Réunion de famille

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Une fois en bas on retrouve tout le monde. C’est une véritable réunion de famille vu que Jean est rentré également. Nous nous installons moi a coté de ma douce marie en face de moi.

- Moi chuchotant à Amandine : Excuse moi.

- Amandine chuchotant en retour : Pas de problème.

- Moi chuchotant : J’ai vu que Marie

- Maman me coupant : c’est bientôt fini les messes basses les amoureux !

- Moi : Désolé maman.

- Maman : On veut profiter de vous pour une fois qu’on est tous là.

- Papa : Oui c’est vrai ca fait plaisir d’avoir ta présence Marie.

- Marie souriant : Merci Papa.

Maman nous sert une part de sa quiche ainsi qu’un peu de salade pour accompagner. Nous mangeons tout en discutant. Les discussions vont dans tous les sens, mes parents parlent de tout et de rien, c’est avec un plaisir non dissimulé que Amandine participe à nos conversations.

La quiche est complètement mangé, c’est rare qu’on soit si nombreux et qu’il ne reste rien de cette quiche. Maman qui fait souvent plus que nécessaire nous demande si nous avons suffisamment mangé. Tout le monde semble rassasié, on passe malgré tout a un beau plateau de fromage. Le repas aura duré un moment lié aux discussions notamment. Maintenant ce sont les “prolongations”.

- Maman : Pierrot, vu que marie est là, j’imagine que tu va partager ton lit avec Amandine, sauf si tu veux qu’on lui sorte le matelas gonflable.

- Moi rougissant légèrement : Non, on va dormir ensemble si Amandine est d’accord.

- Amandine souriant légèrement : Pas de problème.

- Jean taquin : Je sens qu’il vont pas dormir beaucoup moi ….

- Maman : Vu le raffut que tu fais avec ton copain la nuit, je serait toi je la ramènerai pas trop !

Tout le monde explose de rire y compris Jean. Effectivement j’ai entendu mon Jeannot une fois ou deux entrain de faire des choses avec Alan. Ils ne sont effectivement pas toujours suffisamment discret. Je réalise soudain qu'en fait Maman a dit ça devant tout le monde. Forcé de constaté que Marie est au courant de cette relation. Je ne sais pas trop comment elle l’a appris mais c’est fait.

Jean est comme tout le monde plié de rire. Et ce malgré la prise de tête a laquelle j’ai assisté ce matin. Je pense être le seul au courant en dehors des deux compères bien entendu. Jean semble pas tant affecté par cette mise au point en fin de compte.

Après un long fou rire communicatif, Maman nous apporte sa fameuse mousse au chocolat, elle l’avait préparé hier au soir. Tout le monde est se régale, il n’y a presque plus aucune discussion. Amandine remercie et félicite ma Maman pour le repas puis nous débarrassons tous ensemble.

On monte finalement dans ma chambre avec Amandine, je la laisse s’installer tranquille. De mon côté je vais a la salle de bain avec mes quelques vêtements de rechange.Je me souviens la triste nouvelle concernant “l'indisponibilité” d’Amandine. Je me décide alors à me “soulager”, en effet je n’ai aucune envie de bander même accidentellement.

Mes vêtements sales finissent rapidement dans le panier. Puis je commence à palper mes testicules pour me donner un peu envie.Étrangement, je n’ai pas plus envie que ça alors même que je suis nu et entrain de me motivé. Je ne comprend pas trop, j'insiste malgré tout et serre mon sexe qui grossit lentement mais sûrement.

Mon sexe commence enfin a avoir une taille disons correcte, je rentre dans la douche et continue ma sollicitation avec des mouvements. Sentant mon excitation de plus en plus grande, je commence à laisser couler l’eau. Je fini par penser a une des expérience avec ma douce Amandine. Je me remémore mon premier cuni, ce souvenir agréable me fait jouir agréablement.

Ayant fini “ma petite affaire, je repense à ce délicat souvenir du cunilingus. Je me dit d’ailleurs que j’adorerai recommencer. Il me faudra attendre pour cela mais qu’importe ! Dans ma famille j’ai souvent entendu cette expression qui me paraît appropriée “Tout vient à point à qui sait attendre”.

Finalement douché, les dents brossées et habillé. Je rejoins ma douce Amandine qui attend gentiment son tour. Avant de la laisser partir je l’embrasse intensément et avec quelques douces caresses. J’en profite même un petit peu en lui caressant rapidement les fesses. Elle ne s’en offusque pas mais je n’y reste pas pour autant. Je ne compte pas me donner de nouvelles envies.

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