Bonus

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Bonus ~ En route vers l'adoption

Luka

Une adoption n'est pas, pour un couple gay, une mince affaire. Malheureusement pour nous, car Andy et moi désirons vraiment avoir un enfant. Cela fait plus d'un an que nous en parlons. Et puis, nous avons passé un énièmes Noël en compagnie de notre princesse Jade. Le soir du réveillon, lorsque nous sommes rentrés, Andy s'est collé à moi et m'a avoué ne plus pouvoir attendre, il désirerait réellement devenir père, si évidemment j'étais toujours d'accord,le plus rapidement possible. Nous avons donc décidé qu'après le jour de l'an, nous débuterons cette nouvelle année avec une démarche de demande d'adoption.

Donc en Janvier, nous avons fait une demande d'agrément d'adoption enenvoyer une lettre à l'Aide Sociale à l'Enfance (ASE) de l'Aveyron, en précisant notre situation familiale. Petit à petit, le temps est devenu de plus en plus long et l'espoir devenait de moins en moins fort. Mais presque deux mois après notre demande, nous avons enfin reçu une notice d'adoption, nous demandant la confirmation concernant la demande d'agrément d'adoption et de constituer le dossier d'agrément.

Après moult et moult paperasses et préparation de dossier, avec également l’obtention de l'agrément de l'adoption, Andy et moi, avons fait une demande auprès de Tribunal de Grande Instance (TGI) pour adopter un enfant de moins de quinze car nous désirons un nourrisson. Nous avons aussi demandé à Marie d’être notre avocate et que toute décision passe d’abord par elle.

Cela fait maintenant huit mois que nous avons obtenu l'agrément et personne ne nous a contacté, jusqu'à ce matin. Je suis à la maison devant mon ordinateur pour travailler mais je n'arrive plus à me concentrer, tout ce que j'attends ce qu'Andy rentre du boulot pourlui annoncer la nouvelle.

La convention téléphonique avec Marie tourne en boucle dans ma tête. Simplement pour m'assurer qu'elle est vrai.

— Luka, j'ai une bonne nouvelle, le Tribunal de Grand Instance m'a contacté ce matin, ils ont trouvé une famille. C'est un jeune maman, elle est tombée enceinte par accident, si on peut dire ça comme ça, le préservatif a malheureusement craqué et maintenant après avoir bien discuté avec ses parents et son petit ami, elle a décide qu’elle ne souhaitait pas garder son bébé et désire donc le faire adopter. Mêmes si je connais la réponse, je suis obligé de te la poser. Êtes-vous, tous les deux, toujours d'accord pour adopter un nourrisson ?

— Bien sûr que nous sommes toujours d'accord. C'est une excellente nouvelle. Bon sang, je n'y crois pas c'est bien en train de se passer, hein ? Tu m'annonce qu'il est possible que nous aurons un bébé prochainement ?

— Oui mon Luka, c'est ce que je suis en train de te dire. Vous avez rendez-vous avec cette jeune fille, son petit copain, et leurs parents Mercredi prochain à seize heures. Cela vous convient ?

— C'est parfait, Andy et moi serons là. Tu seras avec nous ?

— Oui évidemment que je serais avec vous. Je suis votre avocate, je ne vous lâche pas jusqu'à ce que les papiers soit signé et qu'on vous dise que ce petit bébé sera dans votre maison bientôt.

— Mon Dieu ! Merci ma belle.

—Je t'en pris. À mercredi chéri.

— A mercredi.

De suite après ma conversation j'ai appelé le restaurant de Roberto pour lui réserver notre table favorite à Andy et moi. J'ai décidé de faire la surprise à mon mari et du lui annoncer ce soir lors du petit dîné aux chandelles chez notre italien favori.

— Coucou, j'ai passé une journée épuisante au boulot. Bon déjà parce queToby et Jer ont été insupportables à vouloir se bécoter à chaque fois qu'il n'y avait pas de clients. Et puis parlons-en justement des clients, certains...

Quand il entre dans la cuisine et me vois visage fermé, Andy s'arrête de parler et m'étudie.

— Salut...

