Chapitre 14. Un orage très érotique

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NDA : je sais que l’huile de palme est fort décriée depuis quelques années, mais contrairement à ce que l’on croit, les plantations n’ont pas été la cause du déboisement. En Afrique, le déboisement est causé par l’exploitation des essences rares par les exportateurs de bois exotiques sans scrupule et par la fabrication du charbon de bois par la population locale. Les plantations ont été créées dans des espaces déjà déboisés depuis longtemps. Ces espaces déboisés ont été alloués aux industries agro-industrielles.

Jour 11 (jeudi semaine 2) suite

### Pierre ###

L’avion décolla dans un bruit d’enfer, les deux moteurs donnaient plein gaz, et ayant l’habitude de ces coucous, je trouvais que les moteurs étaient en bon état de marche. Par contre Amina paniquait tant que l’avion roulait sur la piste. Vu le bruit ambiant c’était inutile de lui expliquer que l’avion devait atteindre une vitesse minimale avant que le pilote tire sur le manche pour soulever l’avion.

Une fois en l’air, la pression sur ma main diminua sensiblement et bientôt l’émerveillement de la vue la calma totalement. Elle parvint même à me faire un beau sourire.

Il y eut encore un moment de stress à l’atterrissage, la piste herbeuse était assez cabossée, cela promettait pour le retour. Bon, une chose à la fois, Amina avait bien supporté le vol et avant l’atterrissage, la vue sur la rivière Kasaï très large était magnifique !

Comme prévu, les directeurs venus par la route la veille et la direction locale étaient présents à l’accueil et nous partîmes vers la plantation une fois les présentations faites.

Amina, n’ayant jamais vu une plantation de palmiers à huile de près, trouva l’alignement des arbres très impressionnant. Je lui fis remarquer discrètement que la grande taille des palmiers, montrait que la plantation était ancienne et qu’il faudra songer à replanter bientôt ce qui allait modifier sensiblement la rentabilité de l’unité.

Une fois sur place, nous nous séparâmes, Amina se concentrant sur le social et le personnel, moi sur la partie agronomique et industrielle. La journée se passa à la vitesse de l’éclair et ce n’est qu’à la nuit tombée qu’on se retrouva à l’hôtel.

L’hôtel était correct, nous étions logés dans un pavillon ne comprenant que deux chambres, les deux directeurs étaient dans un autre pavillon. Le dîner était prévu vers 20 heures nous eûmes donc le temps de se rafraîchir et de mettre une tenue plus conventionnelle.

Amina, avait troqué sa ‘tenue de travail’ contre son splendide boubou jaune, qui fit sensation auprès du staff local tant féminin que masculin. L’ambiance était détendue et les conversations allaient bon train. Amina était un peu éloignée de moi à table, entourée par la chef locale du personnel et l’assistante sociale et je ne pouvais pas suivre leur conversation discrète mais animée. Je ne pouvais pas la quitter des yeux. Moi, j’avais dans mon voisinage le directeur de l’unité, les agronomes et les industriels et les échanges étaient centrés sur la vétusté générale de l’unité et le manque de moyens mis à la disposition par l’administration centrale. J’avais du mal à rester concentré sur la conversation de mes voisins.

Ma liaison avec Lysa, me démontrait amplement que cette relation ne pouvait pas s’éterniser. Amina, beaucoup désirable, était cependant hors de portée, c’était une employée de la firme et de plus ma collaboratrice personnelle ! Si elle n’était pas mon assistante, j’aurais moins de remords à la mettre dans mon lit ! Je regardais avec des yeux différents cette belle africaine dont j’appréciais de plus en plus sa peau. Je n’étais plus si catégorique que les femmes à peau d’ébène n’étaient pas attirantes !

Le dîner se passa très bien et nous rejoignîmes notre pavillon. Amina me rejoignit dans la chambre et nous faisions le débriefing de la journée.

Comme lors de la visite de Mbanza Mboma, l’état général de la plantation au niveau social était déplorable, le dispensaire ne répondait plus aux normes sanitaires de base, les habitations du personnel délabrées et les commodités (douches et toilettes) impraticables.

