Chapitre 18 – Sofia : une nouvelle relation

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### Marc ###

Le spectacle dans le carré était époustouflant, Corina était couchée à moitié nue entre les jambes de Sofia et se laissait caresser par Sofia qui avait un sein dans une main et fouillait son intimité de l’autre ! Elles me faisaient face toutes les deux, Sofia me regardait de manière provocante comme si elle voulait que je jouisse du spectacle ! Corina, les yeux clos gémissait son désir ! Je n’avais jamais soupçonné qu’elle se laisserait faire dans une relation lesbienne alors qu’il y a quelques jours à peine elle avait refusé la proposition des deux filles !

Je ne savais pas quoi faire devant cet événement ! Participer ou seulement regarder ?

J’optai pour regarder mais mon sexe ne tenait plus dans mon short et je le pris en main pour me caresser. Sofia en me voyant exhiber et caresser mon engin redoublait l’intensité de la masturbation de Corina. Encore quelques minutes plus tard les deux femmes étaient entièrement nues et s’étaient mises en ciseaux pour exciter mutuellement leur bas-ventre. Je ne reconnaissais pas Corina, il est vrai que je ne connaissais pas grand-chose de son passé mis à part de son expérience avec son compagnon, avait-elle une expérience lesbienne ou était-ce uniquement dû à l’abus du vin ?

Les deux filles hurlaient leur orgasme de concert et j’avais de plus en plus de mal à rester neutre devant cette scène. Corina en reprenant sa respiration me vit avec mon mât en pavois et dans un moment de lucidité ( ?) me cria :

– Viens, je veux te calmer !

Je m’approchais et elle me saisit, fit quelques mouvements de masturbation puis présentant mon gourdin devant la bouche de Sofia l’invita à ouvrir sa bouche. Elle ne se fit pas prier et me suçait avec gourmandise ! Je ne voulais pas bouger, Corina elle, me caressait les bourses. Je n’avais plus de doute, elles avaient dépassé la dose normale de boisson ! Je vis deux bouches en alternance me pratiquer des caresses buccales et j’avais beau les avertir de mon éjaculation imminente, je fus absorbé par Sofia et Corina qui burent tout ce qui sortait en jets puissants (sans doute amplifiés par le spectacle).

Je me retrouvais prisonnier de leurs mains caressantes et comme je ne débandais pas, Corina prit un préservatif dans l’équipet et revêtit mon chibre pour inviter Sofia à copuler. Celle-ci n’hésita pas une seconde et se mit à califourchon sur moi pendant que Corina caressait le clitoris de Sofia.

Il ne fallut pas longtemps pour que Sofia tremble sous ce nouvel orgasme et Corina arracha le préservatif pour me prendre sans protection. Je bandais toujours et ce fut une délivrance lorsque Corina me fit jouir quasi en même temps qu’elle plongeait dans son orgasme !

Nous restâmes ainsi enlacés pendant plusieurs heures, ce n’est qu’au petit matin que Corina émergeant de sa saoulerie réalisa ce qui s’était passé !

– Pardon Marc ! ce n’était pas prémédité ! Mais c’était une libération pour moi !

Sofia émergeait également et embrassa passionnément Corina en murmurant en grec des paroles que je ne comprenais pas du tout ! Pendant qu’elle embrassait Corina, elle saisissait ma queue en pleine main pour me calmer, car je bandais toujours.

Je finis dans la bouche de Sofia qui consciente ne désirait pas interrompre le plaisir. Corina les yeux écarquillés ne savait plus que dire ni penser. Mon éjaculation fut modeste, mais donnait satisfaction à la grecque qui absorba tout ce qui fut éjecté.

Je m’endormis épuisé, voyant encore avant de sombrer inconscient que les filles restèrent enlacées seins contre seins, par-dessus mon corps.

***

Bien plus tard, je me réveillais toujours étendu dans le carré mais couvert d’un drap alors que j’entendais les filles parler sur le pont.

Je pris mon short et montais les rejoindre à l’extérieur. Les filles avaient remis leur robe sexy et me regardaient un peu gênées.

– Bonjour Marc dirent-elles en chœur, avec un sourire timide, on s’excuse mais hier soir on avait vraiment trop bu !

– Oui, je m’en doute, dis-je, mais c’est que quelque part vous étiez désireuses de le faire !

– Oui Marc, j’avais envie de Corina répondit Sofia, tu m’as comblé aussi ! Je te demande pardon, je ne voulais pas perturber votre relation.

