Après une très longue journée a la ferme, avec ses camarades de chambres - Juliette, Mathilde, Mia, Swan, Claire et Jade - Gabrielle alla se pelotonnée sous sa couette, avec son inséparable chat noir : Cachou. Elle commencait à s'endormir, lorsqu'un bruit attira son attention. Quelqu'un chuchotait derrière sa porte:

— Vous croyez vraiment que c'est elle ?

— J'en suis sur. Ca fait des années que je l'attend...

Elle reconnue le voix de Renne. Il discutait a voiux basse avec une dame d'un certaine âge. Une montée d'adrénaline la poussa a écouter a la porte :

— Mais que ce passera si vous vous trompez ? demanda la vieille dame, inquiète.

—Eh bien ...

Il n'eu pas le temps de finir qu'elle ouvrie brusquement la porte. Quand elle les vit, elle se rendit compte que la " vieille dame " n'avait en faite qu'une quarantaine d'année. Ils la regardèrent interloquer.

— Que fait-tu là ? Demanda Renne moitié géné, moitié surprit. Tu n'est pas en train de dîner avec les autres ?

— Non. Je n'avais pas faim. Répondit l'intéressée.

D'un air méfiant il entra dans sa chambre et regarda autour de lui. Garbrielle lui emboita le pas. Tous les lits étaient vides, les fenêtre ouvertes et les volaits fermés. Cet chambre n'avait pas été occupée depuis ce matin. Il s'assis sur un lit et invita Gabrielle a faire de même. La jeune fille s'éxécuta sans broncher. L'air était pesant. Renne prit une grande inspiration et demanda :

- je voudrais te parler de tes visions. dit-il d'un air grave

Un frisson lui parcouru tout le corp. La derniere fois qu'elle avait eu des visions, ce qui, chez elle était devenu courant elle en avait fait des cauchemards.

- Je sais qu'elle te font peur, mais il ne faut pas. Reprit-il.

-Pourquoi ?

L'homme mit un temps a répondre, comme si il avait peur de dire une bétise. Il ne semblait pas très sur de lui:

-Eh bien... Euuuuuuh... Vient voir, finit-il par dire.

Ils longaient les couloirs couvert de tableaux qu'elle n'avait encore jamais vue, lorsque Renne lui montra l'un d'eux. Cette oeuvre representait un homme a la cheveulure blonde comme l'or, et, aux yeux bleus comme la mer. Il se tenait sur un cheval aux contours imposants, qui ressemblait a celui que Gabrielle voyait la plus part du temps en visions. Sur sa monture, cet homme semblait fière, pourtant la jeune fille était a peut près sur que si il était a pied, il n'aurait pas la même expression. Amusé pas la tête qu'elle faisait, Renne ne sembla pas s'appersevoir des alarmes qui retentissaient et l'adolesente non plus. Pourtant les nazis arrivaient.