— Ben chéri qu'est-ce qu'il t'arrive ? me demande-t-il en venant se coller contre moi pour me câliner.

Je passe mes bras autour de lui et le serre en soupirant de bien être. Mon homme me regarde dans les yeux et attends que je réponde. Je lui dépose un baisé sur ses lèvres charnues avant de lui présenter mon plus beau sourire.

— Chéri ce soir on mange chez Roberto, j'ai une grande nouvelle a t’annoncer, je finis par lui annoncer.

— Ah ! D'accord, on a le temps de prendre une douche ?

— Évidemment que nous avons temps ! je m'exclame avant de lui prendre la main et de partir en direction de la salle de bain.

Assis face à face à notre table au restaurant, après t'avoir passer commande, je regarde amoureusement Andrew. Je vois bien que je l’inquiète, je prends donc sa main dans la mienne par dessus la table et me lance :

— J'ai eu Marie au téléphone aujourd’hui... je commence par lui dire.

— Ah ! Comme a peu près tous les jours, se moque-y-il.

— Ah, ah, ah ! Non, plus sérieusement, elle m'a appelé de façon plus... professionnelle.

—Elle t'a appelé pour te parler de notre demande d'adoption ? demande-t-il nerveux tout d'un coup.

— Oui, dis-je en baissant les yeux vers mon assiette.

Je sais que je suis cruel de faire durer le suspens mais je souhaite vraiment trouver les bons mots pour lui annoncer.

— Luka...gémit-il. Qu'est-ce qu'elle t'a dit bon sang ?

— Elle nous donne rendez-vous mercredi prochain. Nous allons rencontrer une potentielle famille, je finis par lui révéler en relevant la tête pour le regarder dans les yeux. Les siens sont pleins de l’armes prêtent à couler le long des ses joues.

— Oh mon dieu ! On va peut-être avoir un bébé ? demande-t-il avec une voix rauque pleine émotions.

— Oui chéri, nous allons, peut-être, être bientôt parents, je lui réponds tout sourire.

— Raconte moi tout, je veux que tu me donne tout les détails que Marie-Anne t’a transmis.

Je vois sur son visage, une joie immense, alors juste après que Roberto nous ai apporté nos plats, je lui parle de cette jeune fille tombe enceinte à cause d'un préservatif percé et tout autres détails que j'ai en ma possession.

***

Andrew

C’est mercredi. Aujourd'hui nous avons rendez-vous avec le couple de jeune adolescent qui souhaite faire adopter leur bébé, et leurs parents. Je suis dans un état de nervosité impressionnante. Jamais, même pour notre mariage, j'ai été aussi stressé de ma vie.

— Chéri, tu vas bien se passer, le réconforte Luka, en me prenant dans ses bras.

— Je sais, mais je n'arrive pas à me détendre. Je ne sais pas... je soupire, en me collant plus à lui. Tu te rends compte que si on ne leur convient pas, ils refuseront que l'on adopte leur bébé venir.

— Je comprends et je suis comme toi, mais je suis confiant, enfin je l'espère, parce que nous sommes un couple unis, parce que nous nous aimons depuis toujours, me dit-il, avant de m’embrasser sagement.

Il colle son front au mien avant de soupirer.

— Bon nous devons y aller, déclare Luka après quelques secondes de silence, en s'éloignant et en me tendant sa main.

Je prend une grande inspiration puis prend sa main dans la mienne et lesuis à l'extérieur de la maison.

Après une trentaine de minutes, nous arrivons à Saint-Affrique. Un petite ville d'environ huit milles habitants pas très loin de Roquefort. Nous retrouvons Marie garer devant une petite maison dont les murs sont blancs avec des volets et porte en bois foncé. C'est une maison campagnarde, un petit terrain d'herbe séparé par un minuscule chemin de cailloux.

Lorsqu’elle nous vous arriver, elle sort de la voiture. Comme à son habitude, elle est habillée d'une jupe tailleur, aujourd'hui de couleur gris clair et d'une chemise blanche.

