Chapitre 27 -  Les enfants.

14 minutes de lecture

### Marc ###

En me réveillant ce matin, il me fallut un moment pour faire le point, ce n’était pas le Zéphyr, ni mon appartement, encore moins une chambre d’hôtel ? Puis le corps nu de Corina dans ce lit étroit me fit prendre conscience que j’étais dans sa maison !

Toute la discussion d’hier soir me revint à l’esprit, son refus de la réalité me concernant, j’aurai un grand effort à faire de la convaincre qu’entre nous rien n’avait changé ! En fait, sa révolte me fit plaisir et me convainquit qu’elle aimait le Marc simple compagnon de club, sans grande fortune, mais hélas, je me devais de lui révéler ma situation réelle qu’elle aurait fini par découvrir. Alors autant que ce soit dans le cercle privé plutôt qu’en public ou par un tiers !

Je lui donnai un baiser tendre sur l’épaule qui générait un sourire dans son sommeil, c’était encourageant ! Je pris toutes les précautions pour sortir du lit sans la réveiller et me mis à la recherche des éléments pour un déjeuner.

Comme un voleur à la recherche de trésors cachés, je fis une inspection méthodique de sa cuisine ! Ce qui m’enchanta, c’est que tout était bien rangé, les biscottes, la confiture, le café moulu, les filtres Melitta, le sucre, tout était groupé logiquement sans devoir ouvrir tous les placards !

Je m’activais à préparer le café lorsque deux bras encerclaient mon ventre.

– Bonjour mon capitaine, tu trouves ton bonheur ?

– Maintenant oui, quand mon moussaillon préféré vient m’embrasser !

– Marc, tu as bien dormi ? Moi je ne me souviens pas de t’avoir dit bonsoir !

– Effectivement tu as sombré corps et biens brutalement après avoir heurté mon rocher/récif !

– Marc, laisse-moi d’abord t’embrasser !

Je la soulevais pour que nos yeux et nos bouches soient à la même hauteur, elle me fit un baiser tendre en me regardant les yeux pétillants de bonheur.

– Voilà, et maintenant je voudrais m’excuser pour mon mouvement de panique d’hier soir ! Toutes ces informations te concernant qui me sont tombées dessus m’ont déstabilisée. Promets-moi une chose, de ne pas me forcer la main, sans m’expliquer si je rue dans les brancards, s’il te plaît !

– Promis mon cœur !

– Alors déjeunons ! J’espère que ce petit-déjeuner frugal te convient. La boulangerie est trop loin pour y faire un saut pour avoir des croissants frais.

Après le déjeuner, je laissai Corina travailler à ses traductions, je vis à son visage qu’elle était très concentrée, je n’osai pas trop la regarder de peur de la déranger dans son travail. Je repris mon laptop et parcourus ma messagerie. Mes associés confirmèrent de se tenir strictement à négocier le contrat après que je les avais avertis de la « fuite ». Ils étaient curieux de la rencontrer mais ne firent pas d’autres commentaires.

J’expédiai aussi un mail à Alexia, disant que Corina avait compris qui j’étais par l’article du Closer en précisant qu’un jour ou l’autre elle aurait quand même découvert le pot aux roses…

Vers midi, Corina leva la tête pour dire qu’elle avait rempli son objectif et m’expliqua que les traductions demandées par Kristos arrivaient en continu et qu’elle essayait dans la mesure du possible de les terminer sans délai.

Je lui demandais si elle avait prévu quelque chose à manger, elle répondit que non. Je lui proposai alors que nous nous préparions pour les rendez-vous de l’après-midi et qu’on mangerait quelque chose sur le pouce pas loin des bureaux.

Je me changeais juste de chemise restant en jean vu que la visite à l’hôpital se faisait en blouse blanche. Corina réapparut dans un ensemble tailleur très strict de couleur gris clair qui lui allait à merveille.

