Chapitre 24

15 minutes de lecture

***Pour un public averti ! ***

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Jonas



On m’a informé qu’un de mes clients avait eu la bite coupée par deux nanas. Dans sa cellule, elles l’ont mutilé jusqu’à ce qu’il se vide de son sang. C’est rare, mais ça arrive que les victimes réussissent à tuer leur agresseur. De plus, elles sont deux et tout a dégénéré quand l’une d’elles a réussi à se détacher. Dominik va donc récupérer le corps de notre client et le faire disparaître. Pendant ce temps, je vais me charger moi-même de ces deux filles. Je me souviens qu’il avait payé pour que mes traqueurs, à l’extérieur, kidnappe ses deux voisines qu’il mate depuis qu’elles sont jeunes. Il n’a pas réussi à prendre son pied faut croire.

Dom passe le premier une fois la porte de la cellule ouverte. Les deux filles sont entièrement nues, recroquevillées dans le fond de l’étroite pièce, au sol, loin du cadavre. L’une d’elle braque le couteau dans notre direction. Son visage est inondé de l’arme, ses pupilles foncièrement dilatées, ne sachant pas où elle est. Toutes les deux parlent uniquement le russe. Une langue érotique pour mes oreilles.

J’analyse les dégâts à mes pieds. Le quinquagénaire qui est légèrement obèse, baigne dans son sang. À première vue, il a bel et bien été poignardé plusieurs fois au thorax, et il manque tous ses attributs entre ses jambes. Je ne vois qu’un moignon coupé qui se vide de son sang sur le carrelage. Dom l’enroule dans une bâche et un de mes gardes, dans le couloir, vient l’aider à le sortir de la pièce. Derrière sa cagoule, Dom me demande par un simple signe des yeux si je m’occupe seul des deux filles et je hoche la tête pour lui signifier qu’il peut s’en aller, je me charge du reste.

La lourde porte de métal se referme et se verrouille automatiquement derrière moi. J’enlève lentement mon veston et le dépose sur le matelas. La pièce fait à peine trois mètres par six mètres. Le néon rouge au plafond contraste agressivement avec les carreaux de céramique couleur crème qui recouvrent l’entièreté des murs et du sol.

Mes bottes trempent dans la flaque de sang lorsque je m’approche d’elles.

—Vous êtes audacieuses. Malheureusement, ça ne vous offre pas de ticket de sortie.

La nana munie d’un couteau bondit sur ses pieds et se lance vers moi voulant me poignarder. Sans ciller, je ne fais qu’attraper au vol son bras et, d’un mouvement abrupt, je fais tournoyer la fille sur ses talons tout en lui brisant le coude dans le dos. Un bruit d’os résonne, suivi du son de la lame qui touche le sol. Elle lâche ensuite un cri de martyr. Je l’attrape par les cheveux et vient frapper sa tête contre le carrelage du mur ! Je le fais à plusieurs reprises, jusqu’à ce que je décèle son front se renfoncer ! L’autre meuf ne cesse de crier. Je laisse tomber la fille sur le matelas. Son corps ne réagit plus. Quoi que toujours vivante. Juste bien sonnée et assurément une bonne commotion cérébrale, d’après la violence des coups portés à sa tête.

Les mains sanglantes, je les essuis sur ma chemise blanche et vient m’emparer de mon arme coincée à ma ceinture, dans mon dos. Je vérifie que le silencieux est bien installé au bout du canon, puisque si je tire une balle dans une cellule comme ici, je vais vite me retrouver avec les tympans explosés par le bruit. Ou sinon je vais me retrouver avec un cillement atroce dans les oreilles qui va perdurer, assez pour me désemparer, enlever mon équilibre, me donner la gerbe, avoir l’impression que ma tête va exploser avec cette résonnance.

Celle-ci c’est la plus jolie des deux. De grand yeux bleus apeurés, des cils de poupée, un visage d’ange et un corps encore assez adolescent, même si je sais qu’elle est majeure. On dirait tout de même une pucelle qui passe son temps dans les bouquins ou à étudier.

C’est inévitable, mon pantalon sous ma ceinture, se retrouve tendu. Dans cette pièce, je me plonge dans une transe, celle où je me retrouve face à face avec mes désirs obscurs, mes idées sombres et un besoin insatiable. Je suis en mode prédateur. Le monstre est réveillé. À défaut de ne pas pouvoir amener Seyvanna ici, de la torturer de plaisir, de la voir dans un lieu qui me donne de la jouissance, je me contente de m’en prendre aux autres et j’ai grandement besoin de me défouler en ce moment.

