Le petit chaperon rock

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Il était une fois, dans un pays lointain, dans une époque éloignée (ou pas), une dame qui habitait dans la forêt. Elle vivait dans une charmante maison isolée dans une clairière. La dame en question s'appelait Marie et était à la retraite. Elle avait dirigé la plus grande maison de passe en ville. Une maison un peu particulière, spécialisée dans la domination. Ça avait été une des références du SM, Madame Marie comme on l'appelait à cette époque. Mais ce temps-là était révolu. Elle cultivait maintenant un petit potager dans sa clairière, derrière sa maison.

Le second personnage de cette belle histoire s'appelle Jean-Loup et il est forestier. Il vit la plupart du temps dans les bois et s'occupe de l'entretien des arbres de la forêt. C'est lui qui dit aux bucherons : "il faut couper celui-ci, élaguer celui-là, en planter un là ou là-bas". Il fait ça depuis qu'il est sorti de l'école primaire, donc inutile de vous dire qu'il connait cette forêt comme sa poche. Il sait se repérer par tous les temps et toutes les saisons et connait les moindres talus, clairières et bosquets . Il peut presque appeler chaque arbre, chaque lapin et chaque champignon par son prénom.

Ensuite nous avons Red, une jeune actrice de porno, sans tabou. Une jeune femme qui n'a pas froid aux yeux. Une reine de la sexcam à la maison. Une petite brune aux cheveux mi-courts, teints en rouge, au corps un peu androgyne, plutôt petite et mince, peu de poitrine, la peau mate, de grands yeux noirs. On dirait un chat, enfin une chatte. Elle est d'une vivacité folle, on dirait qu'elle saute partout promptement... un petit chat prompt Red (rouge pour ceux qui sont nuls en anglais).. oui, je sais c'est nul... Mais moi, ça me fait sourire. Et donc Red est bien la petite-fille de Marie. C'est la seule partie qui correspond à l'histoire originale.

Et enfin, notre ami Robert, braconnier de son état, retraité de la gendarmerie, mais qui maintenant joue au chat et à la souris avec les gardes forestiers, dont notre ami Jean-Loup, cité plus haut. C'est un grand costaud, le teint rougeaud, sans doute alcoolique. Il passe son temps dans la forêt aussi, pour y poser des pièges, ramasser des champignons. On m'a également dit qu'il allait de temps en temps rendre visite à Marie dans sa maison de la clairière, mais ce ne sont sans doute que des ragots....

Donc, cette histoire commence en automne, le sol de la forêt est tapissé de feuilles mortes ce qui fait que marcher discrètement est un peu délicat. C'est toute la difficulté à laquelle est confronté Robert, qui fait sa tournée pour relever ses collets et essayer d'en profiter pour récolter quelques champignons. A sa décharge, on peut dire qu'il prépare un lapin au girolles absolument succulent. Il fait son possible pour cheminer sans bruit, dans un tapis de feuilles mortes de plusieurs centimètres. Heureusement, le temps est très humide, ce qui fait que ces feuilles ne crissent pas trop et sont plutôt tassées par l'humidité. C'est par ailleurs un très bon temps à champignons, puisque le temps d'automne est très doux ce jour-là. Il tombe nez à nez avec un tapis orange, sous un chêne : un véritable nid de girolles. Ni une ni deux, il prend son opinel et commence à collecter ces merveilleux champignons (en laissant le pied pour ne pas obérer les récoltes suivantes). Une fois qu'il en a ramassé quasiment un kilo, il se met en chasse de ses collets. Il ne manque plus que l'animal, pour son fameux lapin aux girolles. Par chance, le collet à quelques centaines de mètres du fameux chêne à girolles est "garni", par un gros rongeur de plus de deux kilos.