Voyant sans doute à mes yeux que cela me plaisait, elle me dit que c’était son costume de travail pour visiter Kristos lorsque les clients demandaient sa présence.

Je pris juste mon laptop, car je comptais me rendre à mon bureau qui était dans le même immeuble au dernier étage. Je ne voulais par révéler cet emplacement estimant qu’il ne fallait pas pousser le bouchon plus loin. Tout l’immeuble était ma propriété !!! Mais vu l’incident d’hier, je me dis qu’il fallait y aller doucement ‘step by step’. Je pris le parking public où j’avais un abonnement électronique et nous déjeunâmes dans un bistro français sur l’avenue.

Quelques minutes avant l’heure, elle quitta le bistro seule. J’attendis un peu puis me dirigeai vers mon bureau. J’avais un ascenseur privatif qui me permit d’atteindre mon bureau sans rencontrer personne. J’avais convenu avec Corina qu’on se retrouverait au bistrot où on avait déjeuné et ma secrétaire me donnerait un signal quand elle quitterait mes associés.

Je profitai de cette attente pour jeter un coup d’œil aux finances de la fondation ; On avait reçu plusieurs dons importants dont celui de Microsoft et un d’Apple. Chaque année ces deux sociétés versaient une importante contribution, je rédigeai des remerciements personnalisés immédiatement aux deux CEO en les invitant à la soirée qui se tendrait dans quelques mois aux US.

J’espérai que d’ici là, Corina serait rodée aux réunions philanthropiques et que je pourrai voyager avec elle dans le Gulfstream que la société avait acheté l’an dernier. Il remplaçait l’avion de mes parents qui était démodé techniquement et trop gourmant en kérosène. Je n’avais pas encore volé à son bord mais mes associés l’utilisaient fréquemment et étaient enchantés de cette acquisition. L’avion dans cette nouvelle version était un bijou au niveau électronique. La pilote (c’est une femme) m’avait dit qu’il se pilotait les yeux fermés (enfin c’est l’expression) !

Je prévoyais un jour de compléter ma licence de pilote me permettant de voler avec en tant que copilote ! mais cela pouvait attendre !

Je consultai aussi la correspondance avec l’hôpital pédiatrique Sainte Sophie, qui me signalait deux nouveaux cas dramatiques en joignant les dossiers. Je les imprimai pour que Corina puisse les lire avant de voir les enfants.

En soi, les cas n’étaient pas exceptionnels mais étaient suffisamment exemplaires de tous les cas traités par notre fondation dans cet hôpital. Pour moi c’était un test que j’espérai que Corina passe avec succès ou en tout cas sans dommages émotifs.

Je ne connaissais pas chaque cas individuellement mais dans la mesure du possible je demandais aux bénévoles de me signaler les cas qui demandaient un traitement hors norme. Souvent c’était d’ordre administratif, mais quelques fois d’ordre médical. Je me rappelais un jour un chirurgien qui proposait une amputation de la main d’un enfant parce que la chirurgie de la main allait coûter très cher. La femme qui était sa « marraine » m’avertit du problème ; renseignements pris, c’était la main droite de l’enfant, aisément opérable mais le spécialiste de la main disponible devait venir des US. On achemina le chirurgien avec l’avion de la société et vingt-quatre heures plus tard, l’enfant était opéré !

Le système de « parrain/marraine » avait l’avantage que chaque enfant était suivi par un bénévole qui couvrait l’enfant jusqu’à sa sortie de l’hôpital et s’il était orphelin jusqu'à sa prise en charge par une famille d’accueil. Je comptais aussi mettre en place une structure d’adoption mais les juristes devaient encore trouver une règle générale/un protocole pour tous les pays où nous étions actifs.

Je travaillais à ce projet lorsque ma secrétaire me bipa signalant que Corina quittait les bureaux. Je fis de même et retrouvai Corina toute souriante au bistro.