Amina me fit remarquer que les délégués syndicaux avaient déjà adressé plusieurs revendications à la direction locale mais sans résultat. De mon côté, je confirmais que l’usine méritait un reconditionnement approfondi, le matériel agricole était antédiluvien et l’équipement du personnel inexistant.

Sur ces constatations Amina me souhaita la bonne nuit avec un bisou. La climatisation de ma chambre était plus bruyante qu’efficace et je l’éteignis. Je préférais dormir nu mais en silence.

Dans la nuit, un énorme orage se déchaînait, comme toujours sous les tropiques, ils sont très impressionnants. Je me réveillais sous les coups de tonnerres puissants comme des coups de canon !

Je vis la porte de ma chambre s’ouvrir et Amina m’apparut dans sa splendide nuisette et sans parler se glissa dans mon lit et se blottit contre moi. Je ne pouvais pas faire semblant de dormir :

- Amina ? qui a-t-il ?

- Pierre, j’ai peur, je peux rester ici ?

- Ce n’est pas correct !

- Oui mais à Kin, je dors avec maman quand il y a des orages.

- Et ? demandais-je

- Pierre stp laisse moi rester !

- Bon, ce n’est pas convenable et inhabituel !

- Oui, mais tu dois me protéger !

Heureusement, les draps cachaient ma nudité, mais soudain je sentais une petite main toute légère sur mon torse et sa tête sur mon épaule. Je ne disais rien, mais ma verge n’était plus du même avis. Que faire ? je n’avais pas le cœur de la renvoyer dans sa chambre. Mais c’était mal de la garder ainsi. Il s’en fallait de peu pour que je la prenne dans mes bras et que je la possède ! Son corps me faisait fantasmer bien plus que celui de sa mère que j’avais caressé récemment. Je ne pouvais pas bouger, je devais respecter sa virginité. Elle me désirait peut-être, mais je ne tenais pas à commettre l’irréparable !

(Amina, j’espère qu’un jour tu me remercieras de te laisser intacte, jusqu’au jour où tu te marieras avec l’élu de ton cœur !)

Bientôt, j’entendis sa respiration s’apaiser et donc je compris qu’elle s’était endormie. Après Lysa, c’est une autre femme noire que j’avais dans mes bras et son corps chaud contre moi me donnait plus du tout envie de dormir. Des images érotiques firent surface dans mon esprit : Lysa et Amina ensemble dans mes bras. La mère et la fille me caressant et moi qui leur faisait l’amour ! (Non Pierre !! Pas question de les mettre ensemble dans ton lit ! Mais j’ai déjà goûté au fruit défendu ! Alors pourquoi ne pas continuer ?)

Je devais me maîtriser ! je finis par m’endormir malgré l’orage dehors et à l’intérieur de mon corps !

### Amina ###

Je me réveillais en sursaut, à cause de l’orage. Je n’avais plus entendu un orage aussi puissant depuis très longtemps. J’avais peur, d’habitude je me réfugiais dans le lit de maman. Mais j’étais dans une chambre inconnue, loin de la maison. Où pouvais-je me réfugier et si j’allais m’abriter chez Pierre ? Les portes des chambres n’avaient pas de verrou ; seule la porte extérieure fermait à clé ; donc je pouvais me glisser silencieusement dans sa chambre !

Seulement Pierre aussi était réveillé, il n’était pas content du tout que je veuille dormir avec lui ! Finalement il accepta à contrecœur, je suppose qu’il avait pitié de moi.

Que c’était apaisant, je me blottis contre son épaule droite et mis ma main droite sur son torse, oh ! il n’avait pas de T-shirt ! J’étais couché tout contre lui, mon bras gauche était contre son flanc. Je sentis sa peau douce. De ma main droite sur sa poitrine musclée, je percevais les battements de son cœur, il battait vite ! Mais je n’avais plus peur, c’était totalement différent que de dormir avec maman, sa présence me confortait, Pierre me protégeait comme un frère protège sa sœur ! Mais mon corps aspirait à plus, je voulais qu’il me caresse, mon intimité était humide ! Je n’osais pas faire le pas ultime, je résistais à peine de ne pas saisir sa verge que je percevais en érection.

