24 - King Kong

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« Venez vous asseoir Claire »

Gérard a installé la couverture sur la banquette afin que Claire y pose ses fesses et elle s'est collée contre lui. Il l'a entourée de ses bras.

« Merci Gérard »

Un tendre baiser en reconnaissance pour le plaisir qu'elle venait de prendre.

« Gérard je voudrais vous demander... »

« Oui Claire »

« Nous nous connaissons depuis plusieurs années. Pourquoi maintenant ? »

Pourquoi l'envie de la baiser ne le prenait que maintenant. Il a compris le sous-entendu.

« Des regrets ? »

Claire n'a jamais aimé quand la réponse à une question est elle-même une question.

« Non pas de regret. Les regrets ne font pas vivre. Alors pourquoi ? »

« Pierre »

« Pierre ? » Elle a feint la surprise mais elle s'attendait à cette réponse.

« Oui, Pierre. Nous avons travaillé ensemble ces dernières années. Il a toujours été loyal, consciencieux, efficace... »

« Et alors ? »

« Bref, la relation professionnelle de confiance, s'est transformée en relation amicale, de confiance elle aussi »

Tout en parlant les mains de Gérard lui caressaient les seins. Les palpaient. Et elle savourait pleinement ce moment de proximité.

« Et donc vous ne sautez pas les femmes de vos amis... mais vous n'avez plus ce scrupule on dirait »

« Claire, j'ai toujours eu envie de vous sauter, comme vous dites. Mais vous sembliez un couple très uni et Pierre vous adore ... »

Elle l'a coupé pour lever les ambiguïtés.

« Oui, il m'aime. Et je l'aime aussi »

Ses actes contredisaient ses propos. Elle en avait conscience et cela lui était désagréable.

Gérard a repris :

« Vous savez, au cours des contacts commerciaux, il n'est pas rare que nous ayons des ouvertures. Dans les salons, les foires, les occasions ne manquent pas »

« Et vous les avez saisies »

« Moi oui. Pierre jamais. Fidèle de chez fidèle »

La remarque a fait du mal à Claire. Elle était donc Infidèle de chez infidèle. Celle qui trahissait.

« Vous ne répondez toujours pas à ma question initiale »

« Je vais y venir. Cette fidélité de Pierre en faisait sourire certains. D'autres se moquaient gentiment »

« Pas vous ? »

« Non, pas moi. Ne pas suivre le troupeau n'est jamais un défaut. Il avait toute mon estime pour cela aussi »

« Et il ne l'a plus ? »

« Si. Toujours »

« Alors pourquoi maintenant ? »

« Lors du repas amical à la maison, l'autre soir, je vous ai vu accorder des privilèges à Olivier. Dans un premier temps il y a eu de la déception. Et puis je me suis dit que j'avais été un con toutes ces années »

Déception ! Ce mot l'a interpellée. L'a agacée.

« Je vous déçois ? »

« Non. Je vous connais mieux maintenant »

« Plus en profondeur, c'est ça ? »

Il a rit.

« Vous aimez Pierre et vous aimez l'amour »

Elle a rectifié « J'aime faire l'amour avec Pierre. Baiser avec les autres »

C'est vrai, Pierre, je reprenais goût au plaisir d'être remplie. De jouir. Est-ce que, sans que nous en prenions conscience, trop d'habitudes s'était insinuées dans notre couple ?

Gérard a repris et complèté sa pensée :

« Maintenant je veux rattraper le temps perdu »

Pour accompagner son propos sa main a caressé sa chatte et un doigt l'a pénètrée. Elle a soupiré doucement.

« Si nous rentrions Gérard »

« Comme vous voulez Claire. Rentrons »

Il lui a tendu sa robe.

« Tenez, si vous voulez la passer ? »

Elle l'a fixé en souriant.

« Non. Je reste nue »

Le visage de Gérard s'est illuminé d'un large sourire de satisfaction.

Les regrets ne font pas vivre. Les remords non plus.

Pour le retour Gérard a pris le volant. Elle s'est installée près de lui et elle s'est abandonnée au vent et au soleil, jambes largement écartées, sans aucune gêne.

Elle fermait les yeux.

