague idée qu’elle te voulait dans son lit !

– Non Corina, il n’y a jamais eu quelque relation entre nous, j’ai souvent rendu visite à sa mère que j’appréciais beaucoup et ainsi je l’ai vue avec son mari et ses enfants. Je crois plutôt qu’elle a des tendances lesbiennes. Et puis Corina, je suis extrêmement déçu de son comportement. Cela ne cadre pas vraiment dans les standards de la Fondation.

– Tu comptes en parler ?

– Non, tant que cela reste dans le cadre privé, mais j’espère qu’elle ne te fera pas de propositions !

– En attendant, baise-moi dis-je, j’ai bien vu que tu bandais dur et moi, j’avoue que toute la journée je voulais te sentir profond. Le bain de soleil, les servantes de Mélissa, les thermes et le dîner de ce soir, c’est de trop !

Je me mis à califourchon sur son corps laissant juste sa verge déjà bien dressée devant moi, elle était contre mes lèvres intimes et je pris son gourdin pour le frotter contre l’entrée de mon vagin.

– Tu aimes ?

– Quelle question !

– Je vais te masser sans les mains, dis-je préviens-moi si tu veux éjaculer, car je ne veux pas que tu perdes ton érection.

Je fis bouger mon corps sur sa verge, je voyais dans ses yeux que sa verge profitait pleinement de massage où son mât disparaissait régulièrement entre mes jambes pressées entre mes lèvres et son ventre. Je savais pertinemment que je jouais avec le feu. J’espérais atteindre mon orgasme sans provoquer le sien !

– Non Corina, fais une pause, me dit-il sinon je giclerai contre mon ventre !

– D’accord dis-je mais tu me dois encore des détails sur tes séances de massage avec ton volcan italien ! J’ai compris comment tu la massais, mais elle, comment te massait-elle ?

– Je t’ai déjà raconté que Etna était violente quant au sexe : mais pour le massage, elle pouvait avoir une douceur extraordinaire. Elle m’apprit que sa mère avait eu une servante thaïlandaise qui lui avait enseigné toutes les subtilités du massage thaï, du massage japonais et aussi le massage sacré indien.

 Le massage thaï est essentiellement un massage de relaxation du dos, massage avec les pouces à des endroits spécifiques du dos ; Régina pratiquait aussi les étirements du dos et des jambes. Ses massages des pieds étaient sublimes.

 Mais je préférais de loin pour me détendre que Régina me pratiquait un massage nuru : elle enduisait son corps entier de gel de massage puis se couchait sur moi et me massait avec son corps. Elle glissait son corps contre le mien en insistant avec ses seins, son ventre et ses fesses pour me procurer une détente mentale. En principe elle n’utilisait pas les mains ni la bouche mais souvent ce massage se terminait par une copulation lente et une éjaculation interne ou externe selon nos envies. Ce massage pouvait durer des heures lorsqu’elle était en forme !

– Waouh ! Ça m’intéresse !

– Lorsqu’on sera de retour à Athènes je te montrerai quelques vidéos dans lesquels on explique la technique nuru ! C’est aussi pratiqué entre femmes ; Régina m’en a fait un jour une démonstration avec une copine de l’internat ! J’en ai encore un souvenir inoubliable.

– Dis, tu étais un étudiant dévergondé ! lui dis-je.

– Mais cela n’a jamais passé avant mes études !

– Et en dehors du massage nuru, que faisait-elle en massage indien ?

– C’était surtout le massage du lingam qui est un massage sacré d’origine. Le lingam (le symbole phallique de Shiva) est honoré par un massage tantrique. Ce n’est pas seulement sexuel ; c’est aussi très spirituel.

 Mais pour Etna c’était un moyen de relaxation de l’homme essentiellement orienté sur le massage du phallus ! Elle m’a fait connaître toutes les subtilités de la manipulation de la verge ! Elle m’a avoué que c’est avec moi seulement qu’elle aimait le massage tantrique du lingam, car j’étais très réceptif et cela lui procurait une excitation très particulière et une production très abondante de cyprine. Cela finissait toujours par une copulation très longue, son vagin étant très humidifié, elle parvenait à me faire jouir qu’en jouant avec ses muscles pelviens.

– C’est ce que j’aime te faire également mon doudou !

– C’est vrai, Corina tu es géniale avec tes muscles, mais si on essayait de s’endormir un peu, demain matin on sera de retour à Samos et on aura encore deux ou trois jours de vacances avant de retourner à Athènes, me dit-il.

Je me lovai dans ses bras et m’endormis heureuse.

NDA : On n’a pas encore fini avec les massages, mais ce sera pour un autre épisode !

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