De son côté, Marie est en train de faire le ménage chez elle. Elle s'est mise en petite tenue, pour ne pas salir ses fringues : elle ne porte qu'un simple tablier sur son corps nu, ainsi que des bottes en cuir noir montant jusque sous ses genoux. Elle a mis Girlschool sur sa chaine hifi, Kelly Johnson et Kim MacAullife de leurs voix puissantes hurlant "C'mon let's go" sur les riffs enragés de leurs copines et le rythme effréné de la batterie de Denise Dufort. Inutile de vous dire que le rythme de ce ménage, déménage. En moins de dix minutes montre en main, la maisonnette de Marie est propre comme un sou neuf. Au final, il aura suffi de trois morceaux de ce groupe mythique pour l'accompagner dans son ménage hebdomadaire. Y a pas à dire, ces filles, c'était vraiment un groupe du tonnerre !! Marie s'affale dans un des fauteuils de son petit salon et pose ses bottes sur celui d'en face. Le tablier baille un peu dévoilant des seins en poire, légèrement déformés par les années et la gravité, mais encore tellement fermes. Ses tétons sont dressés par le frottement contre le tissu du tablier durant le ménage. Elle s'en saisit et les caresse d'une main tandis que son autre main se place entre ses cuisses... Elle sent qu'elle est humide et qu'elle va avoir besoin de se satisfaire... toute seule. Pas un homme sous la main et elle a la flemme d'aller chercher les accessoires dont elle dispose dans sa chambre. Le besoin de jouissance et de satisfaction est trop pressant. C'est sa main entière qui disparait en elle, lui tirant un gémissement et qui commence à aller et venir. Elle forme un poing en elle pour se remplir complètement et solliciter toutes les terminaisons nerveuses de son vagin. Tout en malaxant ses seins et en pinçant ses tétons. Là aussi, comme le ménage, elle n'a pas mis longtemps avant d'arriver à ses fins et elle jouit dans un long gémissement qui la laisse avec les jambes tremblantes et le souffle court. Voilà une bonne façon de commencer la journée, avant l'arrivée de sa petite fille.

Quelqu'un n'avait pas perdu une miette du spectacle : Jean-Loup, le forestier, l'oreille attirée par un bruit qui n'avait rien à voir avec le murmure habituel de la forêt, en occurrence le rock brutal du fameux groupe Girlschool, n'avait pas pu quitter des yeux le spectacle de cette femme nue sous son tablier faisant son ménage, puis se donnant du plaisir une fois le labeur accompli. Il n'avait pas non pu résister à l'envie d'ouvrir son pantalon, sortir sa queue et s'astiquer vigoureusement, jusqu'à faire jaillir son plaisir sur les murs de la maisonnette des bois. Une fois soulagé, il reprit ses rondes entre les arbres, toujours à l'affut d'une branche cassée, d'un lichen témoin de maladie, d'ordures laissées par des promeneurs de la ville...

Red, habillée en cuir noir clouté et chaussée de ses sempiternelles rangers, venait de couper le contact de sa Harley, au bout du chemin forestier. Elle allait devoir continuer à pieds sur près de deux kilomètres pour aller faire la bise à sa grand-mère et lui amener une bouteille de champagne. Sa grand-mère n'acceptait de visiteur que si celui-ci venait les mains pleines et de préférence, pleines d'une bouteille de vin blanc avec des bulles et de préférence du champagne millésimé. Elle avait des principes, Marie : on ne se pointe pas chez les gens les mains vides ! Elle descend de moto, enlève son casque et vérifie la présence de la bouteille de champagne dans son sac à dos. C'est bon, elle peut aller faire une bise à sa grand-mère rock.

Red s'enfonce dans les bois, ses rangers éparpillant les feuilles mortes du chemin. Elle fredonne les premières mesures de "Born To be wild" de Steppenwolf, la musique du fameux film Easy Riders. Sa grand-mère qui l'avait quasiment élevée seule lui avait fait découvrir le rock, le vrai, celui des années 60-70, Steppenwolf, Deep Purple, T-Rex, Creedence et tant d'autres.... en particulier Led Zeppelin dont elle possédait tous les enregistrements existants ! Un peu plus de 350 morceaux dont elle avait expliqué l'histoire de leur création, de leurs enregistrements et toutes les anecdotes les concernant à sa petite fille captivée. Red avait d'ailleurs fait modifier sa Harley pour y ajouter une sono de fou. Elle ne conçoit pas de rouler sans musique....