Plus tard dans la nuit, je me réveillais à nouveau, l’orage était juste au-dessus de nous, j’entendais la pluie tambouriner sur le toit. Pierre dormait, mon corps avait tourné légèrement sur la gauche et je lui faisais face, mon bras n’était plus sur son torse mais sur son bas-ventre. Il n’avait pas de short ou de caleçon ! je n’osais à peine bouger ma main. Oh non ! ma main touchait des poils et était contre quelque chose de chaud ! c’était sa verge !!

J’eus une vision érotique, je m’imaginais le caresser comme sur certains sites d’internet où la femme secouait la verge de son partenaire ou la mettait en bouche. Ces images m’excitaient encore plus et je sentis l’humidité sortir de mon intimité. Oh Pierre réveille-toi, fais-moi l’amour ! Amina, tu es folle, ne bouge pas ! pense au rapport de visite que tu devras rédiger demain !

Dans son sommeil, Pierre se tourna vers la droite, maintenant il me faisait face aussi et son bras gauche vint sur mon épaule et glissa sur mon sein droit ! (Oh non ! mon sein se durcit et j’avais des crampes de désir dans mon ventre ! sa bouche était contre mes lèvres, sa verge contre mes cuisses…)

Jour 12 (vendredi semaine 2)

J’entendis la montre de Pierre qui sonnait pour le réveil, je m’étais donc assoupie malgré mon excitation. Je fis semblant de dormir, Pierre bougeait très doucement, je voyais entre mes paupières qu’il me regardait (non il regardait mon corps, mes seins, ma nuisette ne cachait pas grand-chose). Puis il se levait très doucement et sortit du lit. (Ciel ! sa verge était toute dressée et puis ses fesses bien fermes ! quelle vision !) je restais sans bouger. Il entrait dans la salle de bains puis ressortit après quelques minutes, il avait mis un pantalon mais était toujours torse nu. Il me toucha l’épaule :

- Allez la belle au bois dormant, tu veux un baiser pour te réveiller ? dit-il en souriant.

(Il était donc de bonne humeur, que lui répondre ?)

- Oui Pierre, comme dans le conte, donne-moi un baiser !

Il riait et me donna un baiser sur le front. (Dans le conte, le prince charmant embrassait la princesse sur la bouche ! Ce n’est pas juste !)

Je me levais donc et partis vers ma chambre. Du coin de l’œil je vis qu’il me suivait de son regard.

Dans ma salle de bains, je me regardais dans le miroir, je sais qu’avec ma nuisette je lui faisais de l’effet, car chez maman, il bandait de nous voir maman et moi en tenue légère. Assez étonnamment il n’avait fait aucun commentaire sur le fait que j’avais dormi dans son lit tout contre son corps. Oserais-je une autre fois ? J’espère qu’on aura encore des orages dans le futur !

Nous prîmes le petit-déjeuner ensemble avec les collègues, Pierre était un peu plus bavard que d’habitude. Il est vrai qu’il faisait déjà beaucoup allusion à nos observations de la veille.

Le matin était dédié à la rencontre avec les délégués syndicaux. Ils étaient inquiets quand à l’avenir de l’unité. Ils n’étaient pas stupides non plus, ils voyaient aussi le tonnage qui diminuait d’année en année. Ils voulaient que Pierre leur garantisse la pérennité de l’entreprise, cela Pierre ne pouvait pas le faire ! Heureusement les syndicats n’étaient pas agressifs, car ils savaient que faire une grève par exemple, réduirait les chances de survie à néant. Il y avait eu des exemples dans la région où les actionnaires s’étaient retirés laissant la plantation et l’usine entre les mains du personnel. Aujourd’hui ces plantations étaient fermées, le personnel n’était plus payé et vivait d’expédients. Ils vendaient un peu de fruits récoltés et fabriquaient de l’huile artisanale comme avant la colonisation.