J'étais toujours dans une douce euphorie, Pierre.

Gérard, conduisait tranquillement, d'une main. Sa droite ne quittait pas les cuisses de Claire, son sexe.

Il entretenait le feu.

Seuls les changements de vitesse ou de direction lui faisaient abandonner la douceur de sa peau et la tiédeur de son sexe. Elle était plus exposée qu'à l'aller et quelques coups de klaxon ont ponctué le trajet. Elle s'en moquait. Son amant la protègeait.

Elle évitait d’ouvrir les yeux, de crainte de voir des nuages assombrir le ciel et son humeur.

Ils sont arrivés sans encombre. Gérard a garé la voiture.

« Claire je vous rejoins à la piscine. Je vais nous chercher de quoi nous désaltérer » Il a déposé un baiser sur ses lèvres.

Lors du chemin jusqu’au bassin, des images de ce qui s’était passé dans cette maison il y a peu lui revenaient. Avec émotion.

Elle a plongé. Elle glissait dans l’eau. Lentement, elle a nagé une longueur, fait la planche.

Gérard est revenu, une bouteille de champagne et deux verres dans les mains. Des serviettes coincées sous ses bras.

Il avait revêtu un peignoir… Il l’a enlèvé. Il était nu.

Il l'a rejointe dans l'eau. ils ont nagé ensemble puis il l'a bloquée contre un mur pour l'enlacer.

« Et vous Claire, pourquoi trompez-vous Pierre ? »

C'était sans sommation et elle redoutait cette question.

« Un hasard »

Réponse ridicule... Elle a répondu un peu n’importe quoi.

Ouvrir les cuisses n’engageait pas à ouvrir son cœur. A ce compte là l'histoire de sa vie serait un best seller.

Gérard a insisté :

« Olivier est un hasard ? J'ai du mal à y croire »

Il lui caressait le visage. Il était tendre.

Mais la remarque était désagréable. Elle la ramènait des années en arrière.

« Disons qu'il a gagné à un concours de circonstances »

Par le passé, en gros, j’ai donné mon corps à qui le voulait. Quant à mon âme, je n’imaginais pas que je pouvais en avoir une. Tous ne regardaient que mon cul. Certains ne se gênaient pas de m’appeler ouvertement la salope. Mais tu connais tout cela Pierre. Déjà je te faisais souffrir avant que nous décidions de vivre ensemble.

« Et il a gagné le gros lot »

« Il n'y avait qu'un seul lot. Qu'un seul joueur »

« Un seul lot, mais de choix »

La bite de Gérard a pris du volume et se frottait contre son ventre. Il lui embrassait le nez, les yeux, les joues, les lèvres, les lèvres, les lèvres...

« Et si nous allions goûter à votre champagne »

Pierre, tu t'es intéressé à mon cerveau. Déjà, tu ne criais pas avec la meute. Je t'ai souvent chambré à ce propos en te disant que tu t'intéressais au haut pour avoir le bas. Cela te vexait. C’est vrai que j’étais alors de mauvaise foi. Comme tous les autres, tu aurais pu accéder à l’entrée de service sans passer par le grenier.

Comme Gérard ce jour-là.

« Vous êtes si pressée ? »

Il l'a retournée. Sa queue était maintenant dans sa raie.

Il empoignait ses seins, l'embrassait dans le cou. Elle laissait aller sa tête en arrière, sur son épaule.

Alanguie.

Il lui a murmuré à l'oreille :

« Vous ne voulez pas me dire pourquoi Olivier ? »

« Ça ne vous regarde pas »

Non ça ne le regardait pas.

Pierre, tu connaîs tout de mes turpitudes. Presque toutes... presque.

Tu as accepté mon passé. Ce lointain passé.

Mais ce passé plus récent le comprendrais-tu ? Me le pardonnerais-tu si tu en connaissais toutes les composantes ?

Tu me dis avoir souffert en silence bien des fois. As-tu eu des doutes ? Des certitudes ?

Elle s'est dégagée de l'emprise de Gérard.

« Allons boire »

Il l'a laissée filer et l'a suivie avec des yeux gourmands avant de la rejoindre.

