62. Ça va ça vient

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Julien

Après avoir mangé une crêpe dans un petit bar de la ville, nous avons repris la voiture. J’ai pu voir que cette journée avait au moins permis à Albane de renouer le lien avec mes enfants. J’en suis heureux, je sais que j’ai merdé en les montant inconsciemment contre elle à cause de ma colère. Elle ne méritait pas ça, et eux non plus d’ailleurs. Ils ont rigolé ensemble alors que je restais plus en retrait, plus silencieux, toujours sous le choc des révélations de la jolie brune assise à mes côtés.

Je profite qu’elle soit perdue elle aussi dans ses pensées en regardant le paysage qui défile pour l’observer à la dérobée. Elle est magnifique. On dirait que sa bouche est une invitation aux baisers, que ses lèvres s'entrouvrent juste pour moi. La ceinture qui passe sur sa jolie robe vert pastel met en valeur la courbe de ses seins bien ronds. Je ne peux m’empêcher de me souvenir de ses tétons qui sont si sensibles et ont répondu à la moindre de mes caresses lors de nos trop rares étreintes. Je vois aussi ses jolies jambes bien dénudées alors que la robe remonte légèrement sur ses cuisses. Je me souviens de la douceur de sa peau lorsque ma bouche s’est posée là. Quand je pense que son mari a violenté cette femme splendide, douce et joviale, cela me révolte. Elle doit sentir que je m’énerve car elle tourne sa tête vers moi et me lance un sourire qui illumine tout son visage. Je pense qu’elle remarque la bosse qui s’est formée dans mon jean car elle m’adresse un regard malicieux :

- Le paysage vous plaît, Monsieur Perret ?

- Je dois avouer que j’adore les monts et les collines qui s’offrent à ma vue, en effet. Je n’en ai pas l’habitude, vous voyez.

- Je vois très bien ce dont vous parlez.

Elle jette un coup d'œil à l’arrière et voit Gabin qui s’est endormi et Sophie plongée dans un livre, insensible au monde extérieur. Albane pose sa main sur ma jambe et serre doucement mon genou, puis elle se penche légèrement vers moi, m’offrant une vue plus que généreuse sur son décolleté. Heureusement que la route est droite et peu fréquentée ! Cette femme est telle Aphrodite, beauté et provocation, et je ne suis pas sûr qu’elle ait conscience de son pouvoir de séduction sur moi. Clairement, il m’est difficile de détourner le regard, elle nous fait prendre des risques insensés !

- Julien, pourquoi vous ne viendriez pas à la maison ce soir ? Pour rendre la journée d’anniversaire de Gabin encore plus… Mémorable…

Elle me susurre ces derniers mots à l’oreille et j’ai l’impression que ce n’est pas tant Gabin qu’elle veut voir chez elle, mais qu’elle a envie de profiter de notre réconciliation pour soulager les désirs inassouvis que nous partageons sûrement. Ou alors, j’ai vraiment les idées mal placées et tout ce qu’elle veut, c’est profiter de ce moment tous les quatre encore un moment. Mouais...

A la radio, Slimane et Vitaa sont en train de chanter “ça va, ça vient” et les paroles résonnent en moi.

Tu l'sais, dans la vie, on s'est tous plantés

C'est vrai, combien d'fois on a dû se relever ?

Personne n'est parfait, on est tous sortis du chemin

Tu sais, dans la vie, ça va, ça vient

Et comme ils le disent si bien, au fond tout va bien. Je réponds enfin à la proposition d’Albane.

- C’est une excellente idée, Albane. Mais je ne voudrais pas t’imposer des choses qui sortent de ton rôle d’éduc, lui dis-je dans un sourire taquin.

- J’ai fait un gâteau pour Gabin, en fait, donc je suis déjà sortie de mon rôle, rit-elle. Ai-je seulement déjà été dans ce rôle, de toute façon ?

- Eh bien, tu es pleine de surprises. Alors, c’est décidé !

Le reste du chemin se fait en silence, mais sa main ne quitte pas ma jambe. Je m’autorise moi aussi, lorsque la conduite me le permet, à poser ma main sur sa jambe nue et à la caresser. Elle soupire parfois et j’ai vraiment l’impression qu’elle apprécie ces petits contacts au moins autant que moi. Arrivés à la maison d’Albane, Sophie réveille Gabin et je leur annonce :

- Allez, les enfants ! On descend ! Albane nous invite et il parait qu’il y a un gâteau pour toi Gabin ! Quelle chance, non ?