Bon, on s'éloigne du sujet, revenons à nos moutons... Tout en marchant, elle est soudain prise d'une furieuse envie de se soulager, les vibrations de la moto sans doute. Elle se dirige vers un bosquet de bouleaux, ouvre son jean, le baisse et s'accroupit. A que ça fait du bien de pisser dehors, se dit-elle.

Elle n'avait pas vu que Jean-Loup, après avoir fini de mater la grand-mère, attiré par la pétarade de la moto l'avait suivie. Il l'avait vue disparaitre entre les arbres et l'avait suivie discrètement, curieux de ce qu'elle pouvait bien aller faire. Quand il l'avait vue ouvrir son jean et s'accroupir, il s'était approché discrètement. Le bruit l'excitait au plus haut point et, en se penchant un peu, il pouvait même voir le flot d'urine s'écouler. Les mains de la jeune femme étaient de chaque côté de sa chatte, elle avait les yeux fermés, comme si elle était en train de se caresser... Immédiatement il sent, une nouvelle érection naitre dans son pantalon. Lui aussi il l'ouvre et prend sa queue en main et commence à se masturber frénétiquement devant le spectacle qu'il a devant les yeux. Il ferme un moment les yeux pour savourer le plaisir de sa caresse et quand il les ouvre à nouveau, il n'y a plus personne devant lui... Elle a disparu ! Mince... Et c'est alors qu'il se sent décoller de terre, propulsé par un magistral coup de rangers entre les fesses.

- Alors vieux pervers, on s'amuse à mater les jeunes filles en train de pisser dans les bois ? Ça t'excite vieux cochon de voir une fille accroupie, les cuisses ouvertes ? Surtout qu'elle est bien impuissante dans cette position... Tu vas voir si je suis impuissante, mon coco... lui dit la jeune rockeuse, en l'attrapant par le col et par la ceinture en le ramassant.

- Je connais quelqu'un qui va bien s'amuser avec toi. Elle va être ravie du cadeau que je vais lui amener.

Elle n'a l'air de rien cette Red, enflée comme une allumette. Elle a été bien élevée par sa grand-mère pour qui, une fille doit savoir se défendre contre n'importe quel mec. Donc, mince, fine mais ce n'est que du muscle... et du muscle bien entrainé par plusieurs heures de sport de combat hebdomadaires. Sans compter des heures passées à soulever des haltères, de la fonte comme elle dit. Trimbaler le Jean-Loup, la queue à l'air en le portant par le col et la ceinture semble vraiment être de la rigolade pour elle. Elle arrive devant la maisonnette de sa grand-mère et cogne la tête de sa proie contre la porte pour frapper.

- Mamie, c'est moi, je t'apporte du champagne et un cadeau.

- Entre, Red ma chérie et montre-moi ce que tu m'as apporté.

Elle entre et laisse tomber Jean-Loup sur le sol. Celui-ci se recroqueville et tente de cacher sa queue entre ses mains. Il ne le montre pas, mais cette situation l'excite. Il vient en plus de s'apercevoir qu'il a été amené dans la maison de celle qu'il avait observé en train de se caresser quelques temps plus tôt. Il se demande quel va être son sort quand il entend dire :

- Mets-le dans le cagibi pour le moment, ma chérie, j'en ai déjà un sur le feu...

Red se penche un peu vers la porte entrouverte et découvre un homme attaché sur une croix de Saint André, les fesses apparentes avec déjà quelques marques de cravache. Elle prend son "colis" et va l'enfermer dans un cagibi attenant à la "chambre spéciale" de sa mamie. Ah oui.. Comme je vous l'ai dit en début de cette histoire, Marie, sa grand-mère était connue comme "Madame Marie", une Maitresse femme qui savait satisfaire les soumis les plus difficiles. Elle s'était rangée des voitures mais, ne dédaignait pas, de temps à autre, recevoir des anciens clients. Ça lui permettait d'arrondir un peu sa retraite et de ne pas perdre la main. Et puis, ça la faisait aussi mouiller de voir ces hommes à ses pieds, quémandant qui une fessée, qui des coups de cravache, qui de se faire prendre par un gode ceinture. Elle avait même un ancien ministre dont le péché mignon était de venir faire son repassage nu, après une bonne fessée et avant de se faire fister par la Maitresse... Chacun ses goûts...

