Arrestation

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« Monsieur, il est 17h45 et vous êtes en état d’arrestation pour viol sur mineur. Tous ce que vous direz pourra être retenu contre vous lors du procès » Ils m’ont embarqué sur ces mots? Je les ai suivis, les mains attachées dans le dos, sans un mot. Ils m’ont installé dans la voiture, direction la taule. Quand je suis arrivé on m’a directement envoyé en cellule. Cellule n°8. j’était avec un mec complètement barge ! Deux jours après mon arrivé en prison on m’a emmené dans une salle avec une chaise, une table te un miroir et rien de plus. Un homme de je ne sais quel grade s’est installé en face de moi. Il me demande ce qui s’est passé avec cette gamine.

Je suis arrivé dans l’ établissement le 16 Novembre. Je l’ai vue cette garce, dès le premier jour je l’ai repérée. Elle me faisait de l’œil, je le sais , je le sens ! Ca faisait quelques temps déjà que je la suivais. Quelques fois je l’entendais m’appeler dans ma tête « Maximin ! Max ? ». elle l’avait bien cherché. Elle voulait de la bite cette salope. A ces mots, l’homme d’autorité ( de je ne sais quel grade) me dit que mes propos sont quelque peu déplacés. Il me dit aussi que ça l’étonnerait beaucoup qu’une petite de 14 ans voudrait d’un con de l’âge de 25 ans !

C’était un jeudi de décembre, il été 15h15, elle sortait des cours et allait rentrer chez elle. J’attendais qu’elle sorte… je devais débaucher à la même heure alors j’ai refermé le portail et j’ai commencé à la suivre. Je pensais qu’elle ne m’avais pas vu, elle continuait sa route si sûre d’elle, sans se retourner. Je savais où elle habitait et c’est la que j’ai compris qu’elle avait remarqué ma présence, quand elle tourna dans cette rue de droite. Sans issue, sombre, étroite, humide, sans rien ni personne pour l’entendre gueuler et demander de l’aide. Je lui ai demandé de se déshabiller ; elle n’a pas voulu alors je l’ai aidée ! Je l’ai pris par le bras, serré assez fort pour qu’elle ai une marque. Et c »zqt LA que tout a commencé. Ca lui plaisait je le sens ! Elle criait, demandait de l’aide, elle priait pour que qulequ’un vienne à son secours. Et plus elle hurlait plus ça m’excitait. Je ne vois vraiment pas en quoi c’est mal d’avoir de sexe ? Bon celle ci avait 14ans mais ce n’est qu’un détail. C’ était la première fois mais pas la dernière. Je savais que tous les mercredis elle se rendait au jardin publique pour y composer ses chansons de merde ! Et je recommençais tous les mercredis, dans les chiottes publiques et ça me plaisais. Les flics et les psy me prennent pour un fou. Et si elle n’avait pas tourné dans cette rue…

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