À midi, Pierre proposait de prendre le repas en commun, certains délégués s’étaient rapprochés de moi, pour me convaincre de plaider leur cause auprès de Pierre. Je ne pouvais pas les rassurer, ils espéraient que j’aie beaucoup d’influence sur son jugement. Je devais me limiter en leur précisant que Pierre et moi nous étions très soucieux du social et du bien-être des personnes mais que l’étude que nous menions ne se limitait pas à cette unité mais à l’ensemble des plantations et des usines, pour l’huile de palme, le caoutchouc et le café.

Enfin Pierre levait la séance, précisant qu’il voulait rentrer à Kinshasa et de voler avec la clarté du jour. Un des délégués prit la parole, pour nous remercier de la visite et en espérant avoir rapidement des échos. Pierre répondit en les remerciant pour l’accueil, que l’étude prendrait plus d’un an et que les résultats devraient faire l’objet de nombreuses discussions avec les actionnaires. Il insista que le maintien de la paix sociale était très important pour la survie de l’entreprise.

L’ensemble des présents applaudissait et nous rejoignîmes l’aéroport.

En arrivant, nos bagages étaient déjà chargés, les deux directeurs nous saluaient en disant que la visite s’était bien passée et qu’ils rentraient sur Kinshasa durant le week-end.

Les pilotes nous avertissaient en disant que le vol du retour pourrait être perturbé car il y avait un gros orage sur Kinshasa et qui venait à notre rencontre ! Je n’étais pas du tout rassuré !

### Pierre ###

La visite s’était très bien passée, la présence d’Amina avait été un point essentiel pour calmer les inquiétudes du personnel. Le fait qu’une femme congolaise était membre de l’équipe d’évaluation les avait rassurés et le personnel avait eu ces deux jours l’occasion de voir et d’entendre qu’elle était soucieuse du bien-être social.

Avant de monter dans l’avion je profitais du silence relatif pour lui murmurer à l’oreille que j’étais très content de sa prestation. Elle avait bien géré le dialogue avec les syndicats, elle me fit un grand sourire de reconnaissance. Je m’attendais aussi à une réaction ou un commentaire relatif à sa présence cette nuit dans mon lit. Mais non rien ! et tant mieux dans un certain sens, je ne voulais pas l’attrister. Peut-être le stress du voyage retour qui s’annonçait orageux ne lui permettait pas de penser à autre chose.

J’espérais surtout que le vol ne serait pas trop acrobatique !

Pas de chance ! le vol retour fut terrible, à peine avions nous décollé que l’avion fut pris dans un orage tropical ! Les gouttes d’eau claquaient sur les vitres de l’avion. Les pilotes avaient beau grimper en altitude, rien à faire on restait dans l’orage.

Amina était terrifiée, j’avoue que je ne me sentais pas fort à l’aise non plus, mais j’avais confiance dans l’expérience des pilotes. Au début, elle serrait ma main, puis elle se tourna vers moi et cachait sa tête contre mon torse en serrant ma cuisse avec sa main droite. Sa main était presque sur ma verge, était-elle consciente qu’elle me faisait bander ?

– Amina, n’aie pas peur ! murmurais-je

– Oh Pierre, j’ai trop peur ! on va mourir ?

– Mais non ! s’il te plaît enlève ta main ! (car elle tenait sa main droite sur mon entrejambe ! Ce n’est pas possible ! elle le faisait exprès !)

– Pierre serre-moi dans tes bras !

Elle prit ma main droite et la plaqua sur son sein droit, elle frissonnait de peur ou de ce contact ? Je ne pouvais pas rester comme ça !

– Amina, calme-toi ! Regarde le ciel s’éclaircit, l’orage est derrière nous, dans moins d’une demi-heure nous serons à Kinshasa !