Jean-Loup se retrouve dans le noir, dans une pièce qui fait à peine 1 mètre carré. Un mélange de crainte et d'excitation l'envahit. Il a lui aussi aperçu un homme attaché sur cette croix de Saint-André avant d'être jeté dans cette pièce sombre. Il tient peut-être l'occasion de satisfaire un de ses fantasmes secrets. Mais en même temps, Dieu sait de quoi sont capables ces deux bonnes femmes. C'est la jeune qui l'inquiète... Elle doit être capable de tout celle-là. Au moins la vieille doit être plus raisonnable... quoique, au vu de sa salle de "torture"....

- Ma chérie, tu me donnes un coup de main pour "finir" celui-là avant qu'on passe au tien ? demande Marie à sa petite fille.

- Avec plaisir, Mamie, j'aime bien t'aider moi... Tu veux que je fasse quoi ? Que je prenne la cravache ou autre chose ?

- Oui, ma chérie, prends la cravache, le temps que j'enfile ce gode ceinture.

Red saisit la cravache qui était au sol et en éprouve la souplesse entre ses mains et s'approche de l'homme attaché. Vous en vous doutiez, il s'agit de Robert, le gendarme retraité qui a ramassé les champignons et le lapin pour Marie, en espérant qu'il pourrait profiter à nouveau de ses services, lui qui était un ancien bon client. La cravache claque sur ses fesses, sur ses cuisses. Il gémit de plaisir et bande de plus belle. Putain que c'est bon...

Mamie arrive, nue mais habillée avec un gode-ceinture noir, en cuir. Red arrête ses coups et s'approche de Robert en lui disant à l'oreille : Cambre-toi, mon petit, ça va être la fête de ton cul.

Aussitôt, Robert, habitué à obéir sans discuter aux ordres de sa Maitresse, se cambre et écarte les jambes. Marie s'approche de lui et d'un coup s'enfonce entre ses fesses jusqu'à la garde. Dans un hoquet, Robert accepte cet envahissement qu'il attendait. Sa queue et ses couilles sont devenues dures comme de la pierre. Red se met accroupie à ses côtés et lui caresse doucement les testicules.

- Tu aimes ça, mon cochon, une grosse queue dans ton cul ?

- Oh ouiii, gémit-il

- Oui, qui ? fait-elle en lui donnant une tape sur ses boules tendues

- Oui, Madame, gémit-il

- Voilà un gentil garçon, dit-elle en lui caressant à nouveau les couilles, pendant que sa grand-mère accélère ses va et vient dans le cul de la maréchaussée. La jeune femme se lève et détache un des poignets du gendarme pour lui permettre de se caresser.

- Vas-y, tu as le droit de te faire jouir, lui dit Red

A peine sa main se pose-t-elle sur sa queue tendue que Robert explose et envoie des milliards de futurs petits gendarmes sur le sol dans un grognement. Au même moment Mamie se plonge au plus profond dans son cul, comprimant sa prostate et lui permettant de se vider totalement les couilles. Il ne sera pas venu pour rien dans la forêt aujourd'hui, Robert...

Après avoir entendu les coups de cravache puis quelques moments après, un grognement de bête, Jean-Loup n'entend plus que le silence dans son cagibi. L'angoisse monte en lui.... Et s'il avait fait une grosse connerie.... Si ça se trouve, elles en ont fait de la chair à pâté de cet homme qui était attaché. Il se souvient du film de Caro et Jeunet, Delicatessen et a un frisson... et si ?