Avec l’arme, je fais un seul signe clair qui ordonne à la fille par terre, d’approcher. Elle refuse catégoriquement. J’enlève le cran de sureté et elle échappe un cri de frayeur avant de ramper à quatre pattes jusqu’à moi.

—C’est bien… approche.

Je place le canon sous son menton pour lui relever la tête. Je veux qu’elle me regarde. Ses lèvres sont ourlées, pulpeuses, roses, une vraie bouche de suceuse. Je sors doucement mon sexe qui est semi-bandé et l’expose sous son nez. Elle tremble de tout son être, baisse la tête et échappe un sanglot. Avec ma main libre, je lui relève la tête brusquement par les cheveux et insiste pour qu’elle obtempère en appuyant fortement l’arme sur sa tempe.

Elle sait que si elle refuse, je tire. Si elle me mord, je tire. Elle n’a qu’une issue. Elle ne fera rien de stupide puisque je reconnais ce genre de jeune femme, celle qui se crispe et n’ose pas se défendre. Celle qui se voit si fragile. Elle n’est pas comme l’autre sur le matelas qui a mutilé mon client.

—Pour…. Pourquoi je suis ici ? bégaye-t-elle, le visage en pleurs.

Sa voix est rauque. Elle est déshydratée. Elle doit avoir terriblement soif. Je vais remédier à ça.

—Si tu ouvres ta gueule, assure-toi que c’est pour la mettre dans ta bouche.

J’appuie mon gland contre ses lèvres. Elle est extrêmement farouche. Je crois sincèrement, d’après ce qu’elle dégage, son aura pure, et la manière de voir mon sexe -comme si c’était de l’inconnu-, qu’elle est vierge.

Néanmoins, elle fait le bon choix. Elle ouvre la bouche et sans utiliser ses mains, elle prend mon gland. Elle ne sait pas comment sucer. Avec un peu de mal -puisque ma bite durcit un peu plus chaque seconde- je me concentre pour arriver à réhydrater cette pauvre fille, et commence à uriner doucement sur sa langue.

Comme je m’y attendais, elle recule vivement et crache au sol le peu de liquide que je lui ai offert. Un frisson déroutant transperce son corps, la faisant trembler et pleurer en même temps.

Je frappe la crosse sur le côté de sa tête l’obligeant à reprendre sa position !

—Si tu recraches, je te force à tout lécher !

Je hurle si fort qu’elle tremble de tout son être et secoue rapidement la tête.

—Avale-tout ! Sans grimacer, sans broncher, petite chienne !

Sur ses genoux flageolants, elle reposition son visage à proximité de mon sexe et le reprend dans sa bouche alors que je presse l’arme sur son front. Je recommence à urine et cette fois, elle avale d’un coup, plissant les paupières et voyant son ventre tressauter, essayant par tous les moyens de ne pas vomir.

Putain que c’est bon…

J’échappe un gémissement sous mon masque, en sentant mon urine se faire pomper dans sa bouche chaude et humide. Ses lèvres bombées siphonnent ma queue comme une paille. Si une bite pouvait éjaculer en même temps que pisser, c’est exactement ce qui se passerait à l’instant. Elle boit littéralement mon offrande. Je fais durer le plaisir le plus longtemps possible jusqu’à la dernière goutte.

Je pousse sur son front avec le canon de mon arme, pour que sa bouche délaisse ma queue. Je vois un peu d’urine s’échapper de ses lèvres, refusant d’avaler le reste. Elle s’étouffe. En fait, elle se retient pour vomir. Non, je comprends… elle vomit dans sa bouche et tente par tous les moyens de ravaler pour éviter que je la punisse, mais c’est peine perdu : prise de violents soubresauts au ventre, elle gerbe une bonne partie de ma pisse au sol.

Je fais claquer ma langue contre mon palais en guise de négation. Je tape ensuite le bout de ma botte près du liquide clair et jauni au sol pour lui signifier de nettoyer son dégât.

Elle pleure encore plus et continue de tousser.

Mon genou rencontre son nez et une éclaboussure de son sang jaillit à l’impact.