— Coucou vous deux, nous dit-elle en venant nous serrer dans les bras. Je sais que vous êtes stressé, mais ne vous inquiétez pas. Mes chéris, je tiens à vous dire que si vous êtes là, c'est que votre dossier leur a plus, que selon eux, vous avez toutes les qualités et ressources nécessaires pour un enfant, donc faites-vous confiance les amis.

Nous hochons la tête avant que Luka me prenne la main. Il l'a serre tout en me regardant puis se penche pour m'embrasser.

— Prêt? demande-t-il contre mes lèvres.

— Prêt ! j'affirme la gorge serrée par les émotions.

Nous regardons à nouveau Marie, j'ai un sourire léger sur les lèvres malgré mon estomac complètement noué par la peur. Elle nous conseille, pour nous recentrer, d'inspirer par le nez et d'expier parla bouche à plusieurs reprises. Ce que Luka arrive a faire à la perfection, mais moi... moi, je suis tellement nerveux que respirer simplement est déjà une action très difficile, alors faire cette exercice de respiration est tout bonnement impossible.

— C’est partie, on y va. Madame Valérie, l'assistante sociale, nous attends avec la famille a l'intérieur.

Dès les premières minutes de l'entretien, nous faisons la connaissancede Lily, enceinte de sept mois maintenant qui est en couple avec Jordan depuis plus d'un an. Mais ils n'ont que seize et dix-sept ans et ne s'imaginent pas encore parents, voilà pourquoi ils ont décidé, tout les deux, de faire adopter leur enfant au lieu d'avorter. Magali et Richard, les parents de Lily, tout comme Bernard et Juliette, les parents de Jordan, nous ont bien fait comprendre qu'ils sont plus que septique à l'idée qu'un enfant grandisse avec deux hommes. Mais fort heureusement, la décision revient aux parents et non aux grands-parents. J'espère donc que nous avons une chance.

Nous avons parlé avec eux durant plusieurs heures, plus nous discutions, plus je me détendais ainsi que Luka. Nous avons raconté notre vie, depuis le début, en commençant par notre tragique séparation jusqu’à nos retrouvailles. Lily et Jordan avaient l'air de boire notre histoire. Ils nous ont même avoué, pensé que nous n’étions pas fait pour être ensemble étant jeune. Étrangement, cette phrase m’a rappelé celle de Luka plusieurs années il y a quelques années.Lily et Jordan, nous ont expliqué qu'ils voulaient devenir avocat et vétérinaire, ce qui signifie pas mal d'années d'études encore. Ce que je trouve très ambitieux.

En sortant de notre rendez-vous, je pars confiant, même si une part de moi, me dit de me méfier de la puissance décisionnaire que peuvent avoir des parents sur leurs enfants.

— Nous nous retrouvons à la maison pour manger ? demande Marie en se dirigeant vers sa voiture.

— Non, je suis épuisé et je pense que j'ai besoin d'être seul avec Andy pour qu'il me serre dans ses bras, avoue Luka, sortant enfin de sa bulle d'angoisse.

— Très bien ! De toute manière, on se voit dimanche pour notre dîner en famille habituel.

— Ça roule à dimanche, tornade, je réponds en souriant.

— Raaah, ce que vous m'énervez avec ce surnom à la noix...

J’explose de rire.

— Non, tu adores ça ! je m'écris en me dirigeant vers notre véhicule.

***

Trois semaines, trois semaines que nous avons eu rendez-vous avec Lily, Jordan et leurs parents. Trois semaines que nous n'avons aucunes nouvelles quelles qu'elles soient. Trois semaines que je me morfonds dans les bras de mon homme, qui me réconforte à chaque fois.

— Chéri, laisse les réfléchir. Nous n'étions pas les seuls à les rencontrer. Je suis autant impatient que toi mais tant que ni Marie, ni Madame Valérie ne nous a pas appelé, c'est que leur décision n’est pas prise.

— Je sais, mais je ne peux pas m'en empêcher, je déclare en me déshabillant avant de me glissant sous les draps au côté de Luka. Mais, bon sang amour ça fait trois semaines que nous attendons.

Luka soupire tout en se collant à moi. Il pose sa tête sur mon torse, passe son bras et sa jambe par dessus mon torse et mes jambes. Il relève la tête abordant un sourire taquin sur les lèvres.