En fait, le silence est dû au nettoyage du sol par Robert. Il ne va pas laisser de traces de son misérable plaisir sur le plancher de chez Marie, quand même ? Il n'y a même pas eu besoin de lui demander pour qu'il se mette à 4 pattes et lécher les traces de son sperme. Il se redresse ensuite, se rhabille et fait un baisemain à Marie et à sa petite fille, comme un bon petit toutou respectueux et obéissant.

-A bientôt, Robert et merci pour le lapin, et les champignons, lui lance Marie en lui envoyant un bisou.

-Salut Robert, fait Red en lui donnant une petite tape sur les fesses alors qu'il passe devant elle.

- Bon, ma chérie, on fait quoi maintenant ? Le lapin aux girolles ou on s'occupe d'abord de ton cadeau ?

- Je te propose qu'on prépare le lapin et du coup on s'occupe de l'autre tordu pendant qu'il mijote ?

- Vendu ma chérie, tiens, prends un tablier et je vais commencer par désosser le lapin et toi tu t'occupes des girolles ?

Marie s'attaque à la découpe du lapin, en faisant attention aux petits os et Red nettoie les girolles, découpe des gousses d'ail, des échalotes. Marie ouvre une bouteille de vin blanc, un bon petit muscadet et fait fondre du beurre dans une cocotte. Le lapin en morceaux est mis à rissoler dans le beurre chaud, bientôt rejoint par l'ail, les échalotes puis enfin les girolles. Une fois le tout bien doré, Marie jette une bonne rasade de muscadet puis le couvercle est mis sur la cocotte et le feu baissé pour que le tout mijote doucement.

- On se boit un petit verre avant de s'y mettre, Mamie ?

- Oui ma chérie, ça va nous donner du cœur à l'ouvrage, répond sa grand-mère en lui tendant 2 verres.

Elles trinquent puis boivent chacune leur verre en savourant les arômes du vin. Puis Marie fait à sa petite fille :

- Alors, ma chérie, qu'a-t-il donc fait, ce cadeau que tu m'as amené ? Le dernier que tu m'avais amené était un joggeur qui t'avait montré sa bite en courant si je ne me trompe pas... Celui-là, il t'a montré quoi, son cul, ses couilles, sa bite ?

- Rien Mamie, il a essayé de me mater pendant que je pissais dans les bois, il n'a pas fait qu'essayer, je l'ai vu se branler en me regardant pisser

- Oh le cochon, il va devoir être puni !

- Comment le punir, Mamie ?

- On va faire assez classique, ma chérie et puis il va comprendre ce que c'est que l'urine d'une femme.

-Je te fais confiance, ma petite Mamie, tu as beaucoup plus d'expérience que moi dans ce domaine.

-Tu sais, généralement, je fais ça avec des hommes qui ne demandent que ça. Celui-là, c'est un peu différent...Tu vas me le chercher, ma chérie ?

Je ne vais pas m'étendre sur ce qu'elles lui ont fait pour lui faire passer cette envie de mater les femmes en train d'uriner... Tant pis pour les fana d'urophilie. Ce qu'il y a de sûr, c'est qu'il n'est pas prêt de recommencer.

Pour le reste, cela a duré plus de deux heures. Ben oui, le temps que le lapin mijote bien... Il a eu droit aux fessées, pinces sur les tétons, sur les couilles, coups de cravache et au final les 2 femmes se sont relayées l'une l'autre avec chacune un gode ceinture, histoire de lui faire passer l'envie de mater les jeunes filles dans les bois. Finalement, il s'en est bien sorti si on pense à ses angoisses concernant Delicatessen...

Les deux femmes se sont ensuite régalées avec un lapin aux girolles bien mijoté, bien arrosé d'un bon muscadet, puis d'une coupe de champagne, et même de deux, voire trois. "Le champagne ouvert ne se conserve pas bien", comme dit Marie...

-Tu vois ma petite chérie, c'est ça la vie : une jolie maison, un homme qui vient jouer avec toi et qui t'amène le repas et une charmante petite-fille qui apporte le champagne et vient jouer avec sa vieille grand-mère.

- Tu es la meilleure, Mamie, je t'aime, fait Red en embrassant sa grand-mère.

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