Jean émet quelques gémissements de douleur mais m’encourage à continuer. Visiblement ça le soulage cette pommade et j’essaye de rester délicat en m’appliquant. Après un moment Jean se retourne et je vois immédiatement qu’il bande le petit voyou.

- Moi : Tu parles de moi mais t’es pas mal motivé toi aussi.

- Jean : Avec tes caresses et sachant ce qu’on va faire oui !

- Moi : Oula des caresses non ! Je prends soin de toi c’est tout !

- Jean : Je sais bien t’en fais pas.

- Moi : Oui parce que ne compte pas sur moi pour te faire du bien.

- Jean amusé : Non t’en fais pas !

- Moi : Tu peux essayer de calmer un peu ta bête s’il te plaît ?

- Jean amusé : Oui... désolé.

Bizarrement, j’ai un peu mal à l’enduire de pommade de ce côté notamment parce que je vois sa “bête” toujours bandée. Je sais très bien ce qui me gêne, c’est que nos parents ou Amandine nous surprennent et s'imaginent des choses alors qu’il n’en est rien. Enfin pas encore me dis-je intérieurement.

Jean semble ne plus avoir trop mal et se redresse.

- Jean : Bon go ?

- Moi amusé : Tu perds pas le nord toi hein !

- Jean : Non !

- Moi : Je me lave les mains et je suis à toi.

- Jean : OK, on se retrouve dans ma piaule ?

- Moi : D’accord.

Jean prend son pantalon de pyjama et commence à glisser un pied à l’intérieur.

- Moi taquin : Pas franchement utile de te rhabiller !

- Jean amusé : Petit coquin !

- Moi amusé : C’est toi qui dis ça !

On rigole un moment et après m’être lavé les mains je rejoins Jean qui a regagné sa chambre. Il a son téléphone à la main et semble avoir préparé un film.Jean a encore son slip mais me regarde semblant attendre que je me déshabille.

- Moi : Bah alors tu n’as pas encore libéré la “bête” ?

- Jean amusé : C’est le type qui a encore tout ses vêtements qui me dit ça !

- Moi : J’attends que tu me montres l’exemple ….