Elle me fit une embrassade fougueuse en me disant :

– Marc, j’ai signé la convention de traduction que tes associés m’ont proposée. C’est calqué sur l’accord que j’ai avec Kristos à une nuance près, que s’il n’y a rien à traduire durant un mois je touche quand même un fixe mensuel, dans le cas contraire je touche la rémunération par ligne contractuelle mais on déduit d’abord le fixe déjà payé. Et je commence demain, mon compte sera crédité du montant fixe.

– C’est super ! dis-je.

– Marc sois honnête, tu n’as pas travaillé derrière les écrans ?

– Corina, non pas du tout, ce n’est que le contrat type pour tous les traducteurs/rédacteurs qui travaillent pour la société ou la fondation pour les langues européennes autres que l’anglais !

– Si tu le dis je te crois !

– J’espère, il faut me croire je n’ai pas triché, Il n’y a qu’une chose qui diffère ce sont les montants qui je sais, sont variables selon la difficulté de la langue et la disponibilité.

– Ah bon, le tarif est double par rapport à celui de Kristos !

– Je suppose qu’il est plus facile de trouver une traductrice pour le grec que pour le russe !

Bien ! Corina je suis très heureux pour toi, tu seras un peu plus à ton aise pour tes fins de mois et tu me rendras un grand service, car j’ai confiance en toi ! Maintenant autre chose ; j’ai promis de visiter aujourd’hui deux enfants qui sont entrés dans la protection de la fondation, j’aimerais que tu viennes avec moi. Ces enfants ne parlent que le grec et n’ont pas encore de bénévole qui leur est dédié, je remplace donc en urgence pour voir les patients.

– Tu veux que je leur parle à ta place ?

– Oui, s’il te plaît ma chérie cela m’aiderait beaucoup.

Le premier est un garçon de 10 ans pris dans un accident de roulage près du Parthénon qui a coûté la vie à ses parents et il a les deux jambes brisées à plusieurs endroits. Nous verrons l’enfant et les chirurgiens.

La seconde est une petite fille de 9 ans renversée au Pirée par un camion sans assurance. Il semble qu’elle a la cage thoracique enfoncée qui demande une intervention coûteuse et les parents ont été signalés à la fondation car ils ne peuvent payer les soins.

– OMG, c’est terrible !

– Corina, nous traitons plusieurs centaines de cas similaires de par le monde ! Tu comprendras mieux à quoi mes parents dépensaient et moi maintenant, je dépense l’argent.

– J’ai compris, je ne ferai plus de réflexions stupides relatives à ta fortune.

– Viens, allons voir ces enfants !

– Tu as pensé à prendre mon jean ? car je vais me changer dans les toilettes pour ne pas rester en tailleur.

### Corina ###

L’hôpital était immense ! Marc me signala que c’était le meilleur endroit en Grèce pour soigner les enfants pour les maladies parfois incurables et les accidentés.

Nous fûmes accueillis à la réception par une femme mature en blouse blanche qui salua respectueusement et embrassa Marc sur la joue. Il me présenta par mon nom sans plus à l’infirmière en chef du département des soins intensifs. Elle me salua aussi avec respect. Nous reçûmes chacun une blouse blanche au nom de l’hôpital avec un badge « visiteur ».

Après un ascenseur et quelques couloirs elle nous introduisit auprès de Georges étendu dans un lit avec de gros bandages autour des jambes. Il était conscient mais sous sédatifs.

Je le saluais et lui demandai s’il souffrait beaucoup, il répondit par la négative mais il avait les larmes aux yeux car il savait que ses parents étaient morts dans l’accident. Je lui transmis nos condoléances en ajoutant qu’on ne le laisserait pas tomber.

Marc se tenait en retrait et écouta notre conversation, l’enfant me demanda ce qui allait lui arriver, je lui répondis qu’on allait voir les médecins et qu’on reviendrait rapidement le voir.

