Chapitre 4 : Bon appétit !

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Philippe essayait d'attraper les tétons d'Anabelle .Les superbes seins se promenaient,  l'envoûtaient : la belle prenait un malin plaisir à les éloigner dès que sa bouche s'approchait .Philippe sentait ses testicules remonter ,son sexe se durcir .il n'en pouvait plus ...

Il aurait aimer se soulager, mais Anabelle l'avait solidement attaché sur la chaise, elle s'exerçait à faire de jolis nœuds roses, dircectement inspirés des 50 nuances.Dans la règle du jeu,  il devait se retenir d'éjaculer.

"Je n'en peux plus , fais moi gicler.

- Tu ne bandes pas assez.

- j'ai mal.

- Cela va être pire !"

 Elle savait le rendre fou, totalement fou .

Elle promenait ses longs , blonds , cheveux sur son corps , elle le faisait bouillir en lui donnant des petits coups de  langue sur la verge, elle prit ses petits seins de mec et se mit à les lécher, doucement , tout doucement : elle connaissait son point faible...

Philippe se mit à hurler de plaisir .

"Tu es à point. "

Méthodiquement , elle enfonça un , deux , trois doigts dans son anus .Incapable de résister, il éjacula en pleurant ! 

Pour le récompenser, elle passa lentement son beau 100 d sur son visage : il adorait cette sucrerie.

" Détache moi .

- C'est trop tôt !

-Je t'en prie .

- C'est toujours la dame qui commande. "

Le sexe de Philippe pendait , les bourses étaient vides , le sperme inondait le parquet .

Tendrement , elle le caressa , en s'attardant sur ses fesses : "j'aime ton cul , ton petit cul , c'est  ce qui m'a attiré chez toi ! " et elle commença à lui donner sa fessée, douce, puis de plus en plus rapide, jusqu'à voir ses fesses devenir écarlates...

Il pleurait comme le bébé qu'elle espérait : elle lécha , doucement , ses larmes : "Tu as faim ?"

Il opina , elle mangea et commença à régurgiter dans sa bouche. Puis elle l'embrassa , follement , comme si c'était son dernier baiser !

"C'est bon ! 

- Délicieux , tu es aussi bonne en cuisine qu'au lit .

-On dirait du porc .

- Oh ce n'est pas très loin ! Elle se mit à rire.

- Je suis vidé.

- Je vais te raconter , ton braquemart va apprécier !

- Oui , raconte.

-Ce type, style américain , grande gueule , avec ses lunettes .

- Mon ami ?

- Mon pauvre Philippe , tu es si naïf : tu en mourras !

- Je l'ai invité : tu cuisines si bien.

- Merci , et pour te remercier il m'a fait du pied , pendant tout le repas et a sorti son sexe , pour que je le caresse .

- Et moi ?

- Toi , comme d'habitude , tu ne voyais rien : le parfait cocu.

-Et il est revenu ?

- Le lendemain . J'étais seule : " mon mari est absent " . Il m'a immédiatement déchiré le corsage , là , devant tout le monde , au seuil de ta maison !

- Tu as de si beaux seins .

- Ca , je sais ! Après tu sais , il m'a prise , sans ménagement , en levrette , puis , il m'a sodomisée...

- Tu n'es pas une novice.

- Heureusement , il m'a défoncée et il s'est mis à pleurer , en se traitant de salaud.

- Un mec bien : lucide , sensible , de bon goût ! "

Ils éclatèrent de rire ! Elle régurgita , lui tata la queue.

" Elle est bien dure.

- Ton histoire est hot !

- Et vraie .

- La suite ? 

- Tu la connais ." 

Humiliée ,elle est encore trop humiliée pour parler ! Il était venu " à l'improviste".

Elle portait un beau pull en cachemire , il y avait de la soupe . Il s'était vanté , avait parlé fort, il avait inventé une fille imaginaire , ressemblant trait pour trait à Anabelle et avait tout raconté . Philippe avait compris , elle s'était cachée dans  son col : rouge , morte de honte !

" Et après ? 

- Tu veux vraiment savoir ?Tu vas le payer très cher. 

- Raconte !

- Il est revenu , je lui ai proposé notre jeu préféré.! Il hurlait , il jouissait , il bavait.

- La fin ?

- La fin : tu vas la découvrir ... " 

Elle le regarda , droit dans les yeux,  ses beaux yeux , si bleus , devinrent froids , métalliques: il eut un frisson !

Elle le regardait, comme si , pour la dernière fois, elle le voyait  ! Il se détendit et se mit à éjaculer,  quand elle lui donna sa récompense : lui coller son visage contre ses seins !Philippe  se mit à suffoquer, voulut crier, mais les seins l'étouffaient...

" Tu sais , maintenant. Tu es trop gras : je me contenterai de tes couilles en brochettes !"

Elle sourit : la gynéco avait dit : toutes les envies d'une femme enceinte sont acceptables .

Bon appétit !

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