Alors qu'elle prenait une serviette pour s'essuyer, Gérard la lui a enlèvée des mains.

« Laissez-moi faire »

Il a commencé par les cheveux en frottant énergiquement.

« Arrêtez, vous êtes fou ! »

« Vous vous attendiez à autre chose ? »

« Oui, j'avoue »

Il l'a alors enveloppée dans la serviette et l'a serrée dans ses bras.

« Comme cela par exemple »

« c'est mieux »

Contre elle, sa queue a repris de la vigueur. La pauvre. Elle jouait les montagnes russes alors qu'elle aurait surement préféré jouer au train fantôme.

Il a entrepris un essuyage tout en délicatesse. Il n'allait pas user la serviette ! Et il l'a laissée tomber au sol. Inutile artifice.

Il s'est penché pour lècher les gouttes sur ses seins. Il têtait. Il mordait les tétons qui pointaient déjà sous l'excitation.

Il a soulevé les globes, pressé, enveloppé, caressé.

La respiration de Claire s'accélèrait.

Il est descendu et a continué de lécher, le ventre, le nombril. Il est tombé à genoux.

Elle caressait ses cheveux. Il lui a fait écarter les jambes... ou est-ce elle qui les a écartées naturellement comme une évidence ?

Elle le voulait.

Sa langue a ouvert les pétales. Une plainte est sortie de sa bouche. Il n'asséchera pas cette partie là a-telle pensé. Non. Mais sa langue était assoiffée.

« Ho ! Que c'est bon Gérard »

Elle s'est adossée sur la table derrière elle, bassin en avant, lui offrant un accès plus aisé à sa fontaine.

Sa langue fouillait. Ses dents mordaient.

Que c'était bon !

Des doigts ont remplacé la langue. Ils la pénètraient, la caressaient à l'intérieur.

« Mon dieu ! Qu'il prie pour mon âme »

Le pouce sur son bourgeon, ses doigts entraient et sortaitent. Allaient et venaient

D'abord lentement, tendrement, lentement, tendrement.

Ils ont accélèré. Ils la masturbaient de plus en plus loin, de plus en plus vite.

Gérard la regardait perdre pied avec bonheur.

Son bassin accompagnaient les mouvements des doigts.

« Mon dieu, occupez-vous de mon âme, je m'occupe du reste ! »

Ses jambes fléchissaient. Les doigts la faisaient chavirer.

L'autre main est passée par derrière. Un doigt s'est glissé jusqu'à son petit trou, l'a investi . S'est introduit.

« ho oui »

A nouveau sur un nuage. Elle savourait cette jouissance donnée et reçue. Car Gérard prenait aussi du plaisir.

Et puis... et puis...

« Ce n'est pas tout, mais nous étions venu pour boire »

Gérard s'est relevé pour aller remplir les verres.

Le salaud. Il me mènait à sa guise. Je ne le comprenais pas. Il ne voulait pas me prendre ? Pourtant il bandait normalement. Je le faisais bander.

Il se jouait d'elle.

Il lui a tendu un verre pour trinquer.

« A vous Claire. A votre ouverture d'esprit »

Ce n'était pas bien aimable !

« Vous situez mon esprit à un drôle d'endroit »

« Je plaisante, vous avez bien compris »

« Ah. Je n'ai pas l'esprit ouvert alors ? »

Il a sourit :

« Vous n'arriverez pas à me mettre mal à l'aise »

Il l'a attirée à lui. Elle a résisté et s'est dégagée.

« Que vous arrive-t-il ? »

Il a bu une gorgée avant de poursuivre :

« Je vous fait peur tout à coup »

« Je ne comprends pas votre attitude, Gérard »

« Pourquoi je ne vous baise pas ? Pourquoi je ne me donne pas du plaisir ? »

« Par exemple, oui »

« J'aime vous regarder jouir Claire. Votre abandon vous donne une lumière particulière »

Jouisseur et flatteur. C'était toujours bon à prendre et il vallait mieux entendre ça que d'être sourde.

« J'aime vous voir nue »

Il s'est assis et l'a attirée à lui pour l'installer sur une de ses cuisses. Tournée de coté. vers lui.