- Ouiiii !!! Albane, il est au chocolat, le gâteau ?

- Evidemment qu’il l’est ! A quoi pourrait-il bien être, si ce n’est au chocolat ?

- C’est le meilleur anniversaire de ma vie !!!!

Et les deux enfants foncent en courant vers la porte de l’appartement d’Albane. Je ferme la portière de la voiture et je passe mon bras dans le dos d’Albane qui m’attend, et c’est dans cette proximité retrouvée que nous entrons chez elle. Sophie se précipite vers la bibliothèque d’Albane après lui en avoir demandé la permission alors que Gabin va retrouver Cravate, s’allongeant sur le canapé comme s’il était chez lui pour jouer avec elle. Je rejoins notre hôte dans son coin cuisine.

- Je peux faire quoi pour t’aider à préparer ?

- Regarde dans le frigo ce qui pourrait plaire aux enfants pour manger, je ne sais pas trop quoi préparer… Si le dessert est prêt, je n’ai pas pensé au repas, rit-elle en ouvrant ledit réfrigérateur.

Je me colle derrière elle pour aller voir ce que le frigo renferme. Je pose mes mains sur ses hanches et lui glisse un discret bisou dans le cou tout en lui faisant sentir mon envie, pressant mon entrejambe contre ses fesses alors qu’elle se love contre moi. Nous restons ainsi enlacés quelques trop courts instants avant que je ne m’écarte un peu pour la laisser passer. Elle dépose un baiser sur ma joue, laisse ses doigts traîner sur mon torse, descendant jusqu’à la ceinture de mon jean, et va préparer la table pendant que je sors quelques œufs, un morceau de camembert et des feuilles d’épinards en salade. Je prépare ensuite une omelette et je sens qu’elle s’approche derrière moi. Elle vient se coller contre mon flanc, glissant sa main, cachée par nos corps de la vue des enfants, sur mon ventre. Ses seins se pressent contre mon bras alors que ses doigts se promènent jusqu’à venir glisser sous mon tee-shirt pour caresser ma peau. De l’extérieur, nous devons être, certes, un peu proches, mais simplement en train de cuisiner. Pourtant, de ma place et de la sienne sans doute, ce moment d’intimité partagé fait monter la température, qui est déjà bien élevée ! Pas comme si j’avais vue sur cette poitrine divine et ce sourire en coin qui me donne envie de capturer cette bouche tentatrice.

J’ai envie de bougonner lorsque sa main quitte ma peau, mais Albane me passe les ingrédients au fur et à mesure, venant se coller contre moi à chaque fois. Nos doigts s’enlacent quelques secondes, et je repense à ce que nous avons déjà vécu sur ce plan de travail. Je pense qu’elle a la même idée que moi car je sens sa main qui s’attarde sur mon entrejambe et elle me mordille le lobe de l’oreille, toujours collée contre moi.

- A table les enfants ! C’est prêt !

Nous nous installons autour de la petite table, créant une proximité douce et agréable. Albane s’est mise juste à côté de moi et nos mains se font coquines et câlines sous la table. Je sens son pied nu remonter le long de ma jambe et me caresser gentiment alors que ma main se fait aventureuse sous sa robe. Je me permets de remonter jusqu’à sa culotte et je sens que son désir est en train de l’inonder, pour mon plus grand plaisir. Les enfants mangent sans se rendre compte de notre petit manège que nous essayons de garder le plus discret possible, malgré la tension qui monte au fond de nous. Je vois Albane se mordiller la lèvre à plusieurs reprises, et j’en joue, faisant courir ma main entre ses cuisses, frôlant son intimité qu’il me tarde de retrouver. Je bande tellement que je n’ose pas me lever pour aller chercher le gâteau.

- Sophie, tu veux bien être un ange et aller chercher le gâteau qu’a fait Albane ?

- Je t’accompagne, je crois qu’il y a des bougies à installer. On a parlé d’un anniversaire, non ?