—Je veux te voir à quatre pattes et lécher le sol !

Elle s’active, le corps qui tremble et le souffle entrecoupé. Elle lèche la pisse au sol, trempant ses mains dedans et même ses cheveux. J’adore la vue…

Pendant qu’elle nettoie son vomi, j’enlève tous mes vêtements pour me retrouver entièrement nu. La bite dressée en l’air, je me caresse. Je garde en main mon arme et ramasse par terre un peu plus loin, le couteau. Couteau qu’elle n’aurait jamais osé toucher. Elle est trop paralysée par la peur. Je pose la lame souillée de sang de l’homme sur les draps du matelas, écarte les genoux de la fille inconsciente, crache dans ma main libre pour humidifier mon sexe et commence à pénètre le corps qui ne reste pas inerte longtemps. Elle revient à elle, ses bras balancent dans tous les sens comme si elle n’avait plus aucune coordination. Elle cherche à m’arrêter, les lésions à son cerveau lui empêche de pouvoir se défendre.

Je plaque ses bras au-dessus de sa tête d’une main et la pilonne avec énergie. L’autre meuf continue de pleurnicher et de lécher le sol.

La nana sous moi commence à devenir un peu plus rigoureuse. Ses hanches ne cessent de bouger, ses jambes tentent de me repousser. Elle commence à hurler, maintenant qu’elle reprend un peu plus possession du contrôle de son cerveau. Ses cris stridents m’agacent à un tel point que je me retire d’elle, enfonce sans mal le long silencieux au bout de mon arme dans sa chatte et d’un simple geste aussi banal qu’appuyer sur la cachette, je vois son ventre se soulever telle une crise cardiaque accompagné d’un son de tir étouffé, mais assez bruyant pour résonner. La nana est morte sur le coup. Si j’avais eu un fusil à pompe, ses entrailles se seraient retrouvées éclaboussées en dehors de son abdomen. La balle a traversé son col d’utérus pour venir perforer ses organes.

À la seconde où je retire doucement le silencieux qui fait entre seize et vingt centimètres de long, je vois s’écouler une marée de sang qui vient d’une hémorragie interne. Ça sort, ça se déverse au bord du matelas pour l’imbiber avant de commencer à dégoutter au sol.

L’odeur du sang est si particulière qu’elle rebuterait tout le monde, surtout avec cette quantité. L’odeur d’un cadavre est encore plus spéciale. Elle est indescriptible. Je pourrais dire que c’est comme un vieux paquet de viande qui pourrit sur un comptoir depuis des années, mais encore là, ce n’est pas assez intense. Alors que les gens fuiraient ces deux senteurs, moi je ne fais pas que la tolérer, elle m’excite. L’odeur du corps, du sang, me rappelle toute mon enfance. Me rappelle aussi ma mère. Son corps était parfait dans la baignoire. Si elle était toujours en vie aujourd’hui, je lui aurais donné un somnifère et je l’aurais baisée sur la table de la cuisine. Mes fantasmes ne sont pas nouveaux, ils me poursuivent depuis que je suis petit. Ma vie est un désastre, une tragédie et tant qu’à plonger dans les abysses de l’horreur, aussi bien être l’acteur principal du film dramatique qui traverse mon esprit. Tant qu’à baigner dans le sang, aussi bien devenir le maître de l’horreur. Dans la vie, on doit tirer du bon dans chaque traumatisme. Moi, j’ai pris mes traumatismes et je les ai glorifiés. Mon père voulait que je fourre des cadavres quand j’étais ados, et bien aujourd’hui, mon esprit a choisi de transformer tout ce qui est horripilant en quelque chose de majestueux.

J’aimerais ressentir quelque chose d’autre. Mais je n’y arrive pas. Je n’ai pas de peine, je n’ai pas de regret. Tous ce qui m’intéresse dans ce monde, c’est moi. Je veux la gloire, le pouvoir. Je veux faire jaillir le sang pour extérioriser chaque souvenir d’enfance qui a fini par définir la personne que je suis.

En me redressant, je dépose doucement le revolver sur le matelas et m’empare du couteau. Je me masturbe un peu pour garder ma verge bien dure et attend que la nana relève la tête. Mais elle ne le fera pas.

—Как вас зовут ?

Je lui demande son nom.

Elle ne répond pas.

—иди на кровать.

Je lui commande d’aller sur le lit.

