Comment en est-on est arrivé là ?

Carl n'est plus humain quand il a faim de mon corps. Sexuellement très compatible, j'ai conscience de combler ses désirs et ne cherche même pas à l'arrêter.

Tout s'enchaîne...

Carl grogne de désir et me soulève sans peine jusqu'au plan de travail de la cuisine. Une fois assise, ses mains galopent sur ma peau presque avec retenue avant de faire péter les boutons de mon chemisier, délivrant ma poitrine, gonflée de désir. Les yeux noisette de Carl brillent de plaisir. Je porte un ensemble de ma propre fabrication, il le sait, ça lui plaît.

— Oh Kira, susurre-t-il en embrassant mon cou.

Il me connaît...

J'ai l'impression de quitter mon corps. Cela fait tellement longtemps que je n'ai pas fait l'amour... Mais Carl me rappelle vite que lui ne fait pas l'amour.

Il baise.

Ses mains puissantes dégrafent mon soutien-gorge avec dextérité. Il n'hésite pas et s'attaque à mon premier mamelon durci couleur cannelle. Il lèche et suce pendant que d'une main, il pince fortement son jumeau.

Les miennes se déplacent malgré moi et s'enfouissent dans ses cheveux d'ébène pour écraser son visage encore plus près de mes seins, comme si cela était possible. Au bord de l'extase, il mordille mon téton à m'en arracher un cri. Mélange de douleur et de plaisir, mes joues s'empourprent et mon esprit se libère. Je sens distinctement mon vagin pulser en se préparant à la suite délectable du repas.

La bouche de Carl finit quand même par se poser sur mes lèvres, avant de me violer littéralement la bouche. Des gémissements s'élèvent du fond de nos gorges respectives.

On se connaît...

Sa ceinture tombe, puis son pantalon. J'arrache sa chemise. Donnant, donnant...
Il est superbe. Son torse s'élève et s'abaisse au rythme effréné de son rythme cardiaque. Ma main se pose sur son engin prêt à dégainer. Il n'en peut plus. Au bord de l'implosion, Carl me soulève de nouveau pour me mettre à genoux. Ma jupe cintrée me dérange et il la fait rapidement sauter par la même occasion. Ma bouche se retrouve juste devant le fin tissu de son boxer poussée par l'énormité de son attirail.

Je le connais...

Mes doigts agiles saisissent le bas du caleçon et l'abaissent jusqu'à ses genoux. Son pénis est énorme. Je ne prends pas le temps de l'admirer, chaque recoin de mon être le connaît par cœur. Je le saisis avant de l'enfoncer jusqu'au plus étroit de ma gorge. Un grondement profond lui échappe, et des larmes me montent aux yeux. J'enchaîne sans relâche le va-et-vient avec ma bouche. Son goût me parvient et je prends plaisir à le contenter. Sa virilité continue de gonfler dans mes joues et je ne peux plus l'enfoncer aussi loin dans ma gorge. Impatient, il m'empoigne les cheveux pour me forcer à me redresser.

Carl me traîne de la sorte jusqu'à la table de la salle à manger où il me force à lui tourner le dos. Les seins plaqués sur le revêtement froid, il m'enfonce ses doigts comme dans une boule de bowling en écartant la fine dentelle de mon string.

je pousse un cri de plaisir, avant qu'il ne claque fortement mes fesses à plusieurs reprises. Puis sa main se glisse sur ma gorge. En resserrant son étreinte, je sens le poids de son corps s'affaisser sur mon dos. En une poussée, il me pénètre entièrement avec violence tout en grondant de plaisir. J'arrive à déceler chaque millimètre de sa queue s'enfonçant un peu plus dans mon vagin jusqu'à la partie la plus sensible.

La baise commence vraiment...

Carl m'étrangle et s'acharne à me claquer les fesses en enchaînant des va-et-vient sans retenu. J'ai chaud, je suis trempée, je suis comblée. L'extase arrive pour nous deux sans prévenir, déferlant en moi un doux nectar. Les allers et retours ralentissent et des gouttes de sueur tombent sur mon dos tandis que Carl se retire, et file à la douche sans même un mot. Je reste là, nue, les jambes flagada, les cheveux ébouriffés, haletante et épuisée...

— C'est la fin... Murmuré-je à moi-même pour m'en convaincre.