Je sens à regret sa main quitter ma jambe et j’ai un sentiment de vide immense de ne plus la sentir à mes côtés. Albane se lève en posant sa main sur ma nuque, qu’elle caresse tendrement, me tirant un frisson, avant de rejoindre la cuisine avec ma fille. Je la vois avec plaisir rigoler avec Sophie en lui chuchotant des trucs à l’oreille. Je suis heureux de constater que leur complicité est de retour, et je me promets d’y réfléchir à deux fois, si ce genre de situation compliquée se présente à nouveau. Voir Sophie en colère contre notre éducatrice alors qu’elle l’apprécie tant et s’identifie à une femme autre que sa mère, m’a fait réfléchir. Je paierais cher pour savoir ce qu’elles sont en train de se dire, mais je n’ai pas le temps d’y réfléchir davantage car Gabin est venu s’asseoir sur mes genoux et son visage est tout sourire quand il voit revenir les deux femmes de notre vie avec le gâteau. Albane a éteint les lumières et c’est donc à la lumière des bougies qu’elles s’approchent en chantant “Joyeux Anniversaire.” Quand Albane se penche pour déposer le gâteau devant nous, mon regard se réfugie une nouvelle fois dans son décolleté. J’aperçois la dentelle crème de son soutien gorge à la naissance de sa gorge et surtout sa peau laiteuse qui me donne envie de la dévorer.

- Allez, on souffle tous ensemble et on fait tous un vœu ! dis-je en essayant de reprendre mes esprits.

- 3… 2… 1…

Nous soufflons tous ensemble, telle une famille réunie et c’est justement là le vœu que je fais : que cet anniversaire soit, comme celui de Sophie l’a été, l’occasion et le début d’un avenir qu’on pourrait écrire ensemble, avec Albane au milieu de nous.

Nous terminons le repas dans une ambiance tendre et pleine de rires et de sourires. Une fois le dîner terminé, nous rangeons tout ensemble. Albane me regarde, un peu hésitante.

- Vous restez pour la nuit ? Je n’ai pas envie de finir cette soirée toute seule…

Sophie, qui nous a entendus, intervient alors :

- Oh oui, Papa, comme ça, je pourrai finir mon livre… Je suis sûre que je peux emprunter un tee-shirt à Albane pour dormir. Et puis, comme ça, vous pourrez vous faire des bisous sans nous choquer !

- Sophie ! Ne dis pas de bêtises ! rétorqué-je, un peu gêné mais aussi amusé de sa spontanéité.

C’est un peu comme si elle nous autorisait à profiter l’un de l’autre, et pour ça, je lui en suis vraiment reconnaissant. Sophie se contente de rire et de me tirer la langue avant d’emmener son frère dans la chambre, nous laissant seuls, Albane et moi. Je me tourne vers elle et l’enlace alors que ses joues ont rougi.

- J’adore tes enfants, mais ils sont bien trop perspicaces, rit-elle en posant ses mains sur mon torse.

- Puisque nous avons sa bénédiction, il faudrait en profiter, non ?

Et je dépose enfin un baiser sur ces lèvres qui m’ont fait tant rêver toute la journée et que je goûte à nouveau avec plaisir. Ce petit goût de chocolat qui se mêle à notre baiser me rend fou de désir et je sens qu’Albane est aussi prête à chavirer, mais elle me repousse gentiment après avoir profité de l’instant.

- Calme-toi, Julien. Les enfants sont juste à côté et ne dorment pas ! Tu es incorrigible ! rit-elle en m’entrainant vers la chambre.

Albane récupère des vêtements dans l’armoire et les donne à Sophie avant de s’installer sur le lit, remontant sa robe largement pour être plus confortable, dévoilant ainsi ses magnifiques jambes que je reluque sans modération. Gabin vient s’installer contre elle alors qu’elle lui lit une histoire, et je me dis que je pourrai facilement m’habituer à cette vision : une femme, cette femme, splendide, en train de s’occuper de nos enfants. Je prie silencieusement pour qu’ils s’endorment vite, afin de pouvoir, moi aussi, profiter d’elle et de ses secrets cachés. Nous souhaitons ensuite bonne nuit à Sophie, qui est allée se changer dans la salle de bain et arbore un adorable tee-shirt avec une tête de chat. J’ai envie de rire en imaginant la jolie brune ainsi vêtue, mais je me dis que, de toute façon, je ne lui laisserais pas longtemps cette horreur sur le corps si elle se promenait comme ça devant moi. Albane chuchote quelque chose à l’oreille de Sophie, ce qui la fait sourire. Je n’ai pas saisi ce qu’elle a dit mais ma fille opine de la tête et Albane lui fait un clin d'œil et l’embrasse sur le front avant de sortir de la chambre. J’embrasse mes enfants et prends le temps de les câliner, même si je suis pressé de retrouver Albane. Je la rejoins après avoir éteint la lumière et fermé la porte, et alors que cette dernière m’attend dans la cuisine.