Toujours médusée par la terreur, elle ne bouge pas. Je continue de me caresser, même si la colère monte en moi. Je ne fais qu’un seul pas vers elle, et elle est prise d’une réaction vive : elle crie à plein poumon et me supplie de l’épargner. À chaque instant, elle garde les paupières fermées avec force, même en hurlant, pour éviter de voir ce que je vais lui faire.

D’une poigne de cheveux au niveau de sa nuque, j’use de ma force pour la relever. Elle est tellement menue et d’un poids plume que je peux en faire ce que je veux. Je la pousse sur le lit, mais elle se retourne sur le dos pour se protéger avec ses mains. Cependant, ça ne m’empêche pas de la poignarder dans le flanc. Je ressors le couteau et l’enfonce dans son thorax. Je répète ce geste deux, puis trois fois dans cette zone du corps. Je commence alors une série de lacérations un peu partout avec la lame : perforant son ventre à plusieurs endroits. Elle ne meurt pas tout de suite. Je pourrais la poignarder ainsi une centaine de fois si j’évite ses organes vitaux et avant qu’elle fasse une sérieuse hémorragie interne. Plus je l’attaque, moins elle a la force de se débattre.

Les coups de couteau laissent de sublimes scissures contre sa peau et mettent quelques secondes avant qu’on voie s’écouler du sang, puisque le coup est très profond, mais l’entaille de la peau très fine.

Je suis en train de lui donner la mort. Et à l’instant même, je ne ressens rien. C’est le vaste néant en moi. Ma main continue de la poignarder sans être capable de m’arrêter. Parfois j’ai des souvenir d’enfance qui surgissent telles des images marquantes. Comme là, alors que son corps devient de plus en plus las et que j’ai l’impression de poignarder un sac de pomme de terre cuites, l’image de moi, âgé de neuf ans tuant mon premier labrador à coup de marteau, surgit.

Une sueur froide naît sur mes tempes. Mon corps se raidit. Oui, je faisais ça pour attirer l’attention de mon père, lui montrer de quoi j’étais capable, lui montrer que je pouvais un jour faire pire que lui, être mieux que lui. Être mieux que mon frère Jaylen qui était son préféré. Aujourd’hui, faire ça, déclenche chez moi une excitation, puisque je me sens enfin mieux et pire que mon père.

Mon sexe se gorge encore plus lorsque j’enfonce le couteau dans la clavicule de la fille entre la vie et la mort et qu’un sang chaud éclabousse sur le mur, mon visage, mon bras et mon torse.

Ma vision s’éclaircie, car lorsque je tue, je vois tout en noir et parfois des points lumineux à cause de l’adrénaline que je laisse me guider. Ma vue est très claire à présent, ma main droite est comme recouverte d’un gant rouge écarlate. Le mur est strié de sang. La fille sous moi rend l’âme en s’étouffant avec son propre sang qui régurgite dans sa bouche et coule à flot par la gorge. Son corps est marqué de lésions, de brèches causées par la lame.

Perché au-dessus du corps désormais sans vie, je commence à me branler avec ma main recouverte de sang. La fille à les cheveux emmêlés, le teint déjà blême et les yeux révulsés. Sa bouche est entrouverte, je viens tirer sur son menton pour l’agrandir et crache dans sa bouche.

Puis, je viens m’assoir sur son ventre, mettant les genoux pliés de chaque côté de son corps et commence à détacher sa tête. Je coupe la peau, puis ensuite vient la partie de la chair qui se défait difficilement à cause des nerfs et des muscles. La peau elle se coupe comme une tranche de jambon. Si ton couteau est bien affuté, ça marche très bien, autrement, c’est une tâche ardue.

Après plusieurs coupures, la tête ne tient plus que par la peau de la nuque, j’use de ma force pour lacérer ce qui reste. Lorsque j’ai enfin terminé et soulève la tête hyper lourde dans mes mains, je l’approche de mon visage. Le sang dégouline de ses lèvres et du trou béant dessous. Ses cheveux sont devenus gras et dégueulasse en si peu de temps. Le teint de son visage change de couleur plusieurs fois à vue d’œil. Un peu bleuté autour des yeux, un peu de jaunisse et finit avec une légère teinte verte lorsque le sang continue de s’évacuer.