— Je sais comment te faire oublier pendant quelques minutes, déclare-t-ils d’une voix rauque.

Il descend sous le draps en parsèment mon corps de baisers. Lorsqu’il prend un de mes tétons entre ses dents, je gémis et me cambre. Mon sexe qui était mollasson et devenu en l'espace de quelques secondes dur comme de la pierre. Arrivant au niveau de ma queue, Luka la suce par dessus mon caleçon.

— Hm, Luka... je soupire.

— Que veux-tu mon amour ?

— Ce que je veux ? Bon sang chéri ! Je veux ta bouche sur ma queue, illico presto !

Il ris tout en passant ses doigts dans mon sous-vêtements et le fait descendre. Je l'aide en levant mon fessier. Lorsque je suis entièrement nu, Luka revient entre mes jambes et ne m'a laisse pasle temps de réfléchir et prend mon sexe dans sa bouche. Au début, il ne suçote que mon gland, avant de l'enfoncer au fond de sa gorge, jusqu'à avoir un haut-le-cœur.

— Oh merde ! je m'écris en attrapant ses cheveux dans mes mains et en arquant mon dos pour m'enfouir plus profondément, mais Luka appuie ses mains contre mes hanches.

Il décide de délaisser complètement mon sexe et lèche une mes bourses, la prends en bouche, et la suce et donne le même sors à l’autre. Luka remonte afin de lèche mon calibre dans toute sa longueur, fait tourner sa langue sur mon gland rougit pas l’excitation. Ma respiration hachée totalement excité. Puis effectue des vas-et-viens dans un rythme régulier qui me provoque des frissons dans tous le corps. Tantôt rapide, tantôt lent, il me maltraite et me tient sur le fil.

— Luka, je râle bien trop excité, mais surtout par j'ai besoin d’avoir cette orgasme qui est sur le point de pointer le bout de son nez, mais qui est repoussé trop souvent par mon mari. Je t'en supplie, je soupire. Fait-moi jouir.

Il lève la tête et sort mon gland de sa bouche avec un son POP me provoquant un puissant frisson. Il remonte jusqu'à mon visage et m’embrasse avec passion.

— J’aime quand tu me supplies, me susurre-t-il.

Il colle ses lèvres sur mon coup et mordille ma carotide, ce qui a le dont de faire sursauter ma queue tout en la faisant couler de liquidé pré-éjaculatoire. Je me cambre et essaie de me frotter contre lui mais il se met à genoux entre mes jambes, baisse son caleçon faisant apparaître son sexe devant mes yeux.

— Tu la veux ? demande-t-il sournoisement.

— Tu le sais bien, je rétorque en soupirant.

Il sourit puis prend sa lèvre inférieure entre ses dents. J'ancre mon regard dans le sien qui brille d'un pur désir. Toujours les yeux dans les yeux, il me prépare rapidement avant de me pénétrer lentement, centimètres par centimètres. Une fois enfouie en moi jusqu’à la garde, il attend que je m'habitue à lui. Lorsque jehoche la tête, il commence à faire des vas-et-viens. Plus aucuns bruits ne résonne dans notre chambre à part nos gémissements et nos respirations. Ses coups de boutoir deviennent de plus en plus rapides et puissants. Luka prend mon membre dans sa main et suis le même rythme de son mouvement de bassin. Il se penche afin de coller ses lèvres aux miennes. D'un coup, il enfonce son calibre puissamment et férocement avant de gémir bruyamment contre mes lèvres. Lorsque je sens son sperme gicler en moi, ça provoque mon propre orgasme.

— Aaah, je crie en jetant ma tête en arrière.

— Je t'aime mon cœur, soupire-t-il en s'effondrant sur moi.

— Je t'aime aussi Lukamour...

***

Luka

Aujourd'hui, nous sommes Mercredi, encore un mercredi... le quatrième. Quatre semaines que nous attendons, Andy et Moi, mais je ne désespère pas. Je sais que temps que nous n'avons pas de nouvelles, c'est que Lily et Jordan n'ont pas pris de décision, mais quatre semaines... Bon sang ! Un mois c'est long, tellement long. Le plus perturbé est mon mari qui plus le temps passe plus il s'inquiète et déprime.