- Tu lui as dit quoi à Sophie avant de sortir ? lui demandé-je, curieux.

- Secret de filles, Monsieur Perret ! J’ai pas le droit d’en parler !

Et elle éclate d’un rire cristallin qui provoque un serrement dans mon cœur. J’adore cette femme. Je ne vois pas comment je pourrais envisager un avenir sans elle. Je la suis au salon et elle me fait signe de venir m’installer à côté d’elle, sur son canapé.

- J’adore tes enfants, Julien, murmure-t-elle avec un sourire attendri collé sur le visage. C’est fou comme les enfants sont innocents et bons. Ils m’acceptent et… J’aurais presque l’impression que ce sont un peu les miens tant ils me donnent de l’amour sans rien demander en échange.

- Ils se rendent compte que tu es formidable, Albane. C’est tout.

Albane se colle contre moi et m’embrasse à nouveau. Ses mains glissent dans mes cheveux alors que nos langues se cherchent, que mes mains pressent ses hanches avant de glisser sous sa robe pour venir caresser ses cuisses. Le moment est à la fois tendre et passionné, intense, jusqu’à ce qu’elle me repousse à nouveau alors que je suis déjà bien excité.

- Je vais prendre une douche. Surtout ne t’enfuis pas, il n’est pas encore minuit, mon prince parfois charmant et souvent ronchon.

Elle se relève, et coquine, fait tomber sa robe devant moi, dévoilant ses jolies formes dans ses sous-vêtements de dentelle, avant de courir vers la salle de bains, en se dévêtissant sur le chemin. J’admire ses fesses qui se trémoussent lorsqu’elle ferme la porte derrière elle. Je suis dans un état avancé d’excitation et je ne peux m’empêcher de déboutonner mon jean pour libérer mon sexe tellement je suis déjà bien dur et prêt à l’action. J’entends l’eau qui commence à couler et je me rapproche. Une idée m’est venue et j’ose espérer qu’elle a eu la même en osant m’abandonner pour une douche. Je finis de me déshabiller avant d'entrouvrir la porte de la salle de bains.

J’entre dans la petite pièce et je la vois, nue en train de se rincer les cheveux sous la douche. Je ferme la porte à clé derrière moi afin de ne pas être dérangés si les enfants venaient à sortir de la chambre et je l’admire quelques instants. Elle me tourne le dos et ne m’a pas entendu entrer. J’admire ses jolies fesses, ses longues jambes et la cambrure de son dos. Elle se savonne en chantonnant et ses mains s’attardent sur ses tétons qui, je peux le voir lorsqu’elle se met de profil pour attraper le gel douche sur la petite tablette, pointent. Madame a l’air bien excité, et je ne suis pas en reste. Je sens ma queue se tendre vers cet être si désirable.

Je m’approche doucement et ouvre la porte de la douche, puis me glisse rapidement derrière elle. Mon torse collé contre son dos, je glisse mes bras sous les siens et enserre ses seins dans mes mains. Albane soupire de contentement et glisse une main entre nous pour venir saisir mon sexe. Elle semble aussi excitée que je le suis. Je sens l’eau chaude couler sur nos corps qui ont envie de se retrouver. Je dépose des baisers dans son cou, brisant ainsi le jet qu’elle avait dirigé directement sur ses tétons déjà tout durs. Elle se retourne et me fait face dans ce petit espace exigu.

Mon éduc, qui n’a absolument plus rien d’une éduc à cet instant, attrape ma main et la porte entre ses cuisses, m’incitant à venir caresser ce doux paradis enfin retrouvé. Evidemment je me laisse faire volontiers alors qu’elle empoigne mon sexe de sa main libre. Elle gémit déjà et nous nous retrouvons à nous masturber mutuellement. Sa main va et vient sur mon membre tendu entre elle et moi pendant que je fais aller mes doigts dans son antre trempé. Nous nous embrassons et je m’occupe d’un de ses seins que je masse et caresse avidement.