Je place la tête de la nana entre les cuisses de l’autre fille. Je veux que le sang de sa chatte coule dans la bouche de l’autre. Je pousse jusqu’à ce que son nez s’enfonce dans le clitoris et que sa gueule soit grande ouverte.

—C’est ça, vas-y ma belle, bouffe-lui la chatte.

Les draps sont imbibés de sang et l’odeur me monte au nez et envahie la pièce en moins de deux. Je m’occupe du corps sans tête. Je le positionne à plat ventre, tire sur les hanches pour que les genoux du corps tombent par terre et qu’il reste que son cul au bord du lit. J’écarte ses jambes avec mon pied, m’agenouille et m’apprête à insérer ma queue en elle, jusqu’à ce que je remarque une résistance.

—Je savais que tu étais vierge.

J’appuie plus fort, assez pour déchirer l’hymen. Peu à peu, je peux faire des mouvements de va-et-vient. De légères taches de sang apparaissent sur mon gland. La tête penchée pour regarder sa chatte se dilater et se faire mettre pour la première fois, des mèches de ma tignasse tombent sur mon masque et obstruent ma vue. Sans y avoir pensé, je passe ma main sanglante dans mes cheveux pour les replacer vers l’arrière, les souillant par le fait même. Maintenant, ils tiennent en place.

Je commence à accélérer mes mouvements pour atteindre l’orgasme. Ce qui arrive toujours après la mort, c’est que le corps devient incontinent, c’est pourquoi je sens le cadavre laisser échapper à l’instant de l’urine qui longe ma verge et dégouline sur mes couilles.

J’adore ça.

Ce n’est pas compliqué, j’adore tous ce qui peut offenser une personne normale. Je vis à l’envers de tous, autant au niveau de mes fantasmes que ma façon de voir la vie. Je vis, je m’éclate, je profite. Les limites ne font pas partie de mon éducation. Mon psychiatre m’a collé l’étiquette d’un sociopathe narcissique avec troubles de la personnalité. Selon-lui, c’est exactement à cause de mes troubles psychologique que je fais ce que je veux et que ma folie a pris de l’ampleur au cours des années. Il peut dire ce qu’il veut, trouver l’origine de mes problèmes, ça m’est égal.

J’aime qui je suis.

Soudain, je tourne la tête, et fixe la caméra dissimulée dans un coin du plafond. Une caméra que j’ai fait installer dans chaque cellule, chaque étage, chaque recoin et chambre de l’immeuble. Le plus merveilleux, c’est que je découvre qu’une petite lumière bleue clignote. Ce qui signifie que l’écran dans le penthouse est allumé…

Oh… Voyez-vous ça… Seyv… tu me regardes… ?

Je sens ma queue être prise de puissantes secousses suivit d’une éjaculation tout au fond de ce cadavre encore chaud.

Je ralentis les mouvements de mon bassin et lorsque j’ai rempli cette chatte de mon foutre, je tourne lentement le visage en direction de la caméra, relève mon masque de crâne noir et… envoie un regard vicieux à Seyvanna. Je veux qu’elle voie bien la démence qui reflète dans mes yeux, qu’elle lise la perversion qui découle de mon être au point de la faire frémir de peur. Elle dit qui ne pas avoir peur de moi, est-ce toujours le cas maintenant, en me voyant à l’œuvre ?

Oh oui… tu regardes, Seyv. Tu as tout vu dans les moindres détails. Mais tu ne dois pas être si choquée si tu es encore là. Toi tu es différente. Toi qui ris quand tu tues un de mes gardes avec un simple fils étrangleur. Toi qui souris après que je t’ai frappée comme une putain. Toi qui réussis à gémir lors d’un viol collectif. Toi qui regardes encore la caméra en ce moment… voyant ces horreurs. Non, toi, je ne te fais toujours pas peur… Il y a un truc qui cloche chez toi. Et ce truc, je l’adore, ce truc me rend fou…

Mon cœur bat la chamade, si bien qu’il devient douloureux dans ma poitrine. Est-ce ça ressentir des sentiments pour une fille ?

Non….

Putain, qu’est-ce que je raconte ?! Cette nana est uniquement un pion. Rien d’autre. Je n’ai pas besoin de chercher à lui plaire. Je ne sais pas pourquoi l’idée qu’elle me voit tel que je suis, m’excite. Je dois arrêter d’espérer que sa part d’ombre pourrait aimer ma folie…

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