– Non, Sofia dit Corina, on ne te tiendra pas rigueur, j’étais aussi alcoolisée et je suppose que des envies secrètes enfouies au plus profond de mon subconscient se sont révélées. Oublions cet épisode.

– Sofia, si cela t’intéresse, dis-je, nous allons faire le tour de l’île par la mer, tu peux venir avec nous et ce soir on te ramènera ici à Linaria.

– Oh ce serait super, d’autant plus qu’aujourd’hui ma tante est présente dans la boutique, laissez-moi quelques minutes pour l’avertir et m’habiller en conséquence !

Corina me regardait avec un grand sourire tout en suivant des yeux Sofia qui s’éloignait à pas rapides sur le quai.

– Marc, je suis désolé du dérapage de cette nuit !

– Corina, Sofia me paraît tellement jeune !

– Non, Marc elle est majeure, elle m’a avoué qu’elle hésitait entre les filles et les garçons. Avec toi elle a au moins pu goûter la différence !

– On était entre adultes consentants et il ne s’est rien produit de répréhensible ! mais je n’étais pas le premier ; elle a déjà connu un autre homme

– Oui Marc, sans doute, mais cela m’a ramené à mes années de collège où à l’internat il m’est arrivé de coucher avec d’autres filles.

– Ah, je comprends maintenant que Sofia avec quelques caresses dans la boutique a réveillé tes envies.

– Oui, mais je ne regrette rien, ce n’était pas désagréable !

– D’accord, mais lorsque nous avions les copines lesbiennes à bord, j’avais cru comprendre que tu ne voulais pas partager ?

– Oui, c’est vrai mais Sofia ne voulait pas coucher avec toi, seulement c’est moi qui étais excitée par ses caresses dans la boutique et hier soir le vin a fait le reste !

– Je comprends, tu voudras recommencer ?

– Avec Sofia, oui ! Si les circonstances se représentent, mais tu restes avec moi ! Je ne veux pas provoquer, seulement si on est d’accord tous les trois !

– Bien, alors qu’il en soit ainsi. Je la vois revenir sur le quai, mais avant je voudrais te faire une proposition, elle est cultivée, elle connaît l’histoire ; je pensais qu’on pourrait organiser des mini-croisières avec elle comme guide.

– Ce serait pas mal en effet, répondit Corina, voyons aujourd’hui comment elle trouvera la balade.

– Ok on verra ce soir, il faudra d’abord voir si elle aime se balader en bateau.

– Marc, j’essayerai de ne pas la dévergonder !

– Corina, s’il te plaît, freine tes fantasmes ! N’oublie pas qu’on est dans une zone très fréquentée !

– Oui mon capitaine, mais on peut quand même bronzer seins nus ?

– À condition qu’il n’y ait personne à portée de vue ou de jumelles.

– C’est noté dit-elle avec un clin d’œil.

Sofia, s’était changée et portait un t-shirt laissant son ventre à nu et un minishort ! Dieu la température à bord risquait de monter.

De son sac, elle sortit une bouteille de vin blanc déjà rafraîchie :

– Voilà Corina, c’est en remerciement et pour compenser ma beuverie d’hier soir !

– Il ne fallait pas Sofia, mais as-tu pensé à un maillot et la crème solaire ?

– Oui Corina, mais le capitaine autorise-t-il un bronzage les seins nus ?

– Sofia, je viens juste de lui poser la question, sa réponse est : « Oui ! À condition qu’il n’y ait personne à portée de vue ou de jumelles »

– Magnifique, car je n‘ose pas le faire à la plage, il y a trop de vicieux qui harcèlent les filles qui exhibent leurs seins !

– Je comprends dit Corina en riant, si le capitaine ne sait pas se tenir, je m’en occuperai !

– Ma tante m’a donné congé pour aujourd’hui et demain car elle pense que nous ne ferons pas le tour complet en un jour !

– Disons que si on a deux jours se sera plus facile et cela nous évitera de la navigation nocturne dis-je, allez moussaillon, lâche les amarres, on prendra le petit-déjeuner en navigant !

À la sortie du port nous prîmes la direction ouest pour passer avec prudence dans le passage de Stenou Vallaxou, Sofia était vraiment impressionnée pendant que Corina surveillait la profondeur à la proue. Le manuel de navigation indiquait une profondeur suffisante en restant bien au milieu, j’étais tranquille car les ferries passaient au même endroit. La sonde électronique dans le cockpit confirmait que la profondeur sous la quille était suffisante.