Je l’embrasse dans le cou, puis sur les seins, dont je saisis alternativement les tétons entre mes lèvres pour les dévorer avec gourmandise et finis par m’agenouiller devant elle. Elle s’accroche au mur et se met à gémir lorsque ma langue vient goûter à son nectar, pendant que mes mains caressent ses fesses et l’empêchent d’échapper à ma bouche. Elle passe ses mains sur mes cheveux mouillés, me collant encore plus contre elle. Je la sens haleter et elle pousse de profonds gémissements trahissant son désir et le plaisir que je lui donne, surtout quand je joins deux doigts au fond d’elle à ma langue caressante. Je promène ma main libre sur sa cuisse, sa hanche, ses fesses, et quand je lève les yeux, j’ai une vue exceptionnelle sur ses seins lourds dont les tétons pointent vers le ciel. Albane se passe la langue sur les lèvres et ferme les yeux. Elle est bandante et j’adore la faire gémir comme ça. Quand je sens ses doigts se crisper sur ma nuque, j’ai l’impression qu’elle connaît un premier orgasme. Je sens le témoin de son plaisir remplir ma bouche et je me délecte de ce nectar dont j’essaie de ne perdre aucune goutte. La belle brune a les jambes tremblantes et moi je suis déjà au summum de l’excitation alors qu’elle passe sa main sous mon menton et m’incite à me redresser.

Albane prend d’assaut ma bouche à peine ai-je retrouvé la position debout, et nous nous embrassons avidement. Je la repousse contre le mur de la douche et passe mes lèvres doucement sur ses joues jusqu’à aller trouver la peau fine de son cou. Elle se frotte contre mon sexe qui bande comme rarement et se masturbe avec alors que mes mains ont pris d’assaut cette poitrine qui me fait de l’oeil quotidiennement, emprisonnée dans beaucoup trop de tissu. Là, libre de tout vêtement, à découvert et exposée à mes mains, à ma bouche, elle est encore plus désirable. Je ne peux d’ailleurs résister à la tentation de prendre à nouveau ses tétons entre mes lèvres et je me mets à les mordiller, les téter alors que je la sens qui commence à onduler contre moi. D’une main, elle empoigne mon sexe et frotte mon gland contre sa fente, venant l’appuyer contre son clitoris et gémit de plus en plus. J’attrape la douchette et la dirige aussi sur son intimité, afin de rajouter aux caresses de mon membre la chaleur et la pression du jet d’eau. Puis, je prends un peu de savon et je laisse mes mains parcourir son corps de sirène alors que nous n’arrêtons pas de nous embrasser.

Sa main se pose finalement sur mon torse et elle me repousse contre le mur opposé de la douche. Le jet d’eau chaude arrive maintenant directement sur ma queue, qui bande encore plus sous l’effet de cette pression. Albane m’admire dans sa douche et se mordille la lèvre inférieure avant de venir s’agenouiller à son tour devant moi. Sa tête est à hauteur de mon sexe dressé fièrement devant son nez. Elle ne se fait pas prier et le prend directement dans sa bouche alors qu’une de ses mains se saisit de mes testicules pour les masser pendant qu’elle commence à aller et venir autour de mon sexe en ouvrant bien la bouche. La sensation est divine et quand elle se met à me lécher de la base de ma queue jusqu’au gland, je fais tout ce que je peux pour ne pas jouir dans l’instant tellement la douceur de son geste, mêlée à l’excitation déjà bien présente, me fait presque vriller. Elle le fait en me regardant, ce qui ajoute encore à la sensualité du moment, si c’est possible. Je pose mes deux mains sur sa nuque et j’accompagne ses mouvements. Albane finit par déposer un baiser sur mon gland et me regarde avec une moue coquine avant de me surprendre, remplaçant sa bouche par ses deux seins qu’elle utilise pour me masturber de manière lente et sensuelle, tout en levant ses yeux vers moi, ce qui a pour effet de me rendre encore plus fou de désir. Cette femme est formidable, divinement sexy et je ne sais pas comment je peux lui résister. En ai-je seulement envie ?

Alors qu’elle me reprend en bouche, je ne mets pas longtemps à je me sentir prêt à éjaculer au fond, elle cesse brutalement ses caresses buccales et me regarde, les yeux levés, une main sur mon sexe, l’autre sur mes testicules, ma queue qui frémit et tremble devant elle. Albane se lèche les lèvres et les mordille sensuellement puis vient titiller encore et encore le bout de mon gland de sa langue, se contentant d’y déposer juste le bout. A chaque fois, je sens mon désir se relancer, mais le contact est trop court pour provoquer mon orgasme. Elle me tient au creux de ses mains et je n’attends qu’une chose, qu’elle me donne le signal que je peux me lâcher, que je peux laisser s’échapper toute cette tension qui est en moi et enfin jouir, mais elle se contente de me maintenir au bord de l’orgasme malgré tous mes efforts.

- Albane… S’il te plaît… Ne me fais plus attendre… J’ai envie de toi !

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