Depuis quelques jours, je travaille à la maison pour préparer les plans et les recherches sur les meubles en accord avec les demandes de ma cliente. D'habitude, j'ai l'esprit occupé donc tout va bien, mais là, là, je ne pense qu'à cette réponse tant attendue. Je regarde mon ordinateur sans vraiment voir ce qu'il y a sur cet écran. D’un coup je sursaute en entendant mon téléphone vibrer sur la table. Je le regarde et voix le nom de Marie. Ma respiration se coupe. Je m’empare de mon smartphone les mains tremblantes, je le sens vibrer sur ma peau pendant que j'essaie de respirer à nouveau. J'appuie sur ce petit rond vert apparu sur mon écran, en prenant une grande inspiration et le met en haut parleur avant de le reposer sur la table.

— A...Allô ?

— Salut chéri, tu es assis ? demande-t-elle d'une voix douce.

Oh ça sens mauvais...

— Oui, je réponds malgré ma gêne crée par cette boule coincé au fond de ma gorge.

— Bien ! Alors, j'ai eu Mme Valentin au téléphone il y à peine cinq minutes.

— Hm, Hm ?

— Après avoir vu plusieurs personnes, et surtout malgré l'avis de leurs parents, Lily et Jordan ont décidé que vous serez les heureux parents de leur petite fille ! s'écrit-elle folle de joie.

Je regarde le téléphone, les larmes aux yeux, j'entends à peine les félicitations de Marie-Anne trop ému. Lorsque que je reviens à la réalité, je percute qu'elle m'a aussi annoncer le sexe : une petite fille.

— Nous...nous allons avoir une petite fille, dis-je plus pour moi-même qu'à Marie.

— Oui chéri, Andy et toi, vous allez avoir une petite fille, déclare-t-elle en sanglotant.

— Je... Il faut que j’appelle Andrew. Je ne sais pas comment te remercier Marie.

—Tu n'as pas à me remercier Luka, souffle-t-elle. Soit encore plus heureux que tu ne l'es déjà et ça me suffit.

Je souris attendrie par sa déclaration, les larmes coulant toujours le long de mes joues.

— Merci d’être présente depuis toujours ma belle.

— Mais ce n’est rien, tu le sais... Je dois te laisser un client arrive. Je vous aime tous les deux, bisous.

— Bisous et encore merci.

Je raccroche et regarde mon mobile sur cette table à manger que me sert de bureau, en souriant béatement. Je suis heureux... Je l'étais déjà avant, mais là, je vais être papa, Andy va être papa, nous allons, a nous trois, former notre propre famille.

Je ne sais pas depuis combien de temps je suis assis sur cette chaise à regarder ce portable le sourire éclatant sur mes lèvres, mais je secoue la tête et me décide d'appeler mon mari. J'ai a peine le temps de lancer l'appel que mon Andy entre à la maison donc je raccroche.

— Amour je suis rentré... Étrangement, j'ai eu le pressentiment que je devais revenir plus tôt à la maison alors du coup Toby et Jer m’ont limite jeter...

Lorsqu’il me vois téléphone en main, lèvres sur-élever en montrant mes dents et mes yeux débordant de joie, il s'arrête et analyse la situation.

— Mon dieu, tu as eu des nouvelles ? Lily et Jordan nous ont choisi ? demande-t-il en courant vers moi, les traits de son visage montrant clairement son stress.

J’ouvre la bouche pour parler, mais tellement heureux de cette situation, qu'aucuns sons ne sort. Je me résous donc à sourire et hocher la tête.

— Putain ! s'écrit-il en se jetant sur moi pour étreindre. Nous alors être parents. Seigneur, ils nous ont choisi... murmure-t-il contre mon oreille.

— Oui mon cœur, nous allons être parents, je souffle avec ma voix sanglotante.

Je ferme mes bras autour de sa taille et l'attire un peu plus contre moi. Je cale ma tête contre son épaule, ferme les yeux, puis nous nous laissons envahir de cette immense joie pendant que nos yeux pleurent de bonheur.

Fin

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