Puis l’infirmière nous conduisit dans la chambre de Rina, elle était inconsciente mais ses parents se levèrent à notre entrée. La maman était effondrée de chagrin, le père plus réservé. Ils me demandèrent si on allait pouvoir soigner leur petite fille. On ne voyait que son visage, même entouré de bandages elle paraissait mignonne. Le père me raconta l’accident, le chauffeur du camion était en prison pour conduite sous influence et défaut d’assurance. Je leur demandai si le chirurgien était déjà passé, ils n’avaient vu aucun médecin, on leur avait communiqué qu’il était en réunion.

L’infirmière nous conduisit dans une salle où plusieurs médecins nous attendaient deux hommes et une femme se levèrent pour saluer Marc et commencèrent à lui parler en anglais. Marc leur demanda de parler en grec pour qu’ils m’expliquent la pathologie des deux enfants. Les autres personnes nous saluèrent et une jeune femme prit la parole expliquant le cas de Georges, qui devrait subir plusieurs opérations et pourrait remarcher si la guérison se passait normalement. Ils attendaient en fait le feu vert de la Fondation qui devait donner son accord pour financer l’opération. Je n’osais pas demander ce qui se passerait si Marc ne payait pas mais me tournai vers Marc qui avait compris la question sans que je traduise.

Il répondit en anglais que la Fondation prenait tout en charge, au grand soulagement des personnes présentes.

On passa ensuite au cas de Rina, là, l’affaire était plus complexe au niveau médical, il fallait d’urgence un respirateur pour soulager sa respiration mais il n’y avait plus d’appareil disponible et ensuite il faudrait plusieurs opérations pour remettre la cage thoracique dans sa position naturelle. Je regardai vers Marc qui était déjà au téléphone en anglais avec quelqu’un qui lui répondit dans la minute.

Il se tourna vers l’assemblée en disant que Medtronic allait fournir l’appareil demandé dans l’heure. Il avait téléphoné avec une connaissance aux US qui lui confirma que l’appareil était de stock à Athènes et serait livré par porteur spécial.

Tout le monde était soulagé, on nous confirma que les premières opérations étaient programmées pour le lendemain.

La jeune doctoresse nous accompagnait dans la chambre du garçon pour lui annoncer qu’il serait opéré le lendemain, je lui donnai un bisou en lui souhaitant bon courage et qu’on reviendrait le voir bientôt. Puis dans la chambre de la fille, la médecin expliqua en mots simples qu’une machine serait installée pour aider leur fille à respirer et que le lendemain elle subirait la première d’une série d’opérations. Elle rassura aussi les parents que tous les frais étaient pris en charge par la Fondation en montrant Marc et moi.

La maman se précipita vers moi pour m’embrasser dans un flot de remerciements. Puis Marc me fit un signe discret et nous quittâmes la chambre.

Dans le couloir j’arrêtais Marc en le prenant doucement par le bras ;

– Marc est-ce que tu verrais un inconvénient si je te demandais d’être la marraine de ces deux enfants ?

– Aucun problème, mais tu mets ton doigt dans un engrenage sans fin qui te demandera beaucoup d’efforts. Tu ne devras pas être présente constamment mais tu devras pouvoir intervenir si nécessaire.

– Je prends ! dis-je.

Et nous quittâmes l’hôpital bras dessus dessous.

De retour à ma maison je pris Marc dans mes bras et malgré notre différence de taille je le regardais droit dans les yeux.

– Marc, je ne ferai plus jamais la moindre critique sur ta fortune, j’ai compris et je demande pardon pour mes réflexions idiotes. Je serai à tes côtés pour la soirée de bienfaisance et je t’aiderai à rassembler les fonds. Je parlerai en grec à l’assemblée et je ferai le témoignage de ce que j’ai vu aujourd’hui !

Je n’eus pas le temps de finir ma phrase que Marc prit ma bouche dans une danse de langues interminable jusqu’au moment que je rompis pour respirer.

Il m’avait déjà entamé les boutons de ma blouse. Je riais mentalement sachant qu’il allait buter sur mon soutien-gorge ! Ce n’était pas dans mes habitudes d’un porter un ! Pour le jean, il chercha vainement où se trouvaient le bouton de ceinture et la tirette, jusqu'à ce que je pris sa main pour la guider !

Je me trouvai donc en soutien et string au milieu de mon living alors que lui était toujours habillé de son jean et son polo. C’était manifestement une injustice. En passant ma main sur sa braguette je constatai qu’il était au maximum de son érection et libera en un tour de main son gourdin turgescent. Ma prise en main de son engin provoqua un râle dans la bouche de Marc, je voulus regarder son engin de plus près mais il me souleva et défit l’attache de mon bustier. Je n’eus mon salut qu’en encerclant son tronc de mes jambes serrant ainsi sa bite contre mon ventre. Je parvins même à lui procurer un massage avec mes muscles pelviens bien entretenus grâce à la natation. Lui ne chômait pas non plus il saisit un sein avec l’intention de le mettre en bouche mais je couvrais d’une main ses dents l’empêchant de me téter. Il grogna de désappointement et réagit en écartant mon string et enfonça légèrement un doigt dans mon cul.

Ça c’était nouveau ! Le salaud, il attaqua ma rosette sans violence mais je fus surprise par son initiative !

– Oh, Marc que vas-tu chercher entre mes fesses ?

– J’ai glissé chef ! répliqua-t-il en reprenant la tirade célèbre.

– Oui, dis-je bien que j’eus du mal à respirer, continue ! Oh oui et ta verge dans ma grotte je suis prise des deux côtés. Je ne tiendrai pas…

Je ne pus terminer ma phrase, un vague partant de mon ventre remonta à mes seins et à ma tête dans un éblouissement ! Je ne vis que des étoiles pendant quelques secondes. Il me déposa doucement dans mon divan mais je l’empêchai de nous désunir gardant son mât entre mes jambes. J’en voulais encore ! Je massais son engin en alternant les pressions et les relâchements de ma zone pelvienne et j’obtins le saint Graal ! je sentis son sperme buter contre l’utérus provoquant un deuxième orgasme encore plus violent.

Je ne pouvais plus bouger tellement je jouissais, je tirai sa tête en arrière libérant mes seins pour mettre ma langue dans sa bouche mais je fus incapable de jouer ! Mon corps subissait toujours les spasmes du coït ! Dépitée, je caressai son menton jusqu'à l’apaisement de mon corps et la rétraction de sa verge puis me levai péniblement pour me rendre dans la salle de bains laissant mon héros étendu dans une position de jouissance satisfaite.

En revenant il n’avait toujours pas bougé ! Je me dirigeai vers le frigo pour constater que je manquais totalement à mes devoirs d’hôtesse ! à part un bout de fromage oublié, il n’y avait rien à manger !

Mon juron de bas quartier londonien avait attiré mon Apollon qui me prit dans ses bras. Mon Dieu ! Il n’allait pas remettre une deuxième mi-temps ! Sa lance était déjà prête pour un deuxième round.

Ma tête contre son torse, j’annonçai que les vivres étaient épuisés et qu’il faudrait aller à la chasse ou la pêche pour survivre ! Il me répondit qu’il avait un joker dans son téléphone. Il commanda sans me consulter de la charcuterie, de la salade, du feta, du pain, beurre, du vin blanc, deux éclairs au chocolat et des croissants et raccrocha. Il me précisa en répondant ainsi à mon regard « que les croissants c’est pour demain matin ».

Pas vingt minutes plus tard on sonnait à ma porte, nous étions à peine rhabillés. Comment faisait ce traiteur pour être là si vite ? Il n’attendait quand même pas derrière la porte ! C’était pourtant le même commis qui remit à Marc la commande et se retira… ce n’était quand même pas en hélicoptère ?

Je me promis d’enquêter plus tard car j’avais faim et je crois que Marc aussi.

NDA : chapitre un peu long mais je ne voyais pas où le couper !

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