Elle se redressa, lâcha ma main et enleva sa main gauche de mon entrejambe. Elle tourna son visage ravagé vers moi et m’embrassa sur les lèvres.

– Pardon Pierre, j’ai vraiment cru qu’on allait mourir.

– Amina, il faudra plus paniquer comme cela, lui dis-je en essuyant ses larmes, Si tu veux travailler avec moi, il faudra t’habituer à voyager en avion et sous les tropiques les orages sont fréquents ! Il faudra t’endurcir.

– Oui Pierre, je ferai un effort, mais reste près de moi. J’aurais moins peur si tu es là !

Je lui rendis son baiser, je voulais l’embrasser sur la joue mais elle pivota sa tête et nos lèvres se rencontrèrent. Elle retint ma tête et me regarda droit dans les yeux tout en gardant nos bouches collées. Puis elle me lâcha en maîtrisant un dernier sanglot et inclina sa tête sur mon épaule. Je ne voulais rien dire, les bruits de l’avion ne permettaient pas vraiment un dialogue approfondi sur ce qui venait de se passer ! Heureusement les pilotes étaient trop absorbés par le pilotage dans cet enfer et n’avaient rien remarqué de ce qui s’était passé entre Amina et moi !

Elle mit sa main gauche sur ma cuisse cette fois près de mon genou. Ma verge reprit une dimension plus tranquille et je réfléchissais en silence sur ce qui venait de se passer.

Je me trouvais dans une situation difficile, quels sentiments avait Amina ? Était-ce simplement la peur, ou était-elle amoureuse de moi ?

Mes réflexions furent interrompues par l’atterrissage à Kinshasa, Amina se réveillait, car en finale elle s’était endormie sur mon épaule !

### Amina ###

Mes craintes s’avéraient fondées ! Jamais je n’ai eu aussi peur de ma vie ! Pierre tentait de me rassurer mais en vain. Le bruit, la pluie, les éclairs, les secousses, j’essayais de trouver un appui. Je cachais ma tête contre le torse de Pierre et main droite glissait malencontreusement sur son entrejambe ! Je sentis immédiatement son érection !

Je voulais que Pierre me protège, inconsciemment je voulais qu’il me fasse connaître l’amour avant de mourir ! Je serrais de ma main gauche son sexe raidi dans son pantalon et je pris sa main droite pour la plaquer sur mon sein. Dans ma peur je sentais mon corps vibrer de désir,

Pierre me demanda d’enlever ma main, mais je fis celle qui n’entend pas à cause du bruit de l’avion. Lorsque plus tard l’avion sortit des turbulences, Pierre essuya mes larmes et je l’embrassais en signe de remerciement, je voulais l’embrasser sur la bouche, mais il garda les lèvres fermées…

Il me parla en disant que je devrais m’habituer à voyager en avion, si je voulais travailler avec lui, mais cela m’était égal, je voulais qu’il m’aime d’amour !

Il voulait me donner un baiser sur la joue mais je détournais la tête pour que nos lèvres se rejoignent. Pierre ne disait rien et je mis ma tête sur son épaule. C’est dans cette position que Pierre me réveilla à l’approche de Kinshasa.

Ce qui m’étonnait c’est qu’il n’avait fait aucun commentaire, quoique je comprenne que dans l’avion le bruit empêchait un dialogue discret.

La voiture nous attendait et Zakpa nous conduisit chez moi. Maman nous attendait et fut très contente de nous revoir. Elle m’embrassait en demandant des nouvelles et puis étreignit Pierre en lui rappelant qu’il restait dormir ce soir ! Ce qui m’étonnait c’est qu’elle gardait son étreinte en lui demandant de rester et Pierre ne fit rien pour rompre cette embrassade !

NDA : Lysa s’accroche à Pierre ! Mais Amina à un désir grandissant ! Et Pierre ne veut pas la déflorer !!

Gardez le suivi de ce récit ! N’hésitez pas à faire des commentaires sur cette journée ! Votez svp pour montrer que cela vous plaît, l’aventure ne fait que commencer !

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