Au-delà de la passe le paysage était magnifique et ma vue fut agrémentée par deux paires de seins. Ceux de Sofia étaient vraiment blancs, seules les aréoles tranchaient et Corina les enduisit de crème solaire.

C’était vraiment excitant à regarder mais je ne fis aucun commentaire. Ma vue se troublait un peu lorsque Sofia étalait la protection solaire sur les seins de Corina, ceux-ci commençaient à bronzer légèrement mais ce qui me frappait, c’étaient ses tétons érectiles qui réagissaient sous le massage adroit de Sofia. Mon érection devint très apparente et remarquée par les filles qui se marraient bien, ce qui me fit plaisir c’est que ce massage n’était pas innocent car je vis très nettement une tache humide sur le slip de maillot de Corina !

Je fus assez surpris lorsque les deux filles vinrent m’enduire avec beaucoup de crème mes épaules, mon torse et les abdominaux, Corina osa même passer sous l’élastique de mon short. Sofia restait timidement sur mon dos mais regardait les yeux grands ouverts la pointe dressée sous mon vêtement.

Je fus soulagé, lorsqu’elles s’étendirent sur les bancs du cockpit, le vent était faible et je n’eus qu’à me préoccuper de rester à bonne distance de la côte.

Vers le milieu de la matinée nous passâmes le cap nord de l’île et nous vîmes plusieurs avions raser les flots pour atterrir à l’aéroport. C’était impressionnant !

Comme je n’avais pris qu’un café le matin, je réclamais gentiment un sandwich qui me fut servi par Sofia qui avait les yeux baissés non par timidité, mais plutôt dirigés sur mon ventre ! Je savais sans regarder que ma bitte était toujours dressée ! Corina ne put s’empêcher :

– Sofia, ne distrait pas le capitaine, on ne touche pas au gréement pendant la navigation.

– Merci, moussaillon de me protéger dis-je en riant.

Après avoir passé le cap nord nous eûmes une bonne brise et en début d’après midi nous étions en vue de la ville de Chora accrochée à la montagne et je décidais de continuer jusqu’à la marina de Akhili, qui malgré son nom de marina n’est qu’un endroit désertique avec quelques bateaux de pêche. À notre arrivée, un des pêcheurs nous invita à accoster à son flanc ce qui m’intéressait très fort car il était amarré à une grosse bouée. Le capitaine me rassurait qu’il n’avait pas l’intention de naviguer avant plusieurs jours et donc on ne dérangeait pas.

Les deux filles qui étaient revêtues de t-shirts longs sympathisèrent avec le capitaine et nous eûmes même un beau poisson pour notre repas du soir. En échange j’offris une bouteille de vin blanc à cet aimable personne.

Les filles préparèrent le poison avec les fines herbes et ce fut un vrai régal !

La soirée fut très calme, Sofia et Corina se couchèrent dans la cabine avant, tandis que je pris la cabine arrière. Pendant la nuit je fus réveillé par Corina qui voulait des câlins.

– Marc, je suis trop excité et je ne voulais pas dévergonder Sofia, fais-moi l’amour, je t’en prie ! Sofia n’a fait que me parler de sexe ; elle voulait tout savoir de notre relation et je fus heureuse qu’elle s’endorme enfin ! Elle est aussi d’accord pour jouer le rôle de guide lors de nos excursions, mais on doit trouver une solution pour l‘hébergement car on perd une cabine si elle loge à bord. À moins que, si tu es d’accord qu’on dorme tous les trois dans la cabine avant !

– Ton idée est à creuser on garderait place pour six passagers, quatre dans le carré et deux dans la cabine arrière !

– Marc, ce serait super ! Mais maintenant, je veux que tu me fasses jouir, nous deux seulement ! C’est vrai que Sofia m’excite mais je ne ferai rien sans ta présence, je tiens trop à toi et j’ai vu que tu avais un certain plaisir dans cette relation !

– Oui moussaillon, tu peux rester avec moi toute la nuit mais ne crie pas trop fort ta jouissance qu’on ne nous entende pas du bateau à côté.

– Ah oui, le beau capitaine de la barque de pêche !

– Oui, mais tu me préfères j’espère !

– Tais-toi Marc, baise-moi, lèche-moi et je te ferai voir le paradis !

NDA : la suite la semaine prochaine !

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