Il tenait son verre dans la main droite et son autre main caressait le dos de Claire.

Elle lui a alors posé la question qui était sur sa langue depuis un moment :

« Et Virginie dans tout ça ? »

« Je m'attendais à la question »

« Gérard, vous n'êtes pas obligé de répondre »

« Ça ne me gène pas »

Il a pris le temps de la réflexion en buvant une gorgée.

« je vais être court. J'aime les femmes. Virginie aussi. Ou dit autrement, j'ai couché, et elle couche. C'est la réponse de la bergère. Mais même si elle ne dédaigne pas les hommes, sa préférence va maintenant vers les femmes »

La recherche de plaisirs saphiques.

« ... »

« Ça vous laisse sans voix »

« Et depuis … ? »

« Quelques temps. Nous nous sommes aimés avec passion. Aujourd'hui l'amour a fait place à une affection... une amitié véritable. Une complicité aussi »

Elle ne savait que dire et Gérard n'attendait pas de commentaire particuliers.

Sa main était câline dans le dos de Claire, jusqu'à la naissance de la raie des fesses.

Il ont trinqué à nouveau.

« A tous les amours »

Et il a poursuivit :

« Virginie est très discrète sur son attirance sexuelle »

Claire n'avait pas envie d'en savoir plus.

Elle examinait Gérard. Pas un athlète mais il entretenait son corps. Même si, comme beaucoup d'hommes de son âge, il avait pris un peu de ventre, il conservait une allure humaine.

Et avec une bite, somme toute, courageuse.

Mais rien à voir avec le corps de Pierre, et surtout celui d'Olivier.

Claire, toute à ses pensées, a sourit.

« Pourquoi souriez-vous Claire ? »

« Je me dis que votre bite fait grise mine. Et je vais devoir vous laisser »

« Déjà ! »

Elle caressait la poitrine velue de Gérard. Frôlait ses seins. Les pincait.

« J'ai des choses à faire avant de récupérer Pierre à la gare ce soir »

« J'aimerais que vous m'accordiez une nuit »

Elle a répondu par un sourire énigmatique.

Ses doigts tricotaient les poils. Il en avait plus que Pierre. Pas ourang outan. Mais touffu.

Il a compris ses pensées.

« Vous avez l'impression d'être avec un singe ? »

« Non. Pas à ce point là »

« Merci »

« Vous, vous êtes doté de la parole »

Il s'est levé alors brusquement. elle a crié autant de surprise que de peur de se retrouver à terre. Il l'a retenue, posé son verre, et s'est lancé dans des gesticulations pour imiter la démarche d'un singe.

Plié sur ses jambes, bras ballants, la langue sous la lèvre inférieure pour la gonfler.

« Hum hum hum »

Il a couru, sauté. Sa queue ballottait aussi.

« Hum, hum »

Il se redressait pour impressionner et tapait de ses poings sur sa poitrine.

« Hum, hum »

Claire ne pouvait s'empêcher de sourire.

Et elle est rentrée dans le jeu.

« Sois gentil King Kong »

« Hum hum »

apparemment il reconnaissait son nom.

Le King Kong du pauvre alors. D'autant que ses bourses étaient déjà vidées.

Il a couru dans la pelouse et s'essayait à faire des roulades. Pas très réussies... Claire a éclaté de rire.

« Attention à tes vieux os King Kong »

Elle vouvoyait l'homme et tutoyait la bête.

Il s'est remis debout et est revenu vers Claire en mimant ce que pourrait être l'attitude d'un singe qui s'est fait mal au dos. Avec une mine déconfite et une main qui tenait son dos.

« hum, hum » tristement

« Mais non King Kong, tu n'es pas si nul »

Il lui a tendu ses lèvres toujours gonflées. Elle y a déposé le baiser espéré.

Il est reparti alors tout joyeux en sautant, et a fait le tour de la piscine. Il est revenu, et en restant sur la pelouse, il s'est assis copiant toujours la position du singe. Il n'avait pas la souplesse de l'animal et l'installation a été plutôt laborieuse.

Ce qui a provoqué un nouvel accès de rire à Claire.

« Hé bien King kong, tu manques d'exercices ! »

Alors, comme on peut le voir dans les zoos, il a pris sa queue pour se masturber en la fixant.

« Hum, hum, hum »

« Te voilà bien excité ! C'est le bisou qui te met dans cet état »

« Hum hum hum »

C'était trop drôle !

Sa bite gonflait dans sa main.

« Mon pauvre King Kong, tu vas te faire des ampoules »

Il lui a fait signe d'approcher.

« Hum, hum hum »

« Tu as besoin d'un coup de main ? »

« Hum, hum »

« Ça ne m'étonne pas »

Elle commencait à comprendre le langage du singe des villes.

Elle s'est assise prés de lui, sa main a remplacé celle de Gérard et elle a entamé des vas-et-vient sur son membre. L'effet a été spectaculaire.

Sa bite, qui prêtait à rire il y a peu, devenait prête à servir.

« Huummmmmmmm »

Son langage en deviendrait humain !

Et le désir est revenu dans le corps de Claire. Une bouffée de chaleur. Cette bite la tentait à nouveau. Sans doute l'endroit de l'homme qui ressemble le plus à un singe.

Il s'est laissé basculer sur le dos, queue raide toujours entre les doigts de Claire .

Elle ne la voulait pas dans sa bouche. Non. Elle ne voulait pas être Duracell, qui suce quand on s'en sert...

Ca c'est une blague de toi Pierre. Tu sais, dès fois, te mettre à niveau.

Elle voulait être remplie et il ne lui échappera pas cette fois. Elle l'a enjambé et tout en tenant son membre à la verticale, elle s'est empalée doucement. Jusqu'au bout.

Pour l'homme, ce geste de la femme est toujours d'une charge érotique puissante.

Elle sentait bien sa queue !

Elle montait et descendait doucement.

« Oh oui Claire, vous êtes démoniaque »

Il a retrouvé la parole. Des mots qui lui allaient droit au bas-ventre.

Elle s'est allongée sur lui. Buste contre buste. Elle le fixait. Pas de baiser. Elle ne voulait pas l'embrasser. Seulement le regarder.

Uniquement du plaisir charnel. Du cul.

Pourtant, il cherchait ses lèvres, et elle esquivait.

Son bassin ondulait sur son pieu. Elle trouvait la pénétration qui lui procurait le plus de plaisir. La queue bougait, coulissait.

Il était aux anges et elle aussi.

Mais elle en voulait plus et elle savait qu'il allait aimer lui aussi.

Elle s'est redressée sur ses genoux pour ressortir la queue qui était en elle. Une aspiration qui a arraché un râle à Gérard.

Elle a déplacé ses fesses pour présenter le gland à l'entrée de son cul. Même si les présentations était inutiles.

Et elle l'a enfoncé lentement jusqu'à s'asseoir complètement. Les bourses butaient contre ses fesses. Elle l'avait bien au fond.

Elle s'est appuyée en arrière sur les cuisses de Gérard pour favoriser une pénétration profonde. Et à nouveau son bassin a ondulé. C'était divin... ou démoniaque.

Son corps a été traversé d'ondes jouissives.

Gérard maltraitait ses seins.

Une main caressait sa chatte. Cherchait le bouton d'amour, l'a trouvé.

Elle a émis des sons inintelligibles. Un peu à la King Kong.

Elle s'est redressée légérement pour rendre son sexe plus accessible. Des doigts l'ont pénètrée et masturbée, toujours la bite dans le cul.

C'était trop, c'était trop.

« Oui Gérard, comme ça »

Son bassin s'activait sous la baguette des doigts et faisait bouger sa queue derrière.

« Oui, oui »

C'est le signal qui les a emportés. Les cris se sont confondus. Elle a reçu sa semence dans les reins.

Elle s'est effondrée sur lui.

Pierre, cet après-midi a été dense. Riche en émotions érotiques. C'était bon. Très. Je ne regrette rien.

De retour au domicile, j'ai pris un bon bain. Il a été reconstituant physiquement si ce n'est moralement. Non pas que je n'avais pas le moral. Ça oui je l'avais.

Mais je pensais à LA morale.

Le soir je